My Superhero (Ziall Horlik) [Version Française]

Chapitre 24

PDV Zayn

Après que l'annonce ait résonné à travers les bruyant haut-parleur, j'essayai de courir jusqu'à la porte mais je fus bloqué par Mr. Cowell se tenant devant moi.

"Non! J'ai besoin de trouver Niall! Il est là, dehors et il pourrait se faire blesser!" Lui hurlais-je au visage, alors que j'essayai de nouveau de courir jusqu'à la porte. Harry m'attrapa et me tacla au sol alors que Mr. Cowell s'agenouilla devant moi. J'étais en train de faire une crise, mais je m'en foutais. Niall n'était pas ou il était supposé être, c'est à dire avec moi. Je donna des coups avec mes jambes pour que Harry me lâche et j'essayai de ramper en utilisant mes mains et mes coudes pour aller jusqu'à la porte. Evidemment, j'ai un mec d'un mètre quatre-vingt sur moi, alors je n'allai aller nul part. Je donnai juste l'impression que je grattais le sol sous moi.

"Lâches-moi!" Criais-je, mais Harry plaqua sa main sur ma bouge pour étouffer mes pleurs et cris. Après avoir fait ça pendant environ dix minutes, je réalisai que je n'allai pas retrouvai Niall alors je me calmai tout seul, du mieux que je le pouvais. Ce n'était pas beaucoup, il y avait toujours de la panique en moi, mais j'arrêtai de pleurer et crier.

"Zayn, d'autres professeurs connaissent les manœuvres à appliquer lors d'un confinement. Il est probablement dans la classe de quelqu'un d'autre, mais tu dois rester ici. Je ne peux pas te laisser courir partout comme ça, comme un fou." Me dit très discrètement et calmement Mr. Cowell. Actuellement il était tout ce que je n'étais pas. Tout ce que je voulais étais de courir hors de la classe pour trouver mon copain, mais il y avait tellement de gens qui m'arrêtait. Je devais juste avoir confiance et me dire qu'un professeur retenait Niall en sécurité dans une salle de classe ou que Niall soit assez intelligent pour se dépêcher de revenir ici.

Tout le monde dans la salle alla derrière le bureau de Mr. Cowell alors qu'il alla s'assurer que la porte était bien fermée. Harry se leva de sur moi et m'aida à aller jusqu'au bureau, s'assurant que je n'allais pas m'échapper. Louis se traîna derrière le bureau à coté de moi, parce que nous étions les dernières personnes dans la classe à vraiment nous cacher. Je le regardai, voyant qu'il était bien battu, mais je n'en ressentais aucune satisfaction. J'ai fait ça et ça a effrayé Niall. Si je n'avais pas fait ça, Niall serait en sécurité. Je n'ai jamais voulu faire peur à Niall, mais je me suis quand même débrouillé pour le faire.

Louis me regarda et pris une profonde inspiration. C'était le seul son qu'on pouvait entendre dans la salle de classe muette, ça et les battements terrifié de mon cœur qui battait pour Niall. Louis et moi continuions de nous regarder jusqu'à ce qu'il me tende sa main. Je baissai le regard dessus, puis le relevais doucement jusqu'à ses yeux meurtries.

"Je suis désolé, Zayn... Je pensais que nous avions quelque chose, bien que je savais au fond de mon cœur que nous ne serions jamais rien. Je suis désolé pour toute la merde par laquelle je t'ai fait passer. Je pensais que je pouvais creuser mon chemin dans ton cœur, comme Niall l'a fait. Je ne pensais même pas que tu l'aimais, jusqu'à ce que je te vois à l'instant t'effondrer. Je sent l'amour que tu as pour lui et je me sent comme un stupide connard, rien que pour avoir pensé que tu ne l'aimais pas et que tu pouvais m'aimer. Je suis désolé." Me chuchota calmement Louis. J'hochai la tête, puis pris sa main, lui donnant une poignée de main avant de la lâcher. Je savais qu'il était désolé, mais je n'allai pas le pardonner.

"J'accepte tes excuses, mais je ne peux pas encore te pardonner. C'est juste que... Tu as blessé tellement de gens pour obtenir ce que tu voulais, mais tu ne l'as jamais obtenu. Je sais que tu es désolé, mais parfois être désolé n'est pas suffisant.

Nous nous asseyions tous dans la pièce sombre, caché derrière le bureau, pensant que c'était peut-être un confinement contrôlé, mais rapidement nous savions tous que ça ne l'était pas lorsque le premier coup de feu retentit quelque part, pas loin de notre salle de classe.