7.

62 8 3
                                    

Voici la partie que vous attendiez tous!!!
Bonne lecture !

Je me levai précipitamment. Zut! Il est 5 hres 39 et je vais rater mon rendez-vous. Je le rendis à la douche me baigna puis je me brossai mes longs cheveux noirs nerveusement. J'enfilai une robe de soie rose me donnant au dessous de mes genoux. J'avais laissé mes cheveux retomber sur mes épaules. Au moment où j'allais me maquiller j'entendis sonner à la porte. Je me maquillai précipitamment. Rouge à lèvres roses. Faux cils, crayons puis je me mis des boucles d'oreils je pris mon sac et descendis à quatre les escaliers. Mon père avait déjà ouvert et je le trouvais bavarder aimablement avec Carlos. Carlos avait mis une chemise bleue dont il avait retroussés les manches et un pantalon noir. En me voyant entrer il m'examina pendant quelques secondes puis déclara :
- Una bella segnorina.
- Si si vous avez raison. Lui répondit mon père.
- si vous n' voyez pas d'inconvénient j'aimerais bien partir maintenant. Avouae ai-je.
- Comme vous voulez. Me dit Carlos.
Il me prit par la main et m'entraîna dehors je me retournai pour crier a mon père :
- Papou n'oublie pas tes médicaments.
De la maison j'entendis des bruits d'assiettes cassées, de casseroles tombées puis j'entendis mon père s'écrier :
- C'est rien j' vais très bien.
Je fus entraîner vers une limousine qui m'est parut familière. Carlos m'ouvrit la porte de la banquette arrière j'entrai puis il entra a son tour, il s'installa en face de moi. Puis une voix qui m'est parut faible demanda:
- Altesse j'vous emmène où ?
- A Don Juan.
- Bíen Altesse.
Il se retourna vers moi puis je posai la question qui me brûlait les lèvres:
- Suis-je déjà monté dans votre limousine ?
- Oui on peut dire ça.
- Comment? Hurle ai -je en ecarquillant des yeux.
- Le soir où il pleuvait j'avais épargné vos merveilleux cheveux de cette pluie.
- Oh merci.
- J' vous en prie. Dans mon pays on trouve rare une femme aux cheveux noirs. En plus d'un noir de jais.
- Ah bon?
- Elles sont blondes, brunes et rousses pour la plupart. Mais pour les autres leurs cheveus sont noirs mais pas un noir de jais et raides.
Je mis mes mains dans mes cheveux fière.
On arriva au restaurant italien un Italien vint m'ouvrir la porte. Le prince sortit puis il me tendit la main pour sortir. Au dehors des centaines d' photographes prenaient des photos d' moi et du prince. Un homme se faufilait à travers la foule pour nous permettre de passer il nous entraîna à l'intérieur du restaurant puis le prince commanda une table de première classe pour nous aussitôt un jeune homme vint nous conduire à la table commandée. Le prince me fit m'asseoir en tenant ma chaise puis il s'asseya en face de moi.
- Je tins a m'excuser pour les photographes c'est qu'ils profitent de l'occasion pour avoir des photos d' moi comme je suis un prince ils profitent vous comprenez?
- Oui je comprends. Dis-je mal assurée.
Un garçon vint nous apporter les menus. Quand je glissai les yeux vers mon menu pas aucun metz figurant sur la liste me plaisait je n' les avait jamais goûtés c'était pour moi comme ni vu ni connu.
Je décidai de jouer à celle qui se laisse faire.
- Alors vous choisissez quoi ?
- Rien
- Rien?
Là je suis mal.
- Oui rien.
- Comment ça rien ?
- Quand je dîne avec une femme ses choix sont aussi les miens.
Je transpirai. Mais il n'était pas dupe il avait bien vu que j'étais pas du tout a mon aise.
- Ça n' fait rien je vais choisir
Le garçon revient avec un bloc-notes puis dit:
- Son altesse royal et madame désire ?
- Madame va prendre des miamolis, des broyimas et...
- Des broyimas? Des broyi.... Beurk il n'en est pas question que j'avale ce truc. Dis- je en oubliant mes bonnes manières.
- Et du vin blanc ou rouge ? Continua le prince sans faire attention à ma remarque.
- Rouge.
- Du vin rouge.
- Bien Altesse. Puis le garçon s'en alla sur les roulets.
Après son départ, le prince me dévisagea un instant je baissai timidement les yeux incapable de soutenir son regard. Suis- je amoureuse de lui de ce fait? Non n'importe quoi.
- Vous devriez goûter les nourritures italiennes vous savez ?
- Désolée.
- Pourquoi ?
- J'ai agi comme une idiote.
Il sourit puis fronça les sourcils.
- Dites, pourquoi ne riez vois pas? Lui demande ai-je.
- Je ris toujours cette question devrait être adressé à Samantha.
- Samantha ?
- Oui.
- C'est qui?
- C'est ma fille.
- Ah bon? Vous aviez une fille ?
- Oui. Sa mère est morte quand elle avait 1 mois.
- Oh! Mes condoléances.
Il eût un moment de réflexion puis me demanda :
- Vous êtes brune?
- Oui. Dis - je en passant les mains dans mes cheveux un peu gênée.
- Je ne l'avais pas remarqué.
- Le soir mes cheveux semblent être noir.
Il réfléchit puis je lui posai une question :
- Comment est morte votre femme ?
- C'était pas ma femme c'etait une servante chargée de me donner un héritier la loi Enrikhiens dit que si la servante donne une héritière a son maître elle sera mis a mort. Elle m'a donné une héritière et s'est suicidée on m'a suggéré de noyer l'enfant mais j'avais refusé.
- Vous aviez bien fait. Et où est-elle?
- A Enrikha elle viendra à Mexico après demain.
On apporta les mets. Carlos me servis lui même les broyimas degués puis il me tendis une fourchette me recommandant de l'avaler.
- Beurk c'est dégoûtant.
- Allez-y.
Je m'exerçai. Hmmmmm..... Délicieux.
- Alors ? Me demanda t-il.
- C'est délicieux.
Nous mangions les broyimas, les miamolis et nous burent beaucoup d' vin. Après cela je lui posai mes questions. Il me répondit d'un air gêné puis me raccompagna chez moi. Ça s 'est passé tellement vite que j'avais pas remarqué mon arrivée il m'accompagna jusqu'à ma porte:
- Euh... Voilà nous voici arriver.
- Et séparés. Ajoute ai-je en riant.
Il m'attira vers lui. Son souffre et le mien ne faisait plus qu'un seul avant que j'ai pu dire quoi qu' ce soit il mit ses lèvres sur les miennes. Nous nous embrassons passionnément pendant de longues heures et à ma grande surprise je lui passai mes mains dans ses cheveux. Subitement je me dégageai de lui puis comme ressaisit il s'excusa auprès de moi:
- Désolé. Passez une bonne nuit. Ajouta t-il. Il s'apprêta à me baiser la main mais je le repoussai:
- Non ça va ça va. Bonne nuit.
À ces mots, j'ouvris la porte et j'entrai me laissant glisser contre la porte....

Eh bien! Je suppose que vous aviez aimé l' baiser si non faîtes moi part de votre opinion cela m'aidera à améliorer les baisers!!!!! 😋

Un Coeur Pour Deux?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant