Qui aurait pu croire qu'une chose pareil allait se produire...
Nous, les ados, les enfants, seuls...
Les pompiers, les policiers, les médecins, les juges, les chefs d'états, les agriculteurs, les professeurs et tout les autres, tous ces gens mainten...
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Exela-City : Lycée 13mai 2016 22h07
Point de vue de Jeff :
Jeff arrêta le moteur de la voiture :
- Voila ! On est arrivé !
- Cool ! Je vois que vous êtes pas mal organisé, le lycée à l'air d'être sous contrôle ! Félicitation ! Les complimenta Matthieu.
- Merci ! Ouai je pense qu'on a bien gérer la situation, et on n'a pas eu de gros problème avec qui que ce soit ! Bon... C'est vrai qu'on a quelques morts à déplorer... Continua Elyse.
- Nous aussi, mais je pense que c'est pareil dans toute les villes... On ne peut pas sauver tout le monde. Ajouta Matthieu.
Au même moment, un bruit de voiture retentit. Jeff se tourna et vit une Nissan Quashqai apparaitre, Elle s'arrêta, Sam et Clément en sortir suivi de Nathan et de trois enfants.
- Ah ! cria Elyse ! Vous en avez récupérer trois ! Bien ! C'est trois enfants de plus de sauvés !
- Ah vous récupérer les enfants qui sont trop jeunes ou trop éloignés pour avoir reçu le message ! c'est une bonne idée ! Dit Matthieu.
- Ouai tu as tout compris, mais pour eux ce n'est pas passer loin ! Répondit Nathan. Mais t'es qui ?
- Je m'appelle Matthieu, je suis un ambassadeur d'Octyvallon. Pourquoi tu dis que ce n'est pas passer loin ? Passer loin de quoi ?
- De la mort. Engagea Sam. Quand on les a trouvés, ils étaient dans une maison Avec comme air pour respirer du butane, la maison a commencé à prendre feu, on les a fait sortir, une vingtaine de seconde plus tard la maison a explosé. A vingt seconde près, on aurait explosés, ils ont aussi failli mourir gazés...
Elyse les regarda bouche bée, et vit la petite pleurer, elle la pris dans ses bras et dit impressionner :
- Je crois que vous avez fait l'acte le plus courageux de la soirée, aujourd'hui il y a eu beaucoup de sauveur...
Matthieu s'avança et leur serra la main :
- Vous êtes des héros, bravo. Moi aussi j'ai aidé des enfants de mon côté, mais bref, pas le temps d'en parler ! Faites-moi visité tout cela !
Point de vue d'Eléa :
A Octyvallon, Eléa était encadrés par deux garçons et une fille, ils lui avaient fait visité les lieux, et étaient en train de manger, ils avaient récupérer des sandwiches dans un supermarché, et les dévoraient, en marchant, dans les rues on voyait quelque enfants qui se promenait, ou plutôt qui errait. Ils avaient l'air un peu perdu pour certains, Eléa avait même vu une petite avec une tétine et un doudou qui était recroquevillés dans un coin, le groupe l'avait prise avec eux, ils la portaient à tour de rôle, elle était actuellement sur le dos d'Eléa. Qui lui avait donnés un sandwich. Eléa redécouvrait la ville, cela faisait longtemps qu'elle n'y était pas allée. Elle avait remarqué qu'à Octyvallon il y avait moins d'organisation, donc plus de liberté, moins de sécurité, la ville était plus dangereuse que celle d'Exela. Elle n'avait pas pour autant peur, ils étaient armés, au moins un minimum. Une détonation retentit, puis un cri déchirant se fit entendre :
- C'était quoi ça ?! Demanda un des garçons.
- Quelqu'un s'est fait tirer dessus ?! Répondit l'autre. Vite allons-y !
Ils se mirent alors à courir en direction du tir, après avoir tourné pour arriver dans un pâté de maison en forme de cercle. Ils virent dans la pénombre deux personnes. Une au sol qui se tenait la jambe, en criant encore et toujours, la seconde était debout, une arme à la main, et était de dos, l'individu regardait sa victime, il avait une capuche sur la tête. Eléa sorti son arme, un pistolet balle en caoutchouc, et le pointa sur l'agresseur :
- Au moindre geste que je n'aime pas je tire ! Cria-t-elle. Pose ton arme et retourne-toi !
L'individu réfléchi quelque seconde, et décida de ne pas poser son arme, il se retourna les deux mains en l'air. S'était une fille, elle devait avoir leur âge, elle était blonde, et plutôt petite. Eléa était déconcerté, elle ne s'attendait pas à une fille pour commencer, et cette dernière n'avait pas posé son arme, ce qui la fit stressé.
- Je répète, pose ton arme ! Si tu ne le fais pas je tire !
- Tu vois bien que je ne suis pas dangereuse ! Je me rends !
Cette phrase rendit Eléa perplexe, disait-elle la vérité ?
- Ou à tu eu cette arme ? demanda la fille qui accompagnait Eléa.
- Mon oncle était policier ici. Dit-elle en s'avançant.
- Arrête-toi ! Cria Eléa !
La petite fille qui était avec eux se mit à pleurer, Eléa se tourna vers elle est la rassura rapidement. Une seconde détonation retentit. Eléa se redressa et vit que la fille quelle avait en ligne de mire avait pointé son arme sur eux.
- Ok ! Alors je ne vais pas passer par quatre chemins ! Tout le monde va voir le blessé ! occuper vous de lui pendant que je m'enfui ! le premier qui se retourne vers moi ou quoi je le tue ! Pigé ? Aller ! Vite !
Ils ne pouvaient pas protester, elle avait pris le dessus, ils se précipitèrent en direction du blessé. C'était un garçon qui devait être en 4ème.
- Pourquoi elle t'a tiré dessus ? Demanda un des garçons.
- Pour que je lui donne les clés d'une voiture. Pleura-t-il.
Un bruit de moteur se fit entendre. Elle partit. Le garçon ne saignait pas abondement, c'était bon signe.
- Comment tu t'appelles ? demanda Eléa.
- Loris.
- Eh bien Loris, on va t'amener d'urgence au lycée, Vous êtes près ? On va devoir le porté. Dit Eléa déterminé. Un... Deux...Trois.
Les quatre ados le soulevèrent. Il hurla de douleur.
- Ne t'inquiète pas Loris, ça va aller. Dit la petite fille.
Voila ! c'est la fin du chapitre, j'ai réfléchi, je vais tenir le rythme d'un chapitre tout les trois jours ! Comme toujours n'hésitez pas à commenter ! Je sais le titre n'est pas très parlant mais je n'avais pas d'idée ! A bientôt !
