2.

110 8 2
                                    

Au matin, a mon réveil je pris immédiatement une douche et je m'enfilai un T-shirt sur laquelle était marqué en grosse lettre en violet :Hope, espoir. L'espoir ne m'a jamais sourit tout comme l'amour. J'enfilai un jean noir. Oh! O my God! Si on me voit on va penser que je suis en deuil. Je pris mon sac et je descendis les escaliers ,je me rendis à la cuisine. Une femme élancée, blonde, séduisante, jeune et belle, cuisinait a ma place. En sentant ma présence, elle leva la tête et me dévisagea en souriant. Puis elle me dit:
- Tu dois être Barbara n'est-ce pas? Moi je suis Rebecca .
- En... Enchanté. Bafouille-ai je .
- Ton père m'a dit que je pouvais passer le week-end avec vous.
Ah! Elle est l'une des filles flattée par mon père le flatteur. Peut-être qu'elle a plu a papa. Je lui dis un bref au revoir et je me rendis vers le garage pour prendre ma Toyota vert. Arrivée, j'y montai. Les p'tits doigts serrés, je mis en marche le moteur. Miracle! Ça marche.                              
 

                        ***
Les yeux fixés sur la route, je m'efforcais d'oublier l'inconnu d'hier soir. J'arrivai non sans peine à ella nueva. Je descendis de ma voiture( je l'ai garré dans la cour principale du journal). Puis je me dirigeai vers l'entrée. Gabriella vint a ma rencontre:
- Hi Barbie! Me lança t-elle
- Hello Gabie!
- How are you?
- Fine thanks and you?
- good.
- Où étais-tu hier?
-J'étais malade.
On marchait dans le bâtiment en parlant.
- Gabie ma chérie, j'ai passé la plus mauvaise de mes journées.
- Et moi donc! Avec ma fièvre d'hier...
Chloé nous interrompit:
- Hello les filles! Dit-elle sollenellement .       
- Salut Madame Hector. La taquina Gabriella.
Je rougis violemment puis je les annoncai que je devais me rendre à mon bureau. Je me rendis à mon bureau et Julien mon secrétaire vint m'annoncer que le patron m'appellait. Qu'a-t-il celui là?
Il m'appelle maintes fois et il ne me fait pas une seule déclaration d'amour.
Je me levai brusquement. Arrivée, je frappai. La voix rauque d'Hector s'éleva derrière la porte m'invitant à rentrer. J'entrai, près d'une fenêtre, se tenait un homme fort-séduisant avec ses cheveux d'un noir de jais, ses yeux noirs. Il était vêtu d'un costume blanc, d'une chemise blanche avec les deux premiers boutons déboutonnés. Il s'eloigna de la fenêtre pour faire les cents pas. La tête basse, les yeux fermés il réfléchissait à je n' sais quoi.  En me voyant entrer dans la pièce , Hector me regarda sévèrement et me lança :
- Mlle Roy, apprenez que quand j' vous ai appelé vous devriez venir comme une lièvre pas comme une tortue!
- Excusez-moi. Au cas ou vous n' l'auriez pas remarqué je suis un adulte tout comme vous pas une gamine de 5 ans. Sachez aussi que je suis pas votre servante ni votre employée.
-Ah! Bon? Vous êtes l'employée de qui? Fit-il ironiquement.
- Je suis l'employée d'Édouard. Dis-je fièrement
- Le signor Édouard est malade. Mon oncle ne reviendra pas dans 10 semaines consécutives.
- Ça m'étonnerait. Rétorque ai-je.
L'autre homme qui suivait notre scène sans un mot. Nous interrompit :
- Allons, allons Hector on n'injure pas une femme.
Hector se calma. Puis l'homme s'approcha de moi et fit signe à Hector de nous présenter. Celui ci prit un air boudeur mais s'executa :
- Mlle Barbara je vous présente mon frère jumeau Carlos Michaël  ,Carlos je te présente Barbara Roy mon...
- Je suis tout simplement une employée. Le délivrai-je car il ne trouvais pas les mots ,chose que je devrais pas faire. 
- Je suis enchanté de faire votre connaissance. Fit Carlos en me baisant délicatement le dos de ma main. Décidément à vue d'oeil, il était plus, plus clément que son frère. Je l'aient regardés à tour de rôle, sidérée de voir de jumeaux sans ressemblance.
- Vous êtes sûrs que vous êtes des jumeaux? demande  ai-je stupéfaite.
Hector éclata de rire et Carlos m'adressa un sourire.
- Euh... Qu'est-ce qui est drôle? Leur demande ai-je.
- Oh! Tout est drôle. Me répondit Hector en s'esclaffant.
- Pas vraiment tout Hector. Lui dit son frère pensivement.
Orgueilleuse, je demandai :
- Pourquoi? Il y a quelque chose ?
- Non, non, rien. S'empressa de me répondre Hector en reprenant son air sérieux. Prob. De famille. Ajouta-t-il en fronçant ses sourcils.
Je lui lancai un regard glacial. Puis je lui tendit les copies que j'avais pris soin d'apporter. Et j'ai disparu dans l'allée.
                              ***
- Aller Barbie dis oui. Me sursura Gabriela qui voulait que je l'accompagne à une fête d'employés.
Je finis par céder.
- Bon d'accord mais à une condition.
- Tout ce que tu voudras sauf râter le défilé de mode de vendredi.
- Que tu te débrouille à c' qu'aucunes lettres d'admirateurs secrets me soit accorder. Lui dis-je à contrecœur en soupçonnant Hector de profiter de cette fête de détente pour me larguer. Il paraît tellement distrait.

Un Coeur Pour Deux?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant