Chapitre 10

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Je ne sais comment m'y prendre avec cette fille, je perd tout mes moyens et élocution face à elle. Pourtant ce n'est pas la première fois qu'une fille me plait. D'habitude j'ai une facilité à aller vers elles. Mais là... C'est un désastre. Je pense que c'est parce qu'elle me plait un peu trop. Je devrais relâcher un coup . Si je continue ainsi elle me prendra certainement pour un blaireau qui sait. Il faut que je redevienne moi même .

Je suis dans mon appartement . Je peins. Je peins une fille nue. Oui une fille à qui je plais et qui a bien voulu jouer le jeu. D'ailleurs je ne sais même plus c'est quoi son prénom. Je me rappelle juste qu'elle m'ai dit " Je te demande pas de me rémunérer , mais je veux bien que tu me fasses l'amour après ". Les filles deviennent de plus en plus cochonnes . Elles font ce qu'elles veulent je n'en jugerai jamais . Mais je ne pourrais jamais construire quelque chose de sérieux avec ce genre de filles. Pourquoi ? Ce genre là sont instables et à la moindre dispute avec son conjoint, elles seraient capable de s'envoyer en l'air avec le premier venu juste par vengeance et revenir comme des fleurs vers leur homme. Soit ! La demoiselle se tord dans tout les sens.

- Ne bouge pas!

- T'en as encore pour longtemps ?

- Un peu. Après je n'ai plus qu'à peaufiner tous ça

Elle se lève  d'un bond ! Mais ??

- Je n'ai pas dit que j'avais fini.

Je crispe ma mâchoire quand je la vois se rapprocher dangereusement de moi. Je dois avouer qu'elle a un corps à en faire tomber plus d'un. De belles courbes là où il faut. Son teint pâle marqué par des grains de beauté un peu partout, ses cheveux noirs corbeau long et lisse glissent sur elle telle une déesse grecque. Elle marche en se déhanchant, passe derrière moi pour observer mes finitions. Je sens sa poitrine ferme coller mon dos.

- Hmm! jolie !

Elle glisse sa main sur ma tête, jusqu'à mon cou. Je recule mon tableau. On ne sait jamais on ne va certainement pas l'abîmer. Ses cheveux glissent sur moi, elle s'abaisse et je sens sa langue parcourir mon cou en remontant à mon oreille. Je me laisse faire. Elle se relève pour se mettre à califourchon sur moi. Elle passe ses mains derrière ma tête. Elle me regarde droit dans les yeux, et m'embrasse. Je vous mentirai si je vous disais que ses lèvres ne sont pas délicieuses. Je vous mentirai si je vous disais qu'elle ne me fais pas d'effet. Mes mains l'entourent fermement au niveau des hanches. Elle a envie de moi, je le ressens je passe ma main entre ses cuisses et elle est humide. Eh bien elle va me sentir en elle comme elle n'en a jamais sentie auparavant .
Je la soulève, la porte jusqu'à dans ma chambre, sur mon lit je la jette, le temps d'enlever mon t-shirt, je la vois se rapprocher de Moi, arriver à la hauteur de mon sexe, déboutonner entièrement mon pantalon, je lève mes pieds pour lui facilité le travail pareil quand elle retire mon boxer. Ses pupilles se dilatent une fois devant mes bijoux de famille.

- Waouw. Je savais que ça valait le coup.

Je la regarde sans vraiment trop comprendre, elle s'approche lentement et je sens une vague de plaisir électrisante quand elle glisse doucement sa langue, elle l'attrape entièrement de ses mains. Bon sang! Elle a des gestes, léger simples, prudent et tellement efficace. Le mieux c'est quand elle l'englouti entièrement dans sa bouche . Je crois que j'ai tout de même dû attraper le rebord de mon armoir pour pas perdre l'équilibre . Je n'en peux plus mon souffle est rapide. Je la lève et l'entraine au milieu du lit, j'ouvre le tiroir de mon chevet, une capote. TOUJOURS. Protégez vous.  Je me l'enfile.  Avant de prendre totalement possession d'elle. Je dévore sa poitrine rebondit, j'ai l'impression de m'y perdre. Je mordille ses tétons elle laisse s'échapper des sons, des bruits de plaisir et de satisfaction. Je glisse ma main tout le long de son corps quand j'arrive au niveau de sa vulve, je glisse violemment un doigt en elle. Elle se tord de plaisir. Elle est totalement trempée. J'en glisse un deuxième, elle pousse un petit cri innocent. Je continu mes vas et vient tout en suçant ses tétons. Puis sans qu'elle n'appréhende , je glisse mon sexe en elle, d'une force bestiale. Elle hurle et agrippe ses jambes à mes hanches. Elle en voulait, eh bien je lui en donne, elle est toute rouge, les lèvres entrouvertes à chaque vas et vient elle se cambre, elle attrape ma tête pour que je l'embrasse. Mais non. Je bloque ses mains avec les miennes. Je n'y vais pas doucement, mes mouvements sont de plus en plus plus fort et là tout deux nous nous élançons dans une vague explosive de jouissance. Je relâche ses bras, et je m'effondre sur elle, toujours en elle. C'était bon. Elle caresse mon dos de ses long ongles pointus à la Rihanna. 

- Tu as été parfait

Je ne répond rien, je sais que j'ai été parfait, ce n'était pas lui faire l'amour, je l'ai baisé. Comme elle le voulait au fond d'elle, je ne fais l'amour qu'à une fille avec qui je sors. Je me retire , et file à la douche. J'enlève ce préservatif et prend une douche rapide. Quand j'en sors, elle n'est plus dans ma chambre, je vais dans le salon . Je la vois installer, toujours toute nue sur le meuble en face de mon tableau.

- On continu ?

Me dit-elle avec un large sourire.

Eh bien oui je vais continuer de te peindre mademoiselle.

ÉBÈNEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant