La cendrillon du siècle

676 31 3
                                    

Introduction

Il était une fois, l'histoire d'une magnifique jeune fille, Lya. Brune, visage pur, d'une profonde gentillesse. Elle vivait à Los Angeles dans une jolie villa avec son père, chef d'entreprise gagnant bien sa vie et avec sa belle mère, femme au foyer aimant l'argent de son mari. Cette femme avait eu de son précédent mariage deux filles, des jumelles, Manon et Nynon. Ces filles étaient les plus populaires du lycée mais aussi les plus idiotes. Tous le monde voulais leurs ressembler, leurs parler, les toucher. Quoi que toucher n'était pas fort compliquer, avec leurs réputations de "Marie couche toi là".

Lya n'aimais pas et détester même sa nouvelle vie. Depuis la mort de sa mère il y a un an, emportée par la maladie, tout avait changé. Elle avait d'abord fait la connaissance de Lorenda, l'ingrate belle mère. Elle avait dû supporter sa présence, le week end puis la semaine avant que celle ci ne finisse par emménager avec eux. Le père de Lya pensait que cela était une bonne chose, que la présence d'une femme lui ferrait oublié d'une certaine manière la tragique perte de sa mère. Lya bonne comédienne et aimant de tous son coeur la seule famille qui lui rester, simula le bonheur et la joie d'a nouveaux formée une famille !!

Lorenda était animé d'une profonde jalousie. Cette femme accro à la chirurgie ne ressemblait plus à rien. Peur de vieillir, elle avait fait pire. Voyant au quotidien la beauté de Lya, elle n'avait trouvé seul moyen que de lui faire vivre un cauchemar dès que son époux avait le dos tourné.

Mais un jour, en rentrant des cours, Lya eu la surprise de découvrir deux policier dans le salon.

Lya : Que se passe t-il ?

Lorenda : Assied toi, ses monsieur ont à nous parler !

Lya s'exécuta. Elle savait qu'il y avait un problème. L'un des policier se racla la gorge et pris la parole en fixant la jeune fille.

La policier : Mademoiselle Leyser, j'ai le regret de vous informer que votre père à été victime cette après-midi d'un accident. Trop touché, il a succombé à ses blessures.

Lya vit une deuxième fois le monde s'écroulait autour d'elle. A la mort de sa mère, son père lui avait promis de ne jamais là quitter, de toujours prendre soin d'elle. Et pourtant il s'en est allé. Sans dire un mot, sans prévenir, sans que l'on s'y attende. Elle n'avait pu lui dire au revoir, l'embrasser une dernière fois, lui dire qu'elle l'aimait. La pauvre fille se voyait 1 an en arrière. Le malheur la suivait, la douleur l'accablait. Les larmes envahissent son si beau visage et malgré la tristesse qui lui poignardait le coeur, elle demanda.

Lya : Comment cela a t-il pu arriver ?

Lorenda : J'ai appelé ton père au bureau pour qu'il puisse rentrer plus tôt. Je voulais qu'on passe du temps ensemble avant mon voyage et en venant me retrouver, ton père est décédé..

Son petit sourire mit hors d'elle Lya.

Lya : C'est donc toi qui l'a tué !!! Si tu n'avais pas encore une fois de plus voulue sa fichu carte bleu, il serait encore avec moi ! Tu me l'as pris en te mariant avec lui, fallait qu'en plus de ça tu me l'arraches ? Tu l'as tué !! Tu es un monstre !!

Lorenda garda le silence, que pouvais t-elle répondre de toute façon ?

Le policier osa rompre le silence.

Le policier : Votre père à été percuté de plein fouet par un poids lourd. Vous serez appelé par l'hôpital afin de vous y rendre.

Je me taira dans le silence et la colère. Les policiers me saluèrent en me présentant leurs condoléances mais que faire, je ne veux aucune pitié, je ne veux que mon père !

Elle resta là toute la soirée. Assisse dans son petit canapé à s'abandonner dans ses pensées. Elle se surprit à se remémorer des souvenirs de son enfance. Un jour l'avait marqué. C'était une après midi d'été. Lya était partie au parc avec sa mère. Elle lui tenait la main et tentait par tous les moyens de lui ressembler. Elle regardait avec admiration la femme qui l'avait mise au monde.

Lya : Tu es la plus belle des mamans.

Sa mère : Ma puce, tu seras encore plus belle que ta maman.

Lya : Tu crois ?

Sa mère : Bien-sûr. Tu as un visage d'ange, un regard de biche. La beauté d'une poupée. La fragilité d'un bébé. La force d'une femme.

Lya : Tu crois que moi aussi je trouverais un prince charmant comme papa ?

Sa mère : Tu auras droit à ton prince charmant, et mieux que ton papa !

Le père de Lya avait interrompu ce moment en serrant fort contre lui sa femme. Les deux parents regardèrent avec amour et fierté leur petit fille, belle comme la plus belle des princesse. Ce moment aussi simple que cela puisse paraître, est le plus beau souvenir qu'à Lya de ses parents réunis.

Quelques jours plus tard, les deux femmes se rendirent a l'enterrement d'un père, a l'enterrement d'un mari. Il y avait beaucoup de monde mais la cérémonie fut simple. On rendit hommage à monsieur Leyser.

Le prêtre appela Lya. Il était venu pour elle le temps d'adresser à son père ses dernières paroles.

Elle eu tous d'abord du mal à se lancer. Sa voix trembler, sa gorge était noué mais elle y parvint.

Lya :

Il y a 17 ans, mes merveilleux parents m'ont donné la vie. J'étais le petit être le plus cher à leurs yeux. Leur amour fut un exemple, leur gentille un vrai modèle. Ils m'ont élevé dans le bonheur absolus. Je n'ai jamais manqué de rien et étant fille unique, je ne me suis jamais ennuyée. Car mes parents ont toujours étaient là. Mon enfance fut véritablement la plus belle partie de ma vie et si j'avais un souhait à faire, celui ci serait de retrouver ne serait ce qu'une seule journée les deux personnes que je n'aurais jamais assez aimés. De là haut, ils me voient et veille sur moi. Je suis heureuse qu'ils se soient enfin retrouver, car leur amour est à toute épreuve. Je vivrais ma vie avec passion et dévotion pour rendre fier ma mère et mon père.

Elle bloqua quelques instants sur "ma mère et mon père", elle fut d'un coup boulversé. Ses larmes coulaient à flot et tous le monde la fixait. Personne ne venait la consoler et quand Lya se calma, elle releva la tête, regarda autour d'elle et compris à son plus grand regret qu'à présent, elle ne pourrais compter sur personne.

La famille embrassa chaleureusement la jeune fille avant de quitter le cimetière. Elle se retrouva seule, une fois de plus, dévasté par le chagrin. Elle pleura encore et encore , autant qu'elle le pouvait, accroupis sur la tombe de ses parents quand une main vint se poser sur son épaule. Elle sécha rapidement ses petits yeux et leva la tête.

Elle vit Lorenda.

Lorenda : Rentrons.

Lya : Je veux encore rester et pleurer la perte de mon père.

Lorenda lui saisit le bras et répondit sèchement.

Lorenda : Tu ne décides pas petite fille. J'ai dis à la maison et maintenant ! Crois moi, ton enfer ne fait que commencer !.

***********************************

Fin de l'introduction.

Qu'en avez vous pensé ?

Que pensez-vous des personnages ?

Bisous **

La cendrillon du siècleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant