1 semaine que Lya avait perdue son père et elle aimerait tant le rejoindre, le serrer fort dans ses bras. Il lui manquait terriblement et se sentait si seule.
Point de vue de Lya.
Je me réveille tous doucement. Aujourd'hui j'ai décidé de reprendre les cours. Après 1 semaine d'absence à me morfondre sur mon sort, je me dis qu'il serait temps de reprendre le cours de ma vie. C'est ce que mes parents auraient voulus.
Je descend à la cuisine et me prépare des tartines. Je les manges en regardant les clips à la télé. J'aime bien me réveiller dans le calme et avec un fond de musique, ça me met de bonne humeur. Mon déjeuné bien engloutis je me pressa vers la salle de bain pour prendre une douche. Je m'éternisa sous celle ci quand d'un coup l'eau devint glacé a en mourir. J'hurla de toute mes forces mais à quoi cela servait-il ? Personne n'était là.
Je m'entouras d'une serviette et descendis à la cave pour relancer le ballon d'eau chaude. Je me stoppa net au salon, surprise de voir l'horrible tête des sœurs Kamn, assissent dans mon canapé en train de rigoler et de me filmer.
Manon : Alors ? Pas trop froid ?
Moi : Bande de peste !
Nynon : Tu devrais te dépêcher de laver tes cheveux ma belle, on pars en cours dans 5 minutes.
Je descendis à la cave en leur adressant un regard meurtrier. Mais j'ai trop bien été élevé pour me rabaisser au niveau de ses princesses des bacs à sable.
Je fini de me préparer du mieux que je pouvais et malgré les 25 degrés extérieur, impossible de me réchauffer. Mauvaise journée, je le sens.
Je prend mes affaires et rejoint tous ce petit monde dans le salon qui s'impatiente.
Lorenda : Ce que tu es longue ! Allez on va être en retard.
Nynon : Autant de temps pour si peu de résultat.
Manon : Tous le monde ne peux pas être parfaite comme nous !
Lorenda : Arrêtez de l'embêter les filles. Elle en deuil.
Ses garces rigolaient comme des hyènes. Leur mère souriait. J'étais là, ridicule sans ne savoir quoi faire.
Arrivé devant le lycée je rejoignis mon amie, Leanna. Elle me serra fort dans ses bras et me jura de me faire penser à autre chose, ce qui me fit sourire. On parla de tous et de rien avant de devoir se diriger vers les cours.
La journée passa vite et j'étais vraiment plus heureuse entouré de mes amis que dans mon lit. Avant de rentrer à la maison, je passa à mon casier. Dans l'allée principale tous le monde me regardais bizarrement et rigoler.
Leanna : Ils ont quoi tous ?
Moi : Encore un coup des sorcières.
Leanna : Pourquoi tu dis ça ?
Moi : Ce matin elles ont coupés l'eau chaude lorsque je prenait ma douche.
Leanna : Mais bon sang, Lya tu attends quoi pour leur faire comprendre que tu n'es pas une merde !?
Moi : Leanna arrête, je m'en fiche.
Je pris mon livre dans mon casier et remarqua en fermant celui ci une photo qui y été scotché. Je comprend mieux maintenant pourquoi tous le monde se fichait de moi. Sur cette photo c'était moi en train de dormir avec mon pyjama polaire et des petites couettes. J'avais honte.. Mais une seule personne possible, ses deux vipères.
Je me retourna vers Leanna et fus prise d'une colère monstre. Elles vont le regretter.
Je me dirigea en courant presque vers le stade de football où les filles répétaient pour le match du week end prochain. Leanna me criait après mais j'étais trop concentré. J'aperçois enfin Nynon qui me fixe et me montre du doigts. Tous le groupe se retourne vers moi et se met à rire. Alors là !!
Je m'avance vers eux et ne lui laisse pas le temps d'une fois de plus me rabaisser. Je serre mon point en repensant à toute la misere qu'elles m'ont faites depuis le mariage de nos parents, et le lui lance en pleine figure. Je ne saurais vous dire pourquoi j'ai fais ça mais j'en étais fière. Mon point s'écrasa en plein dans son nez et le temps se figea quelques instants. Je souris, la regarda et m'en alla. Je l'entendais hurler mon nom dans mon dos mais je me sentais trop légère pour me stopper.
Leanna me suivais, sans parler toute autant surprise que moi.
Nous rentrons à la maison à pied dans ce même silence. Nous étions voisines alors nous fessions la route ensemble. Je rentras et alla boire du jus d'orange. Après l'effort, le réconfort.
Lorenda entra dans la pièce et se planta devant moi.
Lorenda : Le lycée vient de m'appeler. Ma fille est à l'hôpital. Peut tu me dire ce qu'il t'a pris ? Enfant sauvage, tu es privé de sortis !
Moi : Privé de sortis ? Comme si auparavant j'en avais le droit peut être.
A peine la phrase fini que sa main me gifla violemment la joue. Elle me brûlait et les larmes se mirent à couler.
Lorenda : Ça t'apprendra. Allez monte, je ne veux plus te voire.
Je courus dans ma chambre et m'effondra sur mon lit. Mes propres parents n'avaient jamais levé la main sur moi et c'est cette femme qui ose le faire ? J'étais démunis, je ne savais plus quoi faire. Quitter la maison ? J'étais encore loin de la majorité puis pour aller où ? Chez ma grand mere ? Celle ci habitait à l'autre bout du pays, je ne l'a voyait qu'à la thanksgiving.
En pleure et en colère je m'assoupis et fis comme ceci une bonne partie de ma nuit.
Vers 4h du matin du bruit en bas me sorta de mon sommeil. Je descendis timidement les marches et surpris une conversation entre Lorenda et un homme. Je ne pouvais pas le voir, il était de dos et il ne fessait pas assez clair.
Lorenda : C'est quand que je signerais les papiers ?
L'homme : Dans une semaine si il n'y a pas de complications.
Lorenda : Je recevrais la totalité ?
L'homme : Eh bien oui, il avait tous mis à ton nom, sauf si sa fille en fessait la demande. Dans ce cas là il y aurait ouverture de dossier et ça prendrais des mois.
Lorenda : Elle gagnerait tu crois ?
L'homme : C'est sa fille, alors oui.
Lorenda : Cette saute est trop naïve pour penser à des choses comme cela.
L'homme : Je te préviens juste, tu passerais à côté d'une très grosse somme d'argent.
Lorenda : Fait moi confiance, comme à chaque fois !
L'homme lui remit des papiers et s'en alla. Je remonta vite me coucher.
* Le lendemain.
Je me leva et descendis vite prendre mon déjeuné pour éviter de croiser quelqu'un. Je me préparas et appela Leanna.
>> moi : Leanna tu es prête ?
>> Leanna : Je suis devant chez toi !
>> moi : Je met mes chaussures et j'arrive.
Je raccrocha et descendis. Mais je fus une fois de plus stoppé. Ce coup ci par tiens donc, la chère Nynon.
Moi : Qu'est ce que tu veux ?
Nynon : Tu vas regretter ce que tu as fais. Je vais te mettre la honte, te faire mal, te détruire. Bien plus que lorsque ton petit papa d'amour nous a tristement quitté. Il doit tellement être soulagé d'être au ciel et de ne plus devoir te supporter.
Ses mots me fis tellement mal que mes larmes se misent une fois de plus à couler.
Nynon : Ça sera du gâteau. Tu es tellement faible.
Je la bouscula et m'empressa de sortir.
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La cendrillon du siècle
Fiksi UmumÊtes vous déjà demandés ce que serait la "cendrillon" de notre époque ? Sans château, sans bal princier, sans carrosse, sans magie ? Loin de son conte, serrât elle véritablement la triomphante de cette histoire ?