OPIA » E. MIKAELSON fr

04

"Allez chérie, réveille toi..." Une voix profondément frustré résonna dans mes oreilles me réveillant doucement de mon sommeil noir et lourd. Est-ce que c'était... Klaus ? Mon esprit ravagé me dit que c'était le matin et que j'était de retour dans mon appartement, je devint très confuse. J'ai recueilli toute la force que je pouvais pour presque froncer les sourcils et peut importe à quel point j'ai essayé de parler, aucun son n'est sorti de mes lèvres fermées. Pourquoi est-ce que j'était avec Klaus... Je voulais être paniquée, mais tout ce que je pouvais faire était me reposer ici inutilement sur un lit soyeux en peluche et attendre que j'ai en fait assez de force pour faire quelque chose. Ma conscience se retourna désagréablement contre moi.

J'ai entendu une porte de la chambre s'ouvrir quand quelqu'un regarda à côté de moi, qui, je supposais, devait être Klaus regardant pour voir qui venait d'entrer dans la chambre. Puis il discuta avec le visiteur à l'improviste. "Comment considérerais-tu de te joindre à moi ? On dirait qu'elle ne veut pas se réveiller,"dit Klaus, avec de l'amusement dans sa voix en quelque sorte toujours fixé dans ses mots. Doucement, des bruits de pas se rapprochèrent prudemment devenant de plus en plus lourd au fur et à mesure que la personne se rapprochait. Je pouvais immédiatement dire que c'était un homme, son odeur arrivant loin. Il sentait assez bon d'ailleurs, et je ne dérangerais pas si je restais ici et que je devenais ma propre bougie personnelle. Tant qu'il n'est pas effrayant, ça ne l'est pas.

Mon cœur qui battait autrefois doucement accéléra quand une voix plus profonde, presque rappeuse commença à parler. Il avait évidemment un accent comme Klaus et Rebekah mais c'était... différent. Je pouvais sentir la présence de l'homme debout au dessus de moi, ses yeux regardant avec précautions mes traits. Il toucha doucement du bout de ses doigts chauds mon visage, balayant lentement mes cheveux de mes yeux. "Peut-être que si tu n'avais pas mis cette innocente fille, Camille, dans tous ça rien de tout cela n'aurait pris cette place." Cami ? Dans quoi il ont mis Cami ? Une moquerie s'échappa des lèvres de Klaus.

"Cette fille, comme tu l'appelles, est plutôt dans la fin de ses vingt ans, mon frère, et j'avais besoin d'elle pour réussir mes plans," répondit-il impatiemment. Un frère ? Mon cerveau actuellement fut pris d'une migraine tandis que je devenais de plus en plus confuse. pourquoi j'était avec Klaus et son frère ? L'autre gars ne répondit pas, mais je pouvais encore sentir ses yeux sur moi. Je voulais me tortiller inconfortablement ou me coucher sous les couvertures pour qu'il arrête de me fixer, mais je ne pouvais même pas ouvrir mes ye-

Et juste comme ça mais yeux ont commencé à papillonner. Même si je savais qu'ils étaient tout les deux là, je ne pouvais pas arrêter mes halètements quand je les ai vu tout les deux debout au dessus de moi en me regardant avec des yeux curieux, pas encore pervers. En regagnant rapidement ma force, je me suis assise droite dans le lit. Le frère de Klaus me regardait avec des yeux profond, des globes marrons avant de cligner des yeux, comme si il ne s'attendait pas que je sois si inquiète. Mon cœur commença à battre la chamade à sa vue, et j'avais l'impression que je ne pouvais pas détacher mes yeux de lui, peut importe à quel point j'essayais. Ses lèvres, égales et roses, étaient légèrement entrouvertes pendant qu'il fronçait ses sourcils bruns parfaitement dessinés. Il est beau comme l'enfer.

"Ah, tu es réveillé," dit Klaus, un large sourire sur ses lèvres. Au lieu de lui répondre, j'ai cligné des yeux, regardant la grande chambre inconnue dans la confusion. Le lit dans lequel j'était était énorme et oh- tellement confortable pendant que plusieurs meubles siégeait dans la chambre. Classe, cependant presque simple, des objets décoraient la commode et le plafond était grand. Où suis je ?...

"Tu dois être très confuse en ce moment," dit-il en faisant semblant d'être prévenant. Ensuite Klaus a levé les sourcils et incliné sa tête. "Je peux t'expliquer si tu veux." Je lui ai jeté un regard curieux et perplexe. Evidemment, je voulais savoir. Un petit sourire satisfait commença à venir au coin de ses lèvres pendant qu'il s'asseyait sur le lit, se penchant vers moi. Avant qu'il ne puisse dire quoi que ce soit, son frère a brusquement mis une main sur sa poitrine, l'arrêtant.

"Je ne t'autoriserais pas à la mettre dans tout ça comme tu l'as fait pour Camille, Niklaus," siffla-t-il furieusement. Sa mâchoire était très définie quand il regardait son frère avec des yeux énervés. J'ai déglutis calmement et Klaus le foudroya du regard. Puis, il a simplement haussé les épaules.

"Comme tu veux Elijah." Elijah. J'ai respiré vivement quand Klaus m'a brusquement prise par les épaules en regardant profondément dans mes yeux. Les siennes commencèrent à se dilater. "Tu va partir maintenant," il fit une pause et regarda Elijah avec un sourire de défi et se retourna vers moi. "Et tu oublieras tout de mon frère. Tu oublieras ce qui s'est passé ici ou la nuit dernière, tu retournas simplement à ta simple vie humaine."

Très vite, le souvenir d'Elijah disparut aussi vite qu'il fut apparut.

Ce chapitre était plus court que d'habitude, mes excuses.^.^

Est-ce que j'ai mis à jour le chapitre trois hier ? C'est bizarre... j'ai l'impression que ça fait plus longtemps.

Comment vous allez ? Vous allez bien ?

Des fois j'aimerais bien vous faire à tous énorme gros câlin grâce à vos commentaires. Ils sont beaucoup plus gentils que je pensais.

C.M.