La Prison

Chapitre 10: l'évasion

Il était neuf heures et les Gardien de La Prison réveillaient les prisonniers pour le concassage de pierre habituel Juan, Pierrel, Jade, Archibald, Theo, Mekali et Larry se regardaient des quatre coins de la prison, ils savaient qu'ils ne reviendraient pas. Le concassage dura deux heures, autant que les plaintes de Theo.

Onze heures, le petit groupe se dispersa pour se retrouver dans la cuisine. Comme prévu Theo arriva le premier et crocheta la serrure. Il y avait tellement de monde que les Gardien de La Prison ne le virent pas. Il entra dans la cuisine et se cacha jusque l'arrivée de Juan et Jade qui étaient cessées faire le nettoyage de la cuisine.

Ils arrivèrent et mirent KO les deux cuisiniers sans qu'ils aient le temps de donner l'alarme. Ils mirent Theo sur le monte charge quand Pierrel arriva. Ils montèrent Theo, soudain le premier problème survint, deux gardes surveillaient ce qui montait et ce qui descendait. Juan et Jade montèrent, aidés par Pierrel qui tirait la corde. Dès qu'ils furent à hauteur des gardiens, ils les assommèrent purement et simplement et montèrent à la surface.

C'est alors que Larry et Mekali arrivèrent. Larry qui avait compté le temps dit qu'il ne restait que peu de temps avant la deuxième sonnerie qui était censée les faire retourner au concassage. Alors tout le monde monta sur le monte charge soudain le gong retentit ils devaient le monter rapidement et s'enfuir.

C'est alors que deux gardiens arrivèrent, ils virent les cuisiniers, les réveillèrent et cherchèrent ensemble les fugitifs. Quand soudain un cuisiner fit remarquer que le monte charge était levé alors qu'ils n'attendaient aucune livraison. Mais il était trop tard: le petit groupe était déjà parti. Ces derniers devaient s'enfuir rapidement mais aucun cheval n'était libre. A ce moment là des centaines de Gardien de La Prison arrivèrent au triple galop vers les fugitifs qui ne pouvaient pas courir assez vite. Ils se battirent mais ne firent pas le poids face aux Gardiens.

Chacun fut mis dans une cellule renforcée différenteau plus grand désarroi de chacun. Le petit groupe ne se voyait jamais il étaitdémoralisé et pour couronner le tout plus personne n'avait d'espoir.

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