Chapitre 19

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Mes yeux commençaient à se coller doucement, ma paupière inférieur tremblotait de plus en plus rapidement. La lumière du jour ne parvenait plus à atteindre mes pupilles... Cela faisait quatre jours que je n'avais pas vu le jour se lever et que des petites poussières et des aiguilles de pins tombaient au plus profond de mes yeux clairs.
Quand le peu de fois où il pleuvait, je tendais mes petites mains à attendre qu'elle soient trempées, pour que les gouttes glissent tout au long de mes doigts pour m'en servir en tant que sérum physiologique.
Au fil et à mesure des jours mes yeux retrouvaient leurs états d'origine, avec un peu de flou sur les bords.
Au bout de quelques mètres un beau matin, je voyais...
Au loin un grand champ vert s'éclairait au soleil avec une vingtaine de moutons blancs comme la neige.
Je me suis approchée d'avantage, j'ai rampée sous les fils barbelés pour les voir de plus prés. Quand tout à coup j'ai relevée la tête est un chalet était posté sur pilotis en haut d'une grande colline avec une grande terrasse en bois. [...]

En haut des sommets Où les histoires vivent. Découvrez maintenant