1,2,3 Goodbye

1.4K 82 16
                                    

                            • 1,2,3 Goodbye •

 

♦ Ashley ♦

~ Maison des boys ~

20 juillet 2013 , 16h58 , Londres. 

Cela faisait maintenant à peu près une heure que j'étais arrivée chez les garçons, et tout se passaient comme sur des roulettes si ce n'est que les problèmes de questions. 

Mais pas seulement bien évidemment. 

Parce que plus d'une fois, j'avais croiser son regard, sans jamais réussir à me souvenir de qui il était en dehors d'une de mes idoles. 

Et tout ça, ne pas savoir ou ne pas me souvenir - appeler ça comme vous le voulez - ça me rendais malade et irritante. 

Et je savais que lui aussi semblait me connaître, je l'avais bien vu à chaque fois que nos regards s'étaient arrêtés et verrouillaient ensemble. 

Le pire dans tout ça, c'est qu'au fond de moi, j'étais persuadée que ce garçon, il avait jouer un rôle important dans mon passée, et qu'il pourrait encore en jouer un dans mon future. 

Ne me demandait pas d'où je sors ça, moi-même je l'ignore, alors c'est vraiment pour dire...! 

 - Mais on a toujours pas compris pourquoi tu restais avec Jenna et sa mère si tu ne les aimaient pas, dit Zayn, plus sur le ton de la question. 

Je souriais tristement et je me mis à jouer distraitement avec mes cheveux blonds, alors que je réfléchissais à ce que je pourrais répondre à ça. 

Je voyais bien qu'ils attendaient tous une réponse de ma part. 

En fait, cela aurait était dur d'ignorer tout leurs regards insistant tournés vers moi, alors qu'ils me détaillaient tous , cherchant une faille dans mon faciés. 

Mais le plus déconcertant pour moi, restait quand son regard à lui était posé sur moi. 

Mais ce n'était pas seulement déconcertant, ça me rendait folle de joie, de confusion et des élans d'affections comme je n'en avais jamais connue faisait vibre mon âme. 

Et tout ça, vers lui. 

 - En fait,  c'est simple, je travaille pour elles.

C'était bien sûr un menson étant donné que ce que je faisais pour eux était loin d'être un travail, parce que que je sache, quand on travail, on est payer. 

Moi, ce n'est pas le cas. 

Ah si! Je suis payer grâce à la maltraitance morale et physique aussi... Oh et ajoutez le chantage... 

 - Démissione, dit-il avec un regard couroucé par l'inquiétude. 

Je lui souriais tristement, alors que je secouai négativement la tête, mes cheveux blond cendrés virevoltant au passage. 

 - Je ne peux pas..., dis-je. 

 - Pourquoi? Insista-t-il.

Je le regardais, torturé de ne pas pouvoir le lui dire, mais aussi torturé de  ne pas savoir qui il était réellement pour moi. 

Ou encore, qui il avait était pour moi. Ou qui il serait de nouveau pour moi. 

 - Je... je le fais pour mon petit frère.

Best Song EverOù les histoires vivent. Découvrez maintenant