C'est une creepypasta sur Slenderman. C'est l'histoire originale à laquelle j'ai rajouté les parties manquantes pour que ça ai un sens. N'hésitez pas à donner votre avis. À lire dans une ambiance sombre.
– Nous sommes en 2014, le 13 janvier 2014 et il fait beau dehors, je m'appelle Thomas Hopkins et je suis journaliste. – Oh t'es encore en train de parler à ton dictaphone Thomas ? Tu ne vas pas bien.
– Oh arrête John tu sais très bien que c'est pour faire journaliste professionnel et c'est toujours utile de s'enregistrer comme ça on oubli rien. – Si tu le dit. Alors qu'est-ce que ça va être cette fois-ci ? – Eh bien croit le ou non mais j'ai mis la main sur une affaire non classée depuis presque un an. Des disparitions sans aucune traces, des fantômes aperçus, une maison hantée, tout ça dans une pauvre ville de Savoie. – Attends quoi ? Une enquête paranormale ? Tu es tombé bien bas Thomas, le boss ne te laissera jamais travailler là-dessus, ça doit être une blague. – On parle quand même d'une cinquantaine de disparition, les travailleurs de la mine ont tous disparu, le garde forestier, sa famille, chaque voyageur, squatteur ou autre individu ayant envie de se balader n'en est jamais ressorti. – Ah oui effectivement. Mais comment tu vas faire pour avoir un article ? – Je vais y aller et je verrai bien ! Il doit forcément y avoir une explication. – Ça a l'air sérieux quand même... ne te mets pas en danger inutilement, si tu es en danger rentre le plus vite possible. – Ne t'inquiète pas, je rentre, je prends quelques photos, je fais quelques plans et je rentre.
Thomas alla dans le bureau de son patron pour avoir l'autorisation et ressorti avec le sourire :
– C'est l'heure du scoop John, on se revoit vite.
Johne le salua et Thomas parti de son travail et rentra chez lui. Il prit un sac à dos où dedans il y mit une lampe torche avec des piles de rechange, une caméra avec une batterie de rechange, de quoi manger et dormir. Il ne savait pas à quoi s'attendre mais sa passion du mystère lui disait d'y aller. Il monta dans sa voiture, mit le contact et partit en direction de la zone forestière savoyarde.
Thomas roula toute la journée jusqu'à arriver à l'entrée de la forêt. Mais quelque chose bloqua la route alors il descendit et alluma sa caméra.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
– Ici Thomas Hopkins, nous sommes le 13 janvier 2014 et il est 17h30. Voici donc l'entrée de la fameuse forêt maudite. La ville à côté était désertique, est-ce que la malédiction a fait fuir tout le monde ou alors ont-ils tous été enlevé ? Tant de questions sans réponse et c'est pourquoi je suis ici aujourd'hui. Un tronc d'arbre coupe la route donc je vais continuer à pied. D'après la carte la maison du garde forestier, là où tout aurai commence est un peu plus enfoncé dans la forêt. Quoi de mieux que de vivre dans l'environnement que l'on protège. Bon je vais me dépêcher la nuit ne va pas tarder à tomber, un des inconvénients de l'hiver.
Il s'enfonça dans l'obscurité de la forêt jusqu'à la maison.
– Ah voilà donc la demeure, elle est encore en bon état, le porche est encore éclairé. Il fait pratiquement nuit, je pense m'installer à l'intérieur, j'ai pris de quoi dormir.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Il s'approcha de la porte, tourna la poignée et elle s'ouvrit dans un grincement.
– Voici donc le rez de chaussé. Mais qu'est ce que c'est que ça ?
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
– Le problème des endroits abandonné est que tout le monde peut y entrer et les détériorer. On dirait que des gens habitent encore ici et sont juste sorti, tout est encore en place. Il faut que je fasse attention, peut-être que c'est le domicile de quelqu'un d'autre.
Il visita toutes les pièces en demandant si il y avait quelqu'un, que la porte était ouverte et qu'il ne voulait en aucun faire du mal ou déranger mais sans réponse.
– Il fait froid ici, je ferai mieux de fermer les fenêtres, à part celle qui est cassée dans le salon.
Il ferma toutes les fenêtres jusqu'à ce qu'il aille dans la chambre qui semblait être celle d'un enfant, il trouva un cahier parterre avec des pages arrachées mais il était vierge et froissé. Il le posa sur le bureau et alla à la fenêtre.
– Et voilà, c'était la dernière fenêtre.
Soudain un cri se fit entendre et sa caméra grésilla.
– Qu'est ce que s'était ? J'espère que ça filme toujours !
Toutes les lumières s'éteignirent plongeant Thomas dans le noir le plus total.
– Ah super, plus d'électricité ! Comme vous pouvez le voir, vous ne voyez rien. Heureusement que jai pris une lampe torche. D'où venait ce cri ?
Il descendit doucement les escaliers et arriva devant la porte d'entrée. Il essaya de l'ouvrir.
– Je ne comprends pas, la porte est verrouillée. Je vais passer par le garage.
Il entra dans le garage vide et fit glisser la porte de garage menant dehors. Il sortit, la nuit etait totalement tombée mais une ombre se dessinait sur le côté de la maison.
– Ah merveilleux un générateur, je vais pouvoir y voir plus clair.
Il l'activa et les lampadaires aux alentours s'allumèrent ainsi que la maison.
– Il y a l'air d'y en avoir un autre sur ce chemin éclairé par les lampadaires, comme si on voulait que j'y aille... Je suis là pour ça, je vais suivre le chemin.