Une fête avait été organisé pour les 15 ans du prince Adrien. Son père voulait la faire dehors, mais son cher fils l'a voulait dans la grande salle du palais. Il aimait beaucoup cette salle. Grande, luxueuse, pleine de sculpture et autres richesses en tout genres. Mais ce qu'il aimait le plus, c'était son piano. Rien de bien spécial, mais ce piano avait bercé son enfance, lorsqu'il venait jouer avec sa mère. Elle s'asseyait sur le petit tabouret et jouer une mélodie peu commune. À la fin du morceau, elle prenait son enfant sur ses genoux et lui murmurais à l'oreille :
- Tu vois, mon chéri, même avec quelque chose que tout monde crois perdu, on peut faire quelque chose de merveilleux.Et c'était vrai. Cette mélodie avait accompagné les ancêtres du jeune prince.
Alors il voulait absolument qu'on fête ses 15 ans dans cette salle. Absolument.
Les couturières avait courus dans tout le palais pendant toute la sainte journée, essayant d entrouvre une tenue adéquate aux circonstances.
Mais Adrien, ne voulant pas avoir une de ces drôles de tenue que lui confectionnais ces chères couturières, s'était caché et n'était sorti que lorsque le fête commença. Il était vêtu de ses habits du dimanche, bien plus confortable que les pantalons trop serrés et les vestes trop larges de ces stylistes en herbe.
Il dû parcourir une ribambelle de couloirs, pour enfin arriver sur la grande salle.
On avait mis un grand orchestre dans l'un des coins de la pièce, quelques rubans et un grands buffet contre les murs de la salle.
Grâce aux grands vitraux, on pouvait apercevoir des rayons de la Lune qui se faufilaient sur les hauts murs de la grande pièce.
Adrien était époustouflé.
Ce spectacle était.. Magnifique.
Il se dirigea vers on père, qui avait pris place sur son grand trône doré, sur un des plus grands balcons de la pièce.
- J'ai appris que vous vous êtes enfermer dans votre chambre. Vous devriez vous comportez comme le prince que vous êtes, mon cher fils.- Excusez-moi, père.
Adrien n'avait jamais été proche de son père, même lorsque sa défunte mère était encore parmi nous. Mais il faisait son possible pour que son père soit fier de lui. Alors il ne disait jamais rien d'autre que "Excusez-moi, père.", bien qu'il avait l'envie de lui crachais au visage que se genre de festivité n'étaient pas son genre.
Il scruta la salle, qui se remplissais peu à peu.
Son regard passa de noble en noble, de serviteur en serviteur, mais aussi de fille en fille.
Son père voulait le marier à l'une de ces pimbêches qui ne pensait qu'à la fortune et le pouvoir. Sa mère l'avait prévenue : il devait connaître sa femme avant de se marier.
Alors il avait demandé à son père de faire plusieurs petites fêtes, pour connaître la fameuse future princesse. Mais toutes étaient arrogantes, hautaines et égoïstes.
Personne ne lui plaisait.
Il avait bien penser que peut être qu'il pourrait aller voir dans le royaume, car qu'elle soit paysanne, boulangère ou bien servante, tant qu'il l'aimait, tout lui irait!!
Mais son père lui refusa le don de sortir du palais, l'emprisonnant dans sa propre maison.Son regard perçant traversa toute la salle, sans exception. Toutes ces pauvres filles le regardaient, un sourire aguicheur aux lèvres.
Puis les portes s'ouvrirent, pour faire apparaître deux retardataires.
Adrien n'y dis pas attention, et s'éclipsa, prétextant avoir soif.
Mais il se dirigea vers sa chambre, pris un costume de bal avec le masque qui va avec, s'habilla, puis pris une porte cachée menant à la grande salle.
Comme il portait un masque, personne ne le reconnu. Tout le monde se disait que c'était un jeune homme déguisé en chat noir, dû à son costume noir et ses deux oreilles de chat. Il portait un petit grelot jaune attaché au cou.
Il se dirigea vers le buffet captant quelques regards indiscrets de ces demoiselles.
Il sourit intérieurement. Elles voulaient la beauté, en plus de cela!!Il s'adosse à la grande table, scrutant une fois de plus la vaste pièce.
Une discutions attira son attention. Non, en fait ses interlocutrices. L'une d'elle déguisé en paon bleu, et l'autre, en coccinelle. Le paon était de dos, mais Adrien voyait à sa peau colorée qu'elle venait des pays du sud, tandis que la jeune coccinelle avait la peau aussi blanche que la porcelaine de sa grand-mère. De beaux cheveux bleus nuit, un corps de rêve, et un sourire à tomber par terre. Mais.. La chose qui retint son regard fut ses yeux. Ils étaient magnifique. Bleus, avec de longs cils, et au centre, on pouvait apercevoir une teinte de jaune.
Elle ria à une blague de son amie, et Adrien fus sous le charme.
Il s'approcha doucement, pour entendre leur conversation :
- Le prince n'est plus là, dis moi, commença la métissé.
VOUS LISEZ
Mes petits OS : Miraculous Ladybug
FanfictionVoilà, j'ai enfin dessiner de faire des OS, qui consiste à écrire une petite histoire sur quelque chose. Ben j'ai dessiner de le faire sur Miraculous Ladybug [oui je suis une {TRÈS} grande fan de cette série-histoire super cool] Bonne lecture, mes k...