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Carlos.-

Dring...dring...
- Allô ?
- Sire?
C'est Denise ma secrétaire.
- Oui.
- Une certaine Barbara Roy dit qu'elle veut vous voir mais elle n'a pas de rendez-vous.
Tiens tiens. Elle est venue me voir à mon travail. J'aime pas trop raconter ma vie mais je vous confie que je suis un homme riche, le patron d'une entreprise, le patron de l'A.S agent secret et spéciaux.
- ça n' fait rien faîtes la rentrer.
- Majestad.
Je rassemblai tout les papiers éparpillés sur mon bureau, les mis dans un tiroir puis j'enlevai ma veste, je retroussai les manches de ma chemise blanche puis je me mus debout. Si elle est venue jusqu'ici faut'qu' je me montre séduisant pour lui séduire colle certaines femmes. La porte du bureau s'ouvre puis Barbara fit irruption dans la pièce elle portait un corsage blanc et un pantalon de tissu noir.
- Mlle Roy quelle surprise. Lui lançai- je sacarstique.
- Bonjour Monsieur Trewayley.
- Je sais pourquoi vous êtes venus et c'est non il en ait hors de question que je réponde à vos questions. À mes mots, je m'asseyai sur mon fauteuil. Elle ne semblait pas découragé elle s'asseyais en me le demandant puis ouvrit son sac prit un bloc-notes puis me dit:
- Monsieur Trewayley
- Décidément vous n'êtes pas décidé à laisser tomber.
- Je fais mon travail. Me dit-elle calmement.
- Il y a peut-être un moyen de répondre à vos questions.
- Lesquelles ? S'empressa t-elle de me demander.
- Si vous acceptiez de sortir avec moi ce soir. Je vous invite à dinner.
- Hors de question.
J'eus un rire amusé.
- Vous aviez raison pas de dinner pas de question.
Elle semblait réfléchir.
- Je....
- Je vous promet que vous pourrez me poser certaines questions mais ce doit être dans un moment précis.
- À quelle heure ?
- Vous acceptiez?
- Sachez que je le fais pour mon travail.

Barbara.-

Il eut un rire amusé.
- Je passe vous prendre à 6 hres 30 . Me dit-il en regardant sa montre.
- Commencez dès maintenant à répondre à mes questions.
- Je déteste les journalistes sauf celle qui est devant moi.
- Bravo. Moi je déteste les prétentieux probablement celui qui est devant moi.
Soudainement, il éclata d'un faux rire.
Je me levai puis je lui serai la main:
- À ce soir. Me dit-il.
- Prenez pas d'espoir je peux toujours décommander.
- Je vous le déconseille si vous voulez vos réponses.
Sans ajouter un mot je sortis du bureau.
                           ***
Arrivée chez moi, je montai dans ma chambre, je pris mon bain enfila un peignoir. Je me jettai sur mon lit j'eus la sensation bizarre que je venais de faire un accord avec le diable j'avais dis oui. J'avais cédé trop facilement. Il a comme une supériorité envers moi dès qu'il me parle j'ai l'impression que je fais qu'approuver. Quand je le vois je frissonne. Suis-je amoureuse ? Non. Si l'amour ne m'a jamais souris c'est pas avec un prince qu'il va le faire. Je le secouai la tête pour m'enlever ces idées puis je tombai dans les bras de Morphée...

Un Coeur Pour Deux?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant