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⚜CHAPITRE 40

F I N A L E D U T O M E I.

_Aller on n'y va, Lance t'il à Luna en me fixant.

Je serre les dents en essayant de ne pas prendre en compte ce qu'il se passe, elle se dirige vers la sortie et ferment la porte derrière eux , l'infirmière vient se positionner face à moi pendant que j'expire un bon coup.

_Comment vous vous êtes fait sa Êmir, Dit-elle calmement pour ne pas que les gardes à l'extérieurs nous entendent.

STOP ! Attendez deux secondes d'où elle connaît mon vrais prénom, personne et quand je dit bien personne à part ma famille connaît mon vrais prénoms comment une simple infirmière de prison le connaît, je me braque direct en la regardant les sourcils froncés.

_D'où vous connaissez mon prénom, Dis-je sèchement.
_Tu sais j'étais une grande amis de ta mère, je t'es connue quand tu étais tout petit, Dit-elle en chuchotant.
_C'est impossible pourquoi vous avez disparu enfin vous ne m'avez pas connu.
_Tu t'appelle bien Emîr c'est ça

Quand elle me dit mon prénom un lourd poids refait surface et tout les souvenirs étant adolescent et enfant reviennent, ceux avec la madré également...

_Ouais c'est sa , Emîr...Dis-je entre mes dents en fixant le sol en serrant la mâchoire.
_Je t'explique rapidement, j'étais une très grande ami de ta mère mais le temps nous a fait nous séparer et tu sais tout autans bien que moi ce qu'il c'est passer...

Je lève ma tête pour la regarder, ma mère est morte devant moi à cause des histoires de mafia mon père l'a ensuite suivis et j'ai promis à mon oncle Angel de les venger et c'était donc se que j'avais fait, les venger.

_Et je lui ai toujours promis que je garderais un œil sur toi c'est ce que j'ai fait.
_Ah bon et je voudrais savoir comment, Dis-je en levant un sourcil.
_J'ai gagner se poste ici en apprenant à la télévision que tu aller séjourner ici à perpétuité, ici ils leurs manquer une infirmière, je sais que je ne pourrais pas t'aider à t'échapper ou quoi que se soit alors j'ai apporter sa avec moi.

Elle se dirige dans son bureau fouille son placard et en sort un téléphone elle me le tend discrètement, c'est un téléphone vraiment discret non localisable qui ne prend pas en écoute les appels je le mets dans ma combinaison dans un endroit où il ne pourrons pas le voir.

_Et comment vous faire confiance après tout vous n'êtes qu'une infirmière.

Elle sort maintenant une photo de sa blouse et me la tend.

_J'ai toujours sa avec moi, Dit-elle nostalgique.

Une photo de moi en étant encore qu'un bébé avec ma mère est elle même, sincèrement j'en prend lourd sur ma fierté mon cœur se serre et laisse disparaître toute la haine que j'ai pu avoir pendant des années, le visage du Rapto le grand mafieux qui n'a de pitié pour personne disparaît à l'espace d'un instant et laisse le visage d'Emîr l'enfant innocent et naïf, je caresse délicatement le visage de ma mère en fermant les yeux quelques secondes, j'inspire et expire un bon coup en pensant à la reine de mon cœur.

En rouvrant les yeux elle n'a pas bouger elle est debout face à moi, elle doit avoir l'âge de ma mère elle prend mon visage entre ses main qui me font rappeler ceux de ma mère même si jamais personne ne pourra la remplacer elle a les mêmes manières qu'elle dans le temps.

Plomo y rosa. (en correction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant