Bonjour tout le monde. Je suis désolée pour cette absence, la vie à des aléas qui nous éloigne des fois des choses auxquelles on tient. Je suis vraiment désolée. Donc c'est le dernière chapitre et je dois dire que l'inspiration m'a manqué et que j'ai voulu finir ce chapitre rapidement donc j'ai fait du mieux que j'ai pu même si je ne suis pas satisfaite. Ne suis je pas d'ailleurs une éternelle insatisfaite ? En tout cas voilà j'ai au moins mis un point final pour vous remerciez vous qui lisez ceci.
Je tiens aussi à m'excuser pour les fautes d'orthographe je fais sincèrement de mon mieux.Elle prit sa voiture et après plusieurs minutes de route se gara devant un immeuble familier.
Elle était devant la porte et s'apprêtait à taper. Elle leva le bras puis finalment le reposa se retourna et quitta l'immeuble.
*ellipse*
Ça faisait maintenant deux bonnes heures qu'elle roulait dans les rues de Seattle sans vraiment savoir pourquoi elle devait juste se vider la tête, réfléchir. Elle s'arrêta et regardait les passants. Devant elle un couple était main dans la main riant, l'air complètement insouciants. Elle tourna la tête gênée d'observer un moment qui leur appartenait. Elle posa les yeux sur un banc occupé par un homme et une femme d'une soixantaine d'année. Contrairement au deux jeunes ils semblaient sereins et profitaient simplement de la présence de l'autre sans fioritures.
Callie souri, elle pensa que l'univers devait tenter de lui ouvrir les yeux ou quelque chose de la sorte. Elle reprit donc la route.
Arizona avait sa fille ce soir. La petite fille était en train de finir son coloriage devant un dessin animé. La blonde la regardait songeant aux traits physiques et mimiques qu'elle partageait avec son autre maman. Elle était magnifique. Elle était la plus belle chose qui lui était arrivée et elle remerciait secrètement Callie tous les jours de lui avoir donné la chance de faire partie de la vie de ce petit ange.
Elle s'approcha de Sophia et lui sourit.
Arizona: Aller princesse au dodo maintenant il est l'heure.Sophia: non maman.
Arizona: ça n'est pas comme ça qu'on dit oui mademoiselle *sourire* aller mon coeur s'il te plaît je vais te lire une histoire d'accord ?
Sophia: Dac maman !
L'histoire lu, Sophia c'était endormie la pédiatre déposa un baiser au sommet du front de sa fille et quitta la chambre silencieusement et retourna au salon. Elle poussa un cri de surprise quand elle vit qui s'y trouvait.....: tu devrai fermer ta porte ça n'est pas très prudent...
Arizona: tu m'as fait peur ! Euh... ça va ? Qu'est ce que tu fais là ?
....: je suis entrée et j'ai entendu Sophia rire alors je me suis dit que tu lui lisais "boucle d'or" je sais qu'elle adore ce livre et que toi aussi donc j'ai attendu sagement ici. C'était votre moment.
Arizona: bien vu... mais pourquoi tu es là ?
....: j'ai réfléchi j'ai beaucoup, beaucoup réfléchi et j'ai trouvé pas mal de réponses.
Arizona: Callie je...
Callie: laisse moi te dire ce que j'en pense s'il te plaît...
Arizona: je t'écoute.
Callie: il y a deux heures j'étais devant ta porte j'allais taper quand je me suis dis que je n'étais pas prête, qu'il me fallait plus de temps. Je suis monter dans ma voiture et j'ai
Observer. J'ai vu deux couple un couple de jeune qui riaient et affichaient leur bonheur au monde comme ci il était encore fragile et qu'il fallait l'ancrer quelque part. Et puis plus loin, j'ai vu un couple de personnes plus âgées à l'exact opposé de ses deux jeunes. Ils étaient plus sages comme ci la passion était passée et avait laissé place à un amour serein que rien ne semblait perturber. J'ai réfléchi et nous sommes rien de tous ça ensemble.Un long silence s'installa. La latine posa sa main sur la joue la blonde, et reprit.
Callie: non nous ne sommes pas ça. Ça n'a rien à voir. Nous ne sommes pas ces gens. Notre amour est une sorte de mélange de tout ça *sourire*. On affichait notre bonheur mais pas pour nous rassurer, non, mais plutôt pour inspirer les gens ! On avait ce sentiment de sérénité, ce sentiment que rien ne pourrait nous briser, mais notre passion était encore bien là toi même tu le sais *sourire coquin*.... on avait tout pour être heureuse mais on a laisser tout ça s'éteindre, on aurait dû se battre encore car quand on a la chance d'avoir trouvé son âme soeur, jamais on ne la lâche. Aujourd'hui une chose et sûre, on en a vécu des épreuves, on en a traversé de tempête. Mon coeur s'est égaré mais aujourd'hui il hurle, il me hurle de t'aimais comme une folle jusqu'à la fin de ma vie et j'ai bien envie de l'écouter.
Arizona était sous le choc jamais personne, même pas Callie, ne lui avait dit de tels mots. Elle était complètement perdue et en même temps une multitude de papillons s'envolaient dans son corps.
Arizona: Calliope... dit moi juste que je ne rêve pas...
Callie: Je n'ai jamais était aussi sûre de moi à part quand j'ai voulu que tu t'appelles Arizona Robbins Torres ou que tu sois là mamans de notre fille ou encore quand j'ai su que tu étais la femme de ma vie.
Il n'en fallut pas plus à Arizona pour sauta au coup de la brune et l'embrassa come ci ça vie en dépendait les larmes venaient se mêler au baiser. A bout de souffle elle se séparèrent, le front encore collé, les yeux fermés. La blonde prit Callie dans ses bras et colla sont corps encore tremblant au sien. Elle la serrait fort comme ci elle avait peur qu'elle ne s'échappe de nouveau.
Arizona: Calliope ... ?
Callie: oui ?
Arizona: je sais que tout n'est pas réglé que ça va très vite et qu'on se manque beaucoup trop pour essayer de lutter mais je sens au plus profond de moi que ça peut marcher qu'on peu être exceptionnelles toutes les deux comme avant mais *menaçante* plus aucune femme ne te touche, ne t'approche ou même ne te regarde à part moi sinon crois moi que je te met une raclée. Compris ?
Elle était comme ça même un moment des plus solennel devenait espiègle avec la pédiatre, elle trouvait toujours cette simple phrase qui faisait sourire dans les moments difficiles. Elle lui montrait qu'elle voulait avancer qu'elle voulait essayer. C'est aussi pour ça que Callie l'aimait autant.
Callie: *faussement déçue mais souriante* mince moi qui comptait juste te mettre dans mon lit et faire la tournée des bars...
La blonde lui frappa l'épaule et entra dans son jeu.
Arizona: et tu leur sort un discours aussi long et plein de guimauve, à chacune de tes conquêtes ? C'est beaucoup de travail pour une seule nuit non ?
Calli: je ne le fait qu'en cas d'urgence quand la fille que je veux et magnifique à un corps à tomber à la renverse et exclusivement si cette femme et la femme de ma vie.
Arizona: on t'as déjà dit que tu étais très douée pour trouver les bons mots ? Et d'ailleurs ça m'inquiète que tu saches ausis bien parler aux femmes.
Callie: Non... en revanche on m'a déjà dit que j'étais douée pour autre chose plus d'une fois *clin d'oeil*
Une fois de plus elle reçue une coup à l'épaule.
Callie: et puis je ne parle pas comme ça "aux femmes" juste à la mienne *battement de cils théâtral*
Arizona: arrête tes idioties et montre moi pour quoi d'autre tu es douée !
Callie: avec plaisir *riant*
Elle s'aimèrent toute la nuit chacune redécouvrant les plaisirs de la proximité de leurs corps trop longtemps inassouvis. Elles se regardaient les yeux pleins de fatigue mais surtout pleins d'amour et de bonheur, débordant de sincérité.