Chapitre 18

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Je publie exceptionnellement car ce lundi je ne pourrais publié, et oui les gars ascension dans les Pyrénées.
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Nous rions, puis il me porte à bout de bras et me fait tournoyer. Je l'aime, et je suis là avec lui. Comme s'il lisait dans mes pensées il me chuchote à l'oreille qu'il m'aime. Je rougis comme une enfant, il m'embrasse langoureusement. Et moi de même, il me repose à terre. Il me regarde droit dans les yeux , place derrière mon oreille une mèche de cheveux. Il m'ôte mon tee-shirt et je me retrouves en soutien-gorge devant lui, je me dépêche de lui ôter son tee-shirt. Il me renverse sur le lit et il commence à m'enlever le bas quand la porte s'ouvre à toute volée, c'est Hadrien :

- Oh mon dieu, j'ai hâte d'aller me confesser au père François. Tu m'étonnes qu'il te mette enceinte aussi facilement, si tu le laisses faire. Contrôle mieux tes pulsions Angi.

- D'où tu te permet de tenir tes propos, lui hurle Émilien. Et ne me fais pas croire que tu vas te confesser!

- Je vois, moi et Angi sommes plutôt croyants, nos parents sur Terre se sont d'ailleurs rencontrés à l'église et je voyait chaque dimanche; assise plusieurs rangées devant moi Angi. Sache aussi qu'avant que tu ne sois là, il y avait moi, je suis sorti avec Angi, nous avons un passé en commun, puis j'ai appris qu'elle était ma sœur et j'ai alors mis fin à nôtre relation. Dis Angi, c'est un bon résumé ? Non...

J'enfile en quatrième mon tee-shirt, Émilien lui ne s'est pas revêtu mais qu'est-ce-qu'il ressemble à un dieu comme ça.

- Oui c'est ça. Mais Émilien pour ma défense, j'ai appris que très tardivement qu'il était vraiment.

- Je n'y crois pas, Angela pourquoi tu ne me l'as pas dit plus tôt maintenant je me sens idiot mais à un point que tu ne peux imaginer. Tu portes mon enfant et tu ne m'a pas dis cela. Qu'est-ce qui t'est passé par la tête ?

- Je ne sais pas, et quel importance cela a, maintenant Hadrien est mon frère et il en sera toujours ainsi. Ne vas pas chercher plus loin, c'est un passé qui n'a aucune importance sur le présent.

- Alors voilà, j'essaie d'être compréhensible par rapport à toi, à ce que tu peux bien vivre et voilà comment tu me remercie. En me mentant. J'ai fait tout ce que je pouvais pour toi. Mais ce n'est pas facile, il y a tellement d'homme qui tournent autour de toi, ils te regardent tous.

Émilien se met à pleurer, j'essaie de le prendre dans mes bras mais il refuse. Il s'assit sur le lit.

- Émilien, ce n'est facile pour personne. Surtout pour toi et je le sais, mais c'est toi que j'aime et personne d'autre.

- Oui, tu as sans doute raison, mais c'est vraiment dur pour moi, je suis très souvent dans ton ombre, alors que je voudrais être à côté de toi.

- Rassures-toi Émilien si tu n'aurais pas été là je serais morte depuis longtemps. C'est grâce à toi si chaque jour de plus je vis si je suis encore ici.

- Bon les amoureux, ou futurs parents, vous préférez quoi ?

Je lâche un soupir face à cette remarque.

- Ophélia souhaiterait te voir Angela, pour pouvoir vérifier ton état de santé et parler de ton futur babybump, et qu'est-ce-que tu comptes faire.

- Dans ce cas, je vais tout de suite la voir.

Je sors de la chambre, et entre dans le salon. Ophélia m'attend, puis je m'assois sur le canapé et elle commence à me questionner :

- Alors depuis quand es-tu enceinte ?

- Environ cinq mois, je crois.

- Et à vôtre époque, il n'y a pas de moyens de contraception ?

Ange/Démon Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant