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Mes chers/chères lecteurs/lectrices je vous signale que vous êtes presqu' à la  fin de l'histoire mais ne vous en fait pas, vous aurez une fin heureuse. Même si ce chapitre est triste... Bref ! Voter et commenter, lisez, suivez moi. Merci d'avoir lu mon histoire... Bonne lecture !!!

Je me rendis chez moi puis quand j'ouvris la porte. Michaël se rua sur moi:
-Ça va aller? Lui demande ai-je.
Il avait l'air triste. Mais il se resaisit et me dit :
-Je...
-Je sais j'ai prit ta chemise Michaël c'est que j'avais pas trouvé de quoi me mettre.
Il rit nerveusement puis je lui demandai :
-Qu'avez-vous ?
-Tu viens de me tutoyer et de m'appeler par mon prénom.
Je baissai timidement la tête en rougissant.

Carlos.-

Comment allait-elle réagir à ma mauvaise nouvelle ? Il fallait que j' lui le dise. Je lui soulevai la tête avec le pouce et l'index plongeai mon regard dans le sien caramélisé.
-Barbara ton père est...
-Je sais que j'ai été courageuse mais j'ai démissionné. Eh oui!
-Barbara ?!
-Oui tu es content pour moi
-Barbara ?!
-Je n'suis plus journaliste ni avocate...
-Barbara ?!
- Je vais de nouveau devenir espionne. Et j'espère que tu vas m'engager...
-Bien sûr mais...
-Ah bon ? T'es un cœur... Tu pourra m'emmener un d' ces jours à Enrikha ?
- Absolument mais écoute moi...
-Tu disais dans ton petit mot que tu m'aimais, tu disais vrai ? Et puis tu l' pensais ?
- Évidemment mais...
- Tu sais quoi ?! Moi aussi je t'aime...
- Barbara ?!
- Depuis le jour j't'ai vu tu m'as attiré Michaël....
-BARBARA ?!
Elle sursauta puis se tut. Elle semblait terrorisé par ma colère :
-Je suis désolé d'avoir crié sur toi mais il faut vraiment qu'tu m'écoutes. Ton père est...  mort...
Elle éclata de rire nerveusement puis ses yeux se remplirent de larmes.
-Il est mort hier matin... On te l'a pas dit parce que Rebecca voulait en être sûr... Il avait oublié de prendre ses médicaments et il s'est évanoui on l'a conduit à l'hôpital... il a rendu son dernier souffre en prononçant ton prénom c'est pour ça que tu n' l'as pas vu hier. Dès que tu es partie hier soir on l'a annoncé à Rebecca...
Des larmes coulèrent sur sa joue elle s'effondra à terre, agenouillée à terre elle pleurait bruyamment. Je me baissai à sa hauteur la prit dans mes bras comme une petite fille qui a perdu sa poupée. Elle pleurait dans mes bras. Je la berçai doucement en lui murmurant des vaines paroles réconfortantes et appaisantes.
- Chuuuuuuuuuuuut!!!!!!! Tout va bien...tout va bien... Ça va aller....
Après s'être calmée, j'avais mis Barbara sur son canapé du salon elle s'y était assise attendant que je prépare son thé. Après avoir terminé de préparer son thé, je me rendis au salon pour le lui donner. Elle était assise, les yeux bouffis tellement qu'elle avait pleuré. En me voyant arrivé, elle baissa la tête en disant :
- Je suis pas comme hier soir, ne m' regarde pas je suis horrible.
Je m'assis à côté d'elle lui souleva la tête avec le pouce et l'index cherchant son regard qui me fuyait :
-Peu importe,aimer quelqu'un réellement veut pas  dire que tu aimes sa beauté extérieure. Tu vois c'qu'il a d'intérieur.
Elle me sourit puis prit sa tasse de thé, le porta à ses lèvres puis but une gorgée elle fit la grimace ce qui m'amusa :
-T'es vraiment une gamine de 8 ans.
Elle leva les yeux au ciel puis mit la tasse de thé sur une table ronde du salon.
-Je croyais que t'avais des servantes et serviteurs dans ton royaume comment ça s'fait qu'tu sais faire du thé ?
- Comme je te l'ai ma bella signorina il faut que je saches me servir de mes dix doigts.
- Au fait vous êtes très habile de vos dix doigts.
Me dit-elle en me souriant.
Je voyais là où elle voulait en v'nir et ne comptez pas sur moi pour vous expliquez... Bon ! J'vais vous donner un indice. Je lui rendis son sourire puis je lui dis :
- Je sais.
- C'est la première fois?! Me demanda-t-elle d'une petite voix en approchant ses lèvres des miennes.
D'une manière ou d'une autre cette fille est une vraie séductrice.
-Pas vraiment...
-Ah bon?!
-Ouais.
J'approchai moi aussi mes lèvres puis comme ressaisit je me levai sans savoir pourquoi cherchant des argumentations pour ne pas la blesser:
-Je... Vous devriez aller voir pour l'avant dernière fois votre père à l'hôpital. Si vous voulez je vais vous y emmener.
Elle acquiesça puis se leva, sortit de la maison suivit de moi...


Un Coeur Pour Deux?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant