"We've still got so much to love baby"
-La veille du départ d'Harry aux Îles Maldives-
PDV D'Harry:
Je viens de sortir de la chambre d'Alice et j'espère de tout mon cœur qu'elle ne se rappèlera jamais de ce moment. Elle était peut-être trop choutée pour pouvoir s'en souvenir.Je monte dans ma Maserati et démarre vers le bar le plus proche.
Je sais pas ce qui m'a prit de lui déballer tout ce discours, parce que, sincèrement, je ne sais pas ce que je ressens.
Je l'aime ?
Certainement pas ! Je ne suis jamais tombé amoureux mais je suis assez renseigné pour savoir qu'il ne suffit pas de montrer un endroit, dont nous n'avons jamais parlé à qui que se soit, à cette personne. Ou peut-être que c'est ça ? Je sais pas putain, aucune idée.
Le seul truc qui me stress pour l'instant est qu'elle croit que quelque chose a changé entre elle et moi. C'est toujours mon employée et je suis toujours son patr... Stop... Putain !
Je tape violemment sur le volant, de colère et essaye de me contrôler.
Que va penser mon père si il apprend ça ? Il va probablement me trucider. MERDE ! Alice, c'est qu'une putain de fille normale qui bosse dans mon groupe d'entreprises et avec qui j'ai eu un putain de coup d'un soir, point.
Pourquoi je me sens obligé de lui trouver quelque chose de spécial à celle là ?
Je stationne et descend. Le vigile à l'entrée me laisse passer et je me dirige directement vers le barman.
-Une bière s'il vous plait, je demande avec un billet de 20$ entre l'index et le majeur.
Il me sert après quelques minutes et me rend la monnaie. Je commence à boire en jetant un coup d'oeil circulaire à la pièce.
Après plusieurs coups, je sens l'alcool affluer vers mon cerveau et mes idées sont moins claires.
J'appelle mon chauffeur qui vient me chercher quelques minutes plus tard. Et pendant ce temps je l'attend à l'extérieur. La colère que je nourri envers moi et tellement grande je frappe le mur de l'entrée, exactement comme je l'ai fait avant d'aller voir Alice. Parce que je ne sais pas ce que je ressens, ni ce que je dois faire. Je ne la connais qu'à travers un vulgaire bout de papier qui présente son parcours professionel. Elle ne connait rien de moi non plus. Et je ne sait pas ce qui m'attire vers elle. Mon cerveau refuse de coopérer et je ne trouve aucune solution. Je continue à frapper jusqu'à ce je sente des bras forts m'entourer le thorax et me tirer hors de la portée du mur.
La personne me parle mais je n'y prête pas attention et reste en débat intérieur. Il me pousse dans une voiture et je passe mes mains sur le visage. Je tend mes mains et découvre que mes phalanges sont en sang.
C'est décidé, rien a changé entre elle et moi. Et je vais lui faire comprendre demain.
***
Le réveil est difficile, la gueule de bois est présente et mon cerveau est comprimé. Mes yeux vont probablement exploser. Je me lève et mange un morceau de pain avant de prendre de l'aspirine. Le médicament prend un peu de temps avant de faire son effet et pendant ce temps là je vais sous la douche.
Ma valise est prête, devant la porte. Je la prend et descend pour découvrir que ma Maserati que j'avais laissée au bar hier soir, est là. Je salue mon chauffeur et lui demande de me déposer à l'hôpital.
Je be sais pas comment m'y prendre pour lui expliquer que hier soir était une erreur et que rien ne changera. Je l'attend patiemment au milieu de la pièce.
Dois-je me montre ferme ou compréhensif ? Mon ton doit-être doux ? Je sais pas.... Putain, comment ça peut être casse-tête cette merde.
J'essaye de trouver une solution mais trop tard, elle sort de la salle de bain.
-Bonjour Alice, je la salue.
Elle sursaute légèrement.
-Salut, elle bafouille.
-Comment as-tu passé la nuit ?
-Bien.
Un sourire se forme sur son visage. Et ma tête s'embrouille d'un coup.
-Génial, on a un nouveau projet qui nous attend. Tu sors aujourd'hui. Réunion à 15 heures.
Mon ton est plus doux que je ne l'aurais voulu. Je n'ai pas vraiment le contrôle de moi même en ce moment.
-D'accord, à toute à l'heure, elle dit d'un ton hésitant.
Je souris aussi et sort de la pièce. Je me passe les mains sur le visage et hésite avant de me décide finalement à regagner la voiture.
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1,69 K de lectures ! MERCI AU MON DIEU VOUS ÊTES FOUS !Un petit "bonus" parce qu'il fallait clarifier certains points.
Paroles : You were nobody 'till somebody loves you -By James Arthur
C'est les vacances, Ramadan et il fait trop chaud au Maroc 😂 du coup vous aurez plus de chapitres en moins de temps !
Je change trop de covers ! Vous aimez celui-là ?
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À très bientôt,
-G xo
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Mr.Styles, my boss || H.S
FanficDear Harry, Aujourd'hui, je t'écris cette lettre pour te remercier de tout ce que tu as pu faire. [...] Je touche à la fin et malheureusement tu n'est pas là pour voir à quel point j'ai changé. Je n'oublierai jamais les moments passés. [...] Je...