Chapitre8

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Ma conscience était vivante mais mon corps non. Pour moi j'étais morte mais quelque chose me disait que ma vie ne pouvait pas s'arrêter là.
Je me suis réveillée perturber la tête ailleurs (je voyais trouble.)
Un mal à la tête horrible ,une odeur de renfermé sentait a plein nez. Au bout de quelques minutes je me suis rendu compte que j'étais enfermée dans un poste à grive.
Mes mains était toujours attachées entre elles. Mais grâce à un petit clou qui sortait du mur j'ai réussi à la couper. Une sensation de liberté, ce poste faisait même pas 3 mètres carrées. De la moquette au sol des murs fait avec des palettes solides. Un quignon de pain et une bouteille de 1litre, Du grillage militaire au fenêtre avec un petit trou pour faire passer le canon du fusil pour tirer sur les merles et les siffleuses.
Une porte en bois vieillit épais de couleur verte avec un cadenas qui la fermait. Je me trouvait coincée dans cette petite cabane.
Les jours passaient lentement.
Cela fait une semaine personne n'est venu, mon corps s'affaiblit j'avais fini le peu d'eau et de nourriture que l'on m'avais donné. Mon corps allongé sur cette moquette pleine d'acariens mon regard regardait le peu de lumière qui entrait. Quand je vis un trousseau de clefs sous la porte mais impossible de l'atteindre [...]

En haut des sommets Où les histoires vivent. Découvrez maintenant