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⚜CHAPITRE 38

_Attend -rire nerveux- tu pense me faire peur comme sa, Dis-je en levant un sourcils en la montrant du doigt.

Elle s'approche encore plus de moi je lève et reste debout face à elle, Zoé se met entre nous deux puis au moment où elle tente de me frapper une sonnerie retentis et plusieurs garde arrivent dans les cellules.

Je continue de la transpercé du regard, droit dans les yeux, j'aimerais qu'elle me tape pour que je me défoule un petit peu, car jamais je frapperais quelqu'un qui me provoque en première, je préfère quand la personne commence le premier coup pour que j'arrive en rafale sans qu'elle se rende compte de ce qu'il se passe.

Elle finis par reculer tout en me regardant de haut en bas, je questionne Zoé du regard par rapport à la sonnerie.

_ Il est midi, ils nous emmènent manger,Me dit-elle.
_Ah ok, Dis-je en fixant Elsa se diriger vers la sortie de la cellule énervée.

Nous sortons donc devant nos cellules puis nous nous mettons deux par deux en suivant une lignée, toutes les femmes et nous même passons par quelques couloirs pour enfin arriver dans une immense pièce qui est donc le réfectoire, la décoration n'est pas vraiment attirante vue que c'est qu'un réfectoire de prisonniers.

Au loin je vois les hommes avec leurs plateaux, une limitation est au milieu du réfectoire pour ne pas que l'on se mélange je présume entre hommes et femmes.

Je prend donc mon plateau avec le strict nécessaire c'est à dire une pomme une banane et un plat un mélange de légume et de purée je pense... l'odeur me donne la gerbe sans même y avoir goûter.

Je m'assoie donc à coter de Zoé sur une table a quatre place, en tournant ma tête je jette un vif regard au hommes qui eux font peur les uns tout autant que les autres, puis mon regard vient s'attarder sur quelqu'un qui est de dos.

La personne se tourne de face et je vois Rapto, mon cœur se serre rien que de le voir là-bas sa me donne une espèce de décharge au fond de moi et j'ai l'envie d'aller le voir, comme s'il me manque même si je le hais, enfin je n'arrive plus trop à cerner les sentiments que j'ai envers lui.

Il y a quelques femmes à la table a coté de la notre qui commence à parler de lui, je tend l'oreille bien évidement pour écouter ce qu'elles disent de lui, bien trop curieuse ? Dites moi qui ne l'aurais pas fait.

_Regardez les filles, c'est Rapto le mafieu Mexicain, Dit l'une excité de le voir.
_Il est apparement Algérien aussi, il est vraiment trop beau, S'exclama une autre.
_C'est décider à la promenade je lui parlerais, Dit la première en réajustant ses cheveux.

Mon cœur se met à battre plus fort à chaque phrase qu'elles disent, les poings sur la table je tente de me calmer car m'énerver comme sa pour un homme ce n'est pas moi, ressaisis toi Luna, non mais elle crois quoi elle aller le voir elle veut mon poing dans sa gueule aussi non.

_Luna tu le connaît, Me demande Zoé en s'asseyant.
_Qui sa, Dit-je en sortant de mes pensées.
_L'homme virile là bas.

L'homme virile la bas ? elle me montre du coin de l'œil Rapto comme par hasard, des fois je me demande pourquoi tout me ramène à lui, qu'on parle de lui qu'on me parle encore de lui encore et toujours.

Je tourne ma tête vers lui et au même moment il a dû sentir des regards insistant sur lui, comme peut être les femmes à coter.

Plomo y rosa. (en correction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant