C H A P I T R E 3

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Elle, mon amour, celle pour qui j'ai tout donné, corps et âme j'ai retourné pour son bonheur, pour voir ses si belle lèvres sourire, ses si belle lèvres qui forme ce si jolie sourire que j'aime tant. Elle était cette ange tombé du ciel qui m'avait sauvé, elle m'a sortie du vide dans lequel j'étais mais cette nouvelle me plonge dans le plus profond des néant.. j'ai hurlais au docteur, j'ai crié avec cette pointe sur le cœur « Mais putain pourquoi elle, pourquoi? Pourquoi la vie c'est attaquée à la seule raison pour laquelle je ne me jette pas du haut d'un toit? Dit moi pourquoi ça tu peux pas le soignait mon gars? Hein, pourquoi?»

j'ai pleuré, taper contre les mur.. Le cauchemars était bien réel.

Je suis allais dehors pour me vider l'esprit. Je ne peux pas croire que dans 1 semaine tout sera terminé. Les fous rires, ses lèvres sur les miennes, ses bras autour de ma taille, sa douce et tendre odeur.. Plus jamais je ne pourrais avoir cela. Une semaine seulement pour profité d'elle, une semaine pour passé les derniers instants de bonheur de ma vie, une semaine à vivre.. c'est beaucoup trop court.

-Excusez moi monsieur, Jenny peut recevoir de la visite, elle est consciente. Quand vous vous sentirez près, vous devrez rentrer chez vous, faire les affaires de votre petite amie et les ramener ici. Étant donné que sa tumeur est en face terminale elle est dans l'obligation de rester à l'hôpital jusqu'à ce que son heure soit venu. Bien évidement Jenny et vous avez le droit à encore une nuit à l'extérieur de l'hôpital. Alors, dite moi.. Contez-vous rentrer chez vous ce soir?

-Il faut que j'en parle à Jenny mais normalement oui nous rentrons ce soir.

-très bien, laissez moi vous accompagnez à la chambre de votre petite amie.

Nous marchons pendant quelques minutes, elle était dans le bloc ouest du 2e étage, l'endroit réserver au personne qui connaissent leur date de fin. A travers la vitre des chambres j'avais la larme à l'œil de voir que la majorité des personnes était des enfants, quel monde cruel..

-Nous y voici.

-Très bien merci, je vous prévient quand nous sommes près.

-Aucun problème, si il y a des questions vous me les poserez quand vous sortirez.

-Très bien.

Je pris une longue inspiration, j'ouvris la porte et je vis Jenny..

-Jenny!

-Derek je suis tellement désolé je...

-Ce n'est pas de ta faute mon cœur ne t'inquiète pas.

-Je ne peux pas me dire que je n'ai plus que une semaine à vivre..

-Ne t'inquiète pas je ferais en sorte que ta semaine soit inoubliable.

-Inoubliable? dans cette chambre? Je suis condamnée à mourir Derek, je vais tous vous faire souffrir.. et je ne veux pas alors s'il te plaît ne te donne pas autant de mal pour moi.

-c'est une blague? Désolé chérie mais tu vas devoir accepter le fait que je vais tout faire pour que tu passe la dernière et meilleure semaine de ta vie, je te le promet. Maintenant rentrons à la maison, mon plan commence l'abat.

-Olalah Derek mais qu'est ce que tu fabriques encore..

Une SemaineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant