Chapitre 14

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Le feu c'était éteint au fil et à mesure du temps.
Une fois le feu calmé complètement je ne savais plus quoi faire.
-Entrer est-il la bonne solution?
Je ne savais pas! Une peur bleue de le retrouver mort brûlé me hantais. Même le trouver pendu, je ne savais absolument pas ce que les habitants et le maire auraient pu lui faire.
Le bonheur seule dans ma montagne, en retrait des auzetans, ma vie secrète dans ma grange tout aller être fini après-en.

Une petite boucle blonde me tombait devant la figure, mes yeux remplis de larmes à la limite de déborder. Ma petite main qui tenait au bout de mes doigts la clef de la grange.
Un tour de clef, et deux ! Ma main tremblante posée sur la poignée...
Il manquait plus qu'à pousser.
J'ai pris sur moi et appuya d'un coup sec ,les yeux fermées.
Une fois dedans je les ouvraient... Tout était brûlé, la paille avait pris feu, le planché, les murs noirs jusqu'au plafond.
Aucune trace du jeune homme seule ma tasse et des bouts de verres de fenêtre cassée. J'ai pleurée toutes les larmes de mon coeur, car son corps était sûrement devenu poussières même pas les os seraient restés avec le feu.
Je sortais pas à pas vers l'extérieur un chagrin horrible tout était de ma faute! Puis le soleil est apparu il éclairait la balançoire en direction de la vallée où elle était suspendu. Je me suis donc dirigée vers elle. Mais avant de monter je l'ai observé pour voir si cela ne composait pas un piège. Quand sur la planche là où l'on s'assoit, une carte, Une sorte de plan gravé sur le bois.
J'ai donc pris mon petit couteau Corse qui ce trouvait dans ma poche arrière de mon jean, et j'ai coupé les cordes qui la tenait.
Je l'avais donc dans mes mains et je cherchais dans quel sens l'étudier.

En haut des sommets Où les histoires vivent. Découvrez maintenant