Plomo y rosa. (en correction)

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⚜CHAPITRE 35

J'essaye de ne penser à plus rien et faire le vide dans mon esprit, il faut que les mauvaise ondes disparaissent, sinon je risque de câbler bêtement.

Quelques minutes suffisent pour que tout redevient calme dans le camion, les gardes tant qu'à eux restent vigilant à nous tous, il ont bien raison car tout peut dégénérer a tout moment.

Avec le silence qu'il y a sa nous permet de pouvoir entendre l'hélicoptère survoler juste en haut les camions, pourvus que sa se termine le plus vite possible et une bonne fois pour toute.

[. . .]

Après de longues heures de trajets le camion s'arrête enfin, j'en peut vraiment plus j'ai des courbature de partout à force d'être rester assise, les personnes qui étaient à moitié endormis se réveillent pendant que d'autres lèvent juste la tête et fixe le sol.

Les gardes arrivent et ouvrent le camion, de l'extérieur d'autres arrivent et nous prennent chacun. Menotté les mains derrière nous, nous en sortons tous épuiser et nous n'avons pas la tête à riposter face à quoi que se soit.

Nous somme arriver dans un endroit pour moi que je ne connaît pas de LosAngoles, à côté j'aperçois un tribunal avec sur place des journalistes et encore une fois ils ne lâchent rien et c'est désespérant.

Il y a d'autres personnes en costumes se sont sûrement les juges car il y en a une bonne dizaines car je pense avec le nombre que l'on est il suffira pas que d'un seul juge j'ai envie de dire.

Il y a beaucoup de foule aussi, je souffle un bon coup en croyant que c'est sûrement l'effet d'un rêve ou plutôt que je nage en plein cauchemars.
Je réaliserais que quand ma peine me tombera dessus et que je serait derrière les barreaux, sa à fut un retournement de situation très rapide.

Ils nous ramènent donc par l'arrière de l'établissement, nous nous asseyons plusieurs minutes et après un très long moment d'attente nous voilà tous assis avant tout le monde sur les premiers rang, Rapto est à l'autre extrémité.

Le juge commence donc le procès pour les quelques hommes qui sont présent et les autres se feront plus tard, c'est tout d'abord les affaires les plus lourde qui sont traiter en première c'est à dire Rapto et moi.

Quelques personne entre dans la séance en s'asseyant derrière nous, il y a encore plus de garde qui suivent et des caméras.

_La séance est ouverte, Monsieur Rapto Casanova-Torres lever vous, Commence le juge.
_Vous êtes ici présent pour avoir commis plusieurs meurtres, des délits de fuite et vous êtes apparement responsable d'un hangar brûler qui a causer la mort d'une cinquantaine de personne, après délibération je vous déclare coupable à ses infractions et crimes, la cours vous condamne à la prison à perpétuité, avec une amende de 100 000$ Monsieur Casanova-Torres souhaitez-vous vous exprimer ou laisser votre avocat s'exprimer à votre place ?

Mon cœur rate un battement et je reste sans voix quand j'apprends qu'il doit régler une peine à perpétuité, mon cœur se serre et pour moi c'est juste impossible ce qu'il se passe, tout d'un coup j'ai un goût amer qui me traverse la bouche, j'en ai également peur maintenant pour ma peine.

Et Rapto lui faire de la prison à vie, laisser moi rire.

_Non j'ai rien à dire, Réplique Rapto sèchement.

Je reste encore abasourdie face à cette peine que j'en déglutis difficilement car il l'approuve et ne cherche pas à se défendre mes yeux sont écarquillés du à mon choque.

_Très bien rasseyez-vous.
_En faite, L'agent Ziani-Acciari n'a rien à voir avec tout sa, c'est moi qui les entraîner là.
_Très bien.
_NON C'EST FAUX, IL MA JUSTE SAUVER Criais-je.
_Taisez vous, vous prenez la parole quand il sera votre tour.

Putain il la fait exprès ! Il se tourne vers nous les sourcils froncer en éprouvant aucune émotion aucun sentiment, j'ai vraiment envie de le prendre dans mes bras et le serrer fort contre moi, sa en devient gênant je me mords la lèvre intérieur pour ne pas craquer devant tout le monde, mais en tout cas jamais je dirait qu'il m'a entraîner là dedans j'assume complètement le fait que je ne les pas suivis mais que je les aidez de mon pleins grès sauf que lui contrairement à moi il ne veut rien savoir.

Il se rassois donc sans aucun son sortant de sa voix, maintenant j'ai tout d'un coup très chaud, l'air et si lourd que je n'arrive pas à retenir quelques larmes qui tente de couler, je les essuie rapidement.

J'attend impatiemment mon tour car tout d'abord deux homme passent avant moi, leurs peine à eux et elle aussi lourde, sauf que je ne calcule plus trop j'attend juste mon tour en m'imaginant toutes les peines possibles.

_Mlle Lyna Ziani-Acciari veuillez vous avancez à la barre.