En descendant du train, les trois nouveau amis parlaient encore, c'était presque comme s'ils s'étaient toujours connu. Conrad vu alors ses amis et partit dans leur direction en leur criant des puns. Il ne prit même pas le temps de dire au revoir à Marceline ou à William. Marcie, pour sa part, resta au côté de Will. Elle lui dit que Conrad était un garçon très gentil, mais un tantinet hypocrite. Tout le monde l'appréciait malgré tout. Marcie fit la moue et Will lui fit un magnifique sourire qu'elle ne put que lui rendre de plus belle. Ils marchèrent ensemble peu de temps le long du train.
-Suis moi, je sais où aller. De toute façon, tous les autres aussi, alors il n'y aura probablement pas de surveillants pour nous indiquer le chemin.
-Ah, bon d'accord.
Après plusieurs minutes de marche, William fut surpris d'apprendre qu'il fallait traverser un lac, une mer, un océan, il ne savait pas trop, une étendu d'eau, sur des barques de bois. L'école, qu'il voyait de loin sur de grands rochers, avait l'air immense et était magnifique, tel un château de l'ancien-temps, mais ressemblait vaguement à une prison: entourer d'eau, grand...
Il sentait une légère pression dans son abdomen pendant la traversé (qui, étonnement, fut courte) quant à sa nervosité et à son excitement face au changement brusque qu'il vivait présentement. Il était tellement anxieuse, nerveux, mais en même temps, il était tellement content et excité. Toutes ces émotions mélangés devaient se voir sur son visages, puisque Marceline le regardait fixement avant de le rassuré:
-Il ne faut pas t'inquiété, l'école est vraiment intéressante! Contrairement aux écoles ordinaires...
Elle fit la moue à nouveau.
-Écoles ordinaires?
-Oui, les écoles de moldus. Je suis allé à une de ces écoles toute mon enfance. Jusqu'à l'âge de onze ans, comme je t'ai dit tout à l'heure. Il n'y a pas un seul cours pareil. C'est probablement se qui la rends tellement intéressante. Mais bon, certain cours me manque. J'aimerais avec de l'anglais, j'aime l'anglais. J'aimerais avoir de nouveau du français aussi, de la philosophie... Mais ce n'est pas grave, les cours ici sont aussi intéressants! Ah, c'est vrai, tu ne les a pas encore choisis... Prends certain que j'ai, je suis seule, aucuns amis dans aucunes de mes classes... J'ai de la divination, arithmancie, des soins aux.... Bon ça ne doit surement pas t'intéresser tout cela! Je n'arrête pas de parler depuis tout à l'heure! Tu dois être épuisé! Tiens, moi aussi.
Elle détourna le regard et posa sa tête sur l'épaule de Will.
École de moldus?
Divination?
Arithmancie?
Quoi encore, cours de potion, cours de défense contre les forces du mal et Oh! Harry Potter?
William voulait poser la question à Marceline, mais elle semblait si bien, il ne voulait pas la déranger... De toute façon, que lui dirait-il? «Allons-nous à Poudlard?», «Est-ce que le monde d'Harry Potter existe?», «Sommes-nous magiciens?», «La magie existe?»... C'était stupide. Il avait beaucoup de doutes, il pensait sincèrement, avec tout les indices qu'il avait décelé, qu'il allait à Poudlard, se qui serait son rêve, mais il savait très très bien que ce monde de magie n'existait dans la tête rêveuse de tout les enfants et tout les adultes qui avaient lu les fantastiques récits de J.K. Rowling. Pourtant, l'école qu'il pouvait voir au loin sur les rochers ressemblait tellement au château des films d'Harry Potter...
Avant même de pouvoir parler avec Marceline qui venait de relever la tête, la barque toucha la berge où ils mirent pied sur terre. La lucarne qui éclairait chaque petit bateau semblait voler dans l'air. Elle était en fait accrocher à une tige de bois sur les bateaux. La lucarne se releva de la tige comme par magie devant les yeux ébahis de Will. Celui-ci n'eu même pas le temps d'approfondir la question que Marcie détourna son attention.
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Le triangle de William. (Harry Potter AU)
RomanceWilliam, simple élève d'une simple école du Canada, se verra offrir une place pour aller à l'école de sorcèllerie de Pourdlard où il rencontra une personne très importante... Il devra faire un choix entre ses amis et son amoureux du Canada, ou l'hom...