Chapitre 1 : La lettre

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Couiiiiiiiic
Dingdingdingggggg.
La petite clochette installée au dessus de la porte marche très bien. En près de 2 secondes , tout le monde est au courant de mon arrivée dans la maison. Alicia, ma mère me crie:

-Dépèche, Marinette, on est tous à table.

J'enlève vite mes boots d'équitation et ma veste, puis je cours vers la salon qui sert aussi de salle à manger.

-Voilà,voilà, je suis là, bafouillai-je, même pas assis sur ma chaise.

Ils me regardent tous d'un air blasé, sauf Loïc qui s'amuse avec son camion caché sous la table.

-Quoi,qu'est-ce que j'ai fait? J'ai eu un petit retard, c'est pas ma faute...

-À peine 25 minutes, on va pas te disputer pour ça, dis mon père d'un ton faussement attristé.

-Arrêtés, vous deux, on dirait des vrais gamins, intervient ma mère, moi et votre père devons vons vous parler des vacances!

-Des vacances??? intervint-je.

-Oui car je vient de recevoir une drôle de lettre, je vais vous la lire mais d'abord je vous doit quelques explications...

Nous échangeons avec Diégo, Lina et Papa un regard interrogatif.

-Je l'ai reçu ce matin. Comme vous le savez, je me suis disputée il y a 21 ans avec mon frère Jean-Jacques et j'ai perdu sa trace étrangement. Je vais vous lire la lettre:

Cher Tante,
Vous devez-vous étonner que je vous appelle ainsi je vais donc tout vous expliquer:
Après que vous vous soyez disputer avec votre frère il s'est marié avac une femme du nom de Nathalie. Celle -çi a bientôt mise au monde un enfant:moi.
2 ans après ma naissance mon père est mort de maladie et ma mère n'avait paseu beaucoup d'information sur sa famille: elle le croyait fils unique dont les parents étaient morts. J'ai maintenant 20 ans et je vous invite en Bretagne chez moi pour les vacances. Vous prendrez le train de 16h14 a la gare Saint-Lazare le dimanche 4 juillet. ne m'appelez pas car je n'ai pas de téléphone. Envoyez-moi juste un courrier pour me confirmer la date.
PS: je vous attend impattiament.
Votre nièce, Laura BLEUET

Nous réfléchissâmes tous puis mon père pris la parole:
-Eh bien qu'on y aille!

Le rêve allait commencer.

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