Qui aurait pu croire qu'une chose pareil allait se produire...
Nous, les ados, les enfants, seuls...
Les pompiers, les policiers, les médecins, les juges, les chefs d'états, les agriculteurs, les professeurs et tout les autres, tous ces gens mainten...
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Polignat : Motel 14mai 2016 00h57
Point de vue de Jeff :
Jeff était sur le côté d'un camion, il l'escortait jusqu'au centre-ville il était toujours sur la grande avenue et avançait à la vitesse de quelqu'un qui marche, cela permettait aux escorteurs sur la route de ne pas s'essouffler. Il avait un peu peur, mais son desert-eagle était à ses yeux la plus grande protection possible. Soudain, un bruit de balle retentit. Il regarda dans la direction : un groupe d'ados qu'il ne connaissait pas était au milieu de la route et leur faisait face. Surement des ados pro-dictature. Un des escorteurs cria :
- Escorteurs des camions, descendez !
En entendant ça. Jeff enleva le cran de sécurité et descendit. Tous les ados sur les camions firent de même. Ils allèrent rejoindre les escorteurs à pied, et ils se mirent en forme de flèche des deux côté de la route tout en continuant à avancer. Les 7 ou 8 ados en face firent assez impressionner par cette quarantaine d'ados, mais ils ne fuirent pas. Jeff était à l'avant de la flèche, la pointe. Un des ados en face fit un tir de sommation. Un des ados du triangle fit de même.
- Rendez-vous ! S'écria un ados du triangle.
Ils tirent sur un des camions. Le premier camion s'arrêta. Les autres firent de même. Les autres voiture est camions derrière aussi. L'ado à coté de Jeff visa, et tira. Un des ados en face tomba. Il rechargea, et recommença. Mais cette fois, il visa volontairement à côté. Trois ou quatre ados de leur groupe prièrent leurs jambes à leur cou.
- Posez vos armes ! Hurla Jeff.
Une partie obéirent, y compris celui à terre, qui jusqu'à maintenant tenait toujours son revolver. Deux seulement avait gardé leurs armes.
- On est déterminé ! cria l'un d'entre eux ! On à des gilets pare-balle ! Vous ne pouvez rien faire.
Après ces mots, ils visèrent est se mirent à vider leurs chargeurs de révolvers. Une balle partie. Un des deux tomba. Certains des ados commencèrent à partir en hurlant des deux coté. Une seconde balle. Puis un crie. Le deuxième ado tomba.
- Arrêtez-vous, revenez ! ! Cria un garçon de l'autre côté des camions
Les ados du groupe d'en face en fuite s'arrêtèrent. Et firent demi-tour. Ils revinrent vers les camions. Jeff alla voir le premier camion, celui sur qui on avait tiré. La balle s'était dans la carcasse du camion, et personne n'avait été touché. Jeff était rassuré. Il fit un signe qu'il allait bien à Eléa. Les ados qui s'étaient rendu firent escorter par les ados résistants qui avaient commencé à fuir. C'était compréhensif. Il fit signe au premier camion de repartir. Les tirs allaient surement donner l'alerte.
Point de vue de Jeanne :
Jeanne avait été couché les enfants, depuis longtemps, y compris le garçon qu'elle considérait maintenant comme son petit frère : Léo. Elle se dirigeait vers les sous-sols, le deuxième pour être précis. Elle était en train de descendre les escaliers. En arrivant dans le second sous-sol, Elle entra dans une première salle. Cette salle était superbe : L'équipe avait fait une salle de repos, ils avaient mis beaucoup d'étagères pour séparés des ilots de matelas, ils avaient toujours des formes différentes. Sur les étagères ils avaient mis des livres, des plantes, et même quelque aquarium avec des poissons ! Dans chaque ilot, il y avait des lampes. Et un radioréveil. Ils avaient beaucoup travaillé. Jeanne entendit du bruit dans la salle d'à côté. Elle s'y rendit : Alizée et l'équipe chargé de s'occuper de la pièce travaillait sur la pièce d'à côté : Une salle de détente. Il y avait des tables, des télés, des jeux, des canapés, des frigos... Jeanne alla voir Alizée :
- Heu... Salut... Je peux t'aider à faire quelque chose ?
- Ho ! Jeanne ! Contente de te voir ! Oui bien-sûr ! J'aimerai bien que tu m'aide à porter ce flipper ! On devrait le mettre ici, il sera bien !
- D'accord ! pas de problème ! Je vois que tu as bien avancé déjà ! Allons-y !
Point de vue de Paul :
Paul était en train de conduire enfant et blessé au car, qui allait les emmener à Exela et à Octyvallon. Il était dans la rue, au milieu de la ville, à quelques mètres de la grande avenue ou allait arriver les cars dans peu de temps, à moins qu'ils ne soient déjà là. Ils étaient escortés par des résistants. Paul avait un flash Ball, il le savait : Si on l'attaquait, il n'hésitera pas à tirer. Il arrivait sur une place. Soudain, des ados armés leurs firent face.
- Des résistants ! Hurla un d'entre eux, qui avait l'air plus vieux. Tirons !
Paul n'hésita pas une seconde, ses coéquipiers non plus. Les balles fusèrent des deux côtés presque instantanément. Un enfant tomba en hurlant, tous les autres paniquèrent et fuyaient abandonnant les blessés aux sols. Paul s'était caché derrière un arbre, il tirait tout ce qu'il pouvait, en face, il ne restait que deux ados qui battaient en retraite. Paul tira dans la jambe d'un des deux, il hurla et lâcha son arme. Les enfants étaient toujours en train de fuir en hurlant. A côté de Paul, Marie était cachée derrière un second arbre, elle tira et fit tomber le dernier ados. Il hurla à son tour, puis plus rien. Les enfants se Paul sorti de sa cachette et regarda la place, il vit une scène qu'il n'oublierait surement jamais : Une dizaine d'enfants gisait au sol, en hurlant pour certain, s'en bruit pour d'autre. S'en compter les blessés qui avaient été abandonné. Les enfants qui avaient fuient était en train de revenir devant l'ampleur des dégâts. Paul ne comprenait toujours pas ce qu'il voyait, en quelque seconde des enfants innocents avaient perdu la vie. Paul était sous le choc. Il avançait, sans comprendre. Marie était parti voir les assaillants pour leurs prendre leurs armes, en passant, elle les frappa avec la crosse de son armes et les assomma. Paul s'approcha de la scène, et vit des traces de sang. Un peu à l'écart, il y avait une fille avec une arme, elle était à terre, et saignait abondement il s'approcha : Clémentine.
Voila ! Ce chapitre et de nouveau terminé ! Et il se termine sur une fin tragique... Je vous laisse méditer à son sujet... En attendant on se retrouve vendredi ! Pour un nouveau chapitre !
