Ange/Démon Tome 1

Chapire 12

Les gens ressemblent en tout, d'un point de vue vestimentaire aux années 20. Jonathan m'adit que chaque année une époque ou une année est mise à l'honneur. Et visiblement se sont les années 20. L'année dernière les années 2000 étaient à la mode. On entra dans une boutique où l'on acheta plusieurs robe charleston ainsi que des manteaux, des chaussures et tout le nécessaire. On acheta aussi des vêtements à Émilien, et je chuchota dans son oreille en pouffant :

- Tu te rappelle ?

- Bien sur que oui, on s'est rencontré dans un magasin et tu m'es tombée dessus.

- Oui et je suis tombée amoureuse de toi.

Je l'embrassa et il me rendit mon baiser. Nous rentrâmes et j'entama la conversation avec la conversation avec Jonathan :

- Mais comment cela se passe-t-il en Afrique et partout ailleurs ?

- L'Afrique et l'Asie se sont beaucoup développée depuis 2014 si c'est ta question, ils vivent exactement comme ici. Le monde a beaucoup évolué mais on a su comment trouver un juste équilibre.

Nous arrivâmes soulagés que tout se soit bien passé. Je me rendis avec Émilien dans la chambre où nous passâmes un doux moment d'intimité et nous nous endormîmes juste après. Je descendis peu après et me servit de l'eau quand Jonathan arriva les yeux grands ouverts, on pouvait y lire une terreur, il s'affolait :

-Demain les services vont fouillés les maisons pour retrouver un couple, c'est à dire vous on doit absolument s'en aller dès maintenant alors habillez-vous et rejoignez-moi au plus vite.

Je couru dans ma chambre et réveilla Émilien en vitesse, on s'habilla et on descendit les escalier à grande vitesse, et Jonathan nous dit :

- C'est bon, ce n'était qu'un test pour voir comment vous seriez si jamais...

- C'était pas drôle, dis-je en sentant la moutarde me monter au nez, et donc on s'en va comme même maintenant, ta petite blague devient la réalité mais en étant légèrement moins dangereuse.

- Dans ce cas je vous invites à sortir.

Émilien avait la tête dans les chaussettes et était furax mais il s'adoucit du fait que nôtre destin prenait forme tout comme moi. Nous prîmes la même voiture que la veille et nous arrivâmes dans un aéroport pendant ce temps Jonathan nous dis de jouer le couple très amoureux qui n'a aucun problème. Nous n'y vîmes aucune difficultés puisque nous sommes amoureux. Nous découvrîmes un aéroport semblable à ceux que nous connaissons. On fit tous les contrôles, mon cœur battait à la chamade au moment de faire l'identification. Jonathan fut le premier, ensuite Émilien pour qui cela se passa sans problèmes mais quand vint mon tour son boîtier sonna j'eus un coup de stress, il fronça des sourcils et dit à un gars à côté de lui de le remplacer juste après qu'il m'aurait contrôler, je ne me suis jamais autant sentie soulagée et je m'avança jusqu'à l'embarcadère quand avant de passer à la passerelle, on nous coupa le barrage et on nous ordonna :

- Passez sous ce portique, simple précaution, dit une femme blonde et toute mignonnette.

- Évidemment, répondis Jonathan.

Il passa sous le portique qui bippa et la jeune femme regarda son collègue qui le saisit tout en lui disant tout bas « un sorcier ou magicien », et l'emmena au poste de sécurité, moi et Émilien pendant ce temps profitons de son inattention pour filer en douce. Nous réfléchîmes longuement et nous vînmes une idée. Elle consistait à se rendre au poste, à observer et localiser Jonathan puis essayer de le faire s'évader. On chercha un bon moment quand enfin on arriva dans le poste de police qui grouillais de monde, ce qui nous laissa l'occasion de nous glisser dans un couloir avec en son fond une porte n'étant pas fermée à clef. Quand on rentra une légère odeur de noix s'échappa d'un couloir bordé de cellules. Nous hésitâmes à rentrer car la noix bloque nos pouvoirs et nous rends vulnérables face à une attaque. Émilien entra, je le suivis d'instinct sans réfléchir. Nous aperçûmes Jonathan écroulé sur le sol dans une cellule Émilien pénétra dans la cellule qui n'était pas fermée à clef et le porta, à mon tour je vins l'aider. Nous cherchâmes une autre sortie, nous vîmes une porte dérobée au fond du couloir, et nous l'empruntâmes. Elle débouchait sur les différentes pistes de décollage je montra instinctivement un des énormes bâtiments où était inscrit France: Nantes. On décida de rejoindre l'avion en courant, nous réussîmes à pénétrer à l'intérieur. Une hôtesse de l'air nous accueillit et nous invita à nous asseoir après lui avoir présenté nos billets. Émilien assit sur le siège, la collègue de l'hôtesse qui nous avait acceuillit qui était au téléphone lui chuchota quelques mots à l'oreille puis elle nous demanda nos papiers. Prise d'impulsion je lui jeta un sort pour qu'elle nous laisse tranquille, elle et sa collègue. L'avion décolla et pendant ce temps nous essayâmes de réveiller Jonathan, puis Émilien conclut :

- Il a sûrement respiré trop de noix cela se produit si on ingère de forte quantité, ou bien on lui a injecté un concentré puissant de noix ?

- Tu as sûrement raison, ce n'est qu'une question d'heures, espérons seulement que pendant les quelques heures de trajet il se réanimera.

- J'espère aussi.

Il me prit dans ses bras en riant et en m'embrassant. Cela nous fit du bien, cela faisait longtemps qu'on ne s'était pas sentit bien tous les deux. Puis un steward vient nous proposer un jus de fruit que nous acceptâmes volontiers. Quelques heures plus tard l'avion atterrit. Serrée à Émilien et rêveuse je ne me rendis pas compte que Jonathan s'était réveillé, nous sortîmes de l'avion, on pris un taxi à la sortie de l'aéroport. Je donna au chauffeur mon adresse de nôtre temps actuelle. Quand nous arrivâmes et descendîmes du taxi, je fus scotchée sur place, mon ancienne maison à présent était en bois, avec des panneaux photovoltaïques, des immenses baies vitrées et un toit bleu nuit. Puis en prenant mon courage j'ouvris le petit portillon et me rendis jusqu'à la porte d'entrée. Je lu le nom sur la boîte aux lettres : « M et Mme Terra-sun ». Je pensa tout de suite que c'était sûrement des magiciens. Je sonna un vieille homme m'ouvrit la porte :

- Que désirez-vous ?

- Pourrions nous rentrer, demanda Émilien ?

- Qui êtes vous tout d'abord ?

Le vieille homme lui tendit la main et son expression se figea, et nous invita direct à entrer. On lui expliqua tout depuis le début y compris que c'est ma maison. Je décidai de bouger, Émilien sur mes talons, je descendis dans la cave puis en regardant Émilien j'avança jusqu'au mur et posa ma main contre le mur et la retira, il ne se passa rien. Émilien soupira, le mur s'ouvrit en deux nous laissant tout juste le temps de passer. J'apperçus sur les étagères mes vieux grimoires de famille et le mien où je consignais beaucoup de sort quand j'étais enfant. Je m'approcha pour le prendre, il était tout poussiéreux et ça me fait tout drôle. Je l'ouvre et il y a au moins le double de pages complétées. Mais rien d'intéressant. Émilien à son tour pris un manuel, je pris quand à moi celui de mon grand-père Carlos. Je découvris un mot tout à la fin disant de consulter le grimoire d'Héloïse pour trouver le sort de téléportation. Je pris tout de suite le livre et je découvris une formule de plusieurs pages que je montrai aussitôt à Émilien. Nous remontâmes chercher Jonathan et lui montrons nôtre découverte, sa réaction fût tout de suite de nous empêcher de faire le sort puisque nous n'avons pas toutes les connaissances nécessaires sur le sort. Jonathan nous fit également la remarque que les deux sangs sont nécessaires pour pouvoir accomplir le sort. J'en resta sur place, mais après longue réflexion je m'écria :

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Salut, j'espère que ce nouveau chapitre vous as plu, comme d'habitude n'hésitez pas à commenter vos impressions.

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Je vous souhaite de belles lectures! 😊