21/02/2010
Cinq jours.
Cinq jours que YongGuk a disparut de la circulation. Cinq jours qu'il ne l'a pas vus. YongNam se ronge les ongles et l'angoisse lui tord l'estomac. Il se ronge les ongles et n'arrive plus à dormir.
YongGuk est partis sans laisser de mot, sans même prendre aucune affaire. Ce dernier point le préoccupe particulièrement : son frère venait de dépensé toutes ces économies du travail dans une belle paire de chaussures, il n'avait plus aucun argent...
Alors,à bout de nerf, YongNam s'était rendu au poste de police. Maintenant qu'il était en face il n'ose pas entrer. Il avait trop peur qu'on lui annonce qu'il était arriver quelque chose à son frère: les gens qui le frappaient était tellement violent... si son frère est à l'hôpital, il peut être sûr que leur père ne payera pas pour son fils.
Pourtant, il s'inquiète trop, alors il finit par pousser la porte vitrée du poste.
Il salue les employer d'une brève révérence et se dirige vers un guichet.
-Bonjours,je... je viens pour signaler la disparition de Bang YongGuk, mon frère jumeau.
L'homme devant lui hoche la tête et tape quelque chose sur son clavier.Avant de lever les yeux vers lui.
-Vous êtes Bang YongNam, c'est ça ?
Le garçon hoche la tête.
-Votre frère a disparut depuis combien de temps ?
YongNam sentis son cœur se serrer: il pouvais, grâce à cette dernière question, être sûr que l'homme en face de lui n'avait aucun renseignement sur YongGuk...
-Cinq jours, c'était samedi soir.
-Vous vous souvenez de comment il était habiller la dernière fois que vous l'avez vu ?
-Pantalon en Jean trop large et t-shirt XXL,. YongNam est affolé de ne pas pouvoir donner plus de détails. Il a la même tête et la même taille qui moi mais il est beaucoup plus fin. Oh et il portait des chaussures toutes neuves, des Nike avec une couleur bleu bizarre un peut comme...
Lejeune homme lève la tête et regarde autour de lui pour trouver une couleurs qu'il pourrait comparer.
Il se fige quand ses yeux se posent sur un objet en particulier :une paire de basket, posée sur le bureau d'un employer.
-C'est-c'est... c'est celle la ! S'exclame-t-il en se ruant vers elles,la gorge nouée.
Il s'empare des chaussures. Plus de doute possible, c'e sont bien celles de YongGuk.
-Où vous les avez trouvé ? S'empresse-t-il de demander à l'homme du guichet.
Le visage de celui-ci s'assombrit alors que son regard tombe sur les chaussures en question.
-Un collègue les a rapporté de sa ronde il y a deux jours. Elles étaient sur le pont Mapo.
Les yeux du jeune homme s'arrondissent. Une balle dans la poitrine lui aurait fait moins mal que les mots de l'hommes : tout le monde sais ce qu'est le pont Mapo. Par ans, plus d'une centaine de jeune sautent de cet endroit, directement dans l'eau froide, pour mettre fin à leurs jours.
YongNam sens les larmes lui monter aux yeux. Il a envie de hurler parce qu'immédiatement il sais que c'est de sa faute. Il n'aurait pas dû accepter cette bourse pour l'école de police de Gangnam-gu et quitter son frère, il aurait dû réagir tout de suite quand il avait appris que des gens le frappaient, au risque de blesser la fierté de YongGuk. Il aurait dû l'éloigner de leur père, il aurais dû...
Il tomba à genoux, les larmes dévalant ses joues.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Voilà un premiers chapitre plutôt court. Juste de quoi vous mettre l'eau à la bouche! #BaboUnnie
Chapitre écrit par BaboDongsaeng! (Mais BaboUnnie m'a proposée plein d'idée et s'est bien foutue de ma gueule devant mes fautes d'orthographe grotesques -il dois en rester d'ailleurs, pardon.)
Oh et pour info, c'est bien YongGuk sur la photo et pas YongNam mais on y crois OK? parce que y a pas moyen de trouver des photos de ce mec en bonne qualité... #BaboDongsaeng
VOUS LISEZ
Les Chaussures Oubliées
FanfictionFanfiction multigroupe!!! Les chaussures oubliées: "C'est ce que nous sommes et ce que nous voulons être. Ce n'est pas à nous de changer. C'est à vous de nous accepter. Nous ne sommes pas anormaux. Ce qui est anormal c'est votre discrimination. Aujo...