Minis-histoires Supernatural

Une autre fille flirt avec lui

Dean > Assis dans un restaurant, tu regardais silencieusement la serveuse faire des avances a Dean. Celui-ci se montrait accueillant jusqu'à ce que, comme un coup en plein visage, il lui dit fièrement être déjà pris en te prenant la main. La serveuse, bouche bée, bredouilla quelques excuses avant de s'en aller. Lorsqu'il fut temps de quitter, tu ne manqua pas l'occasion de lui envoyer la main, un grand sourire étampé sur le visage.

Sam > Il arrêta tout de suite le flirt en usant de mots scientifiques que personne de normal ne comprendrait. Le visage de la femme tourna alors au rouge car elle ne comprenais rien du tout a son charabia. Cela ne fut pas long avant que la femme s'éloigne, laissant Sam t'adresser un énorme sourire.  

Castiel > Il se tenait droit comme un pic, les sourcils froncés et la mâchoire serrée. Il déclara fermement et sans aucune gêne a la femme de ficher le camp car il aimait déjà une femme extraordinaire et il n'était pas ouvert a d'autres, surtout pas celles habillées comme des catins. (c'est ce qu'il lui avait dit) La femme avait rapidement foutu le camp, frustrée et insultée.  

Gabriel > Il complimenta la femme en lui disant qu'elle était sexy et séduisante, juste avant de la planter comme une idiote et de t'embrasser langoureusement, sans gêne. La femme, voyant cela, quitta la pièce, malaisée et aussi très insultée.

Balthazar > Il lui répondit en une langue étrangère et te pointa au loin. Tu le remarqua et lui envoya la main amicalement. La femme réalisa enfin après trois minutes qu'il parlait de toi et s'éloigna en l'insultant. Balthazar gloussa et alla te rejoindre, un grand sourire aux lèvres. 

Lucifer > Il lui parlait sans cesse de Satan et de l'Enfer, ce qui la traumatisa car elle devait penser flirter avec un serial killer. Il ricana lorsqu'elle s'éclipsa d'un pas précipité et pivota vers toi, une moue incompréhensive sur le visage.

Crowley > Il souris face a ses avances et répondit en l'insultant calmement. Il l'insultait surtout sur son horrible sens de la mode et ne cessait de la comparée a toi, la femme parfaite. Il te pointait et citait tous les bons points que tu possédait et pas elle. Lorsqu'il eut finit, la femme quitta la pièce comme une tempête sans oublier de te bousculer au passage, ce qui te fit ricaner.