Le triangle de William. (Harry Potter AU)

Chapitre 5

Le lendemain, Will se réveilla couché dans un lit à baldaquin bleu. Il pensait se réveiller bien au chaud dans son lit, dans sa maison, au Canada, mais au lieu de cela, le rêve si merveilleux et parfait était la réalité. Il fit pendre ses jambes sur les bords de son lit puis les posa sur le sol pour découvrir la chambre dans laquelle il était installé. Il avait même hâte de rencontrer les personnes qui partageaient cette chambre avec lui. Il descendit les marches en colimaçon qui menèrent à la salle commune et eu le souffle coupé en voyant la beauté de cette salle. Elle était ronde, haute et bleue. Il y avait des rideaux partout et il y avait une grande et magnifique bibliothèque remplis de livres de tout genre. Les divans disposés au centre de la pièce, devant la bibliothèque étaient tous bleu et or. Une grande statut que William prit pour Rowena Serdaigle était placée entre la biblothèque, qui était dans une sorte d'alcove, et une des fenêtre qui encadrait l'alcove. Aussi, deux pilier recouvert d'un aigle en bronze encadrait aussi la bibliothèque, qui semblait être le centre d'attraction de la pièce. À l'opposé de la bibliothèque, il y avait un grand escalier qui menait à un palier où deux autres escaliers étaient: l'un pour grimper au dortoir des garçons, l'autre pour le dortoir des filles. William descendit ces escaliers pour se rendre au centre de la pièce. La moitier des élèves étaient déjà dans le salon. La plupart avaient le nez plongé dans un livre, l'autre part parlaient entre eux et quelque uns d'autres écrivait, faisait probablement leurs devoirs. William eu un petit sourire en songeant que l'idée que l'on se faisait des serdaigles dans les livres était vrai: de vrais petits premiers de classe, intelligents et travaillants.

Le jeune garçon encore endormi ne savait pas trop ou aller, puisqu'il ne connaissait personne; vers les canapés? Non, beaucoup trop d'élèves qu'il ne connaissait pas. Vers les tables? Encore une fois, trop d'élèves silencieux à déranger. Sortir de la salle? Pour aller où? Non.

En balayant la salle d'un regard inquiet, William croisa enfin un regard qu'il connaissait. Marceline, qui était avec une ou deux de ses amies, un livre sous le bras, esquissa un large sourire dans la direction de Tom et trotta vers lui. Elle l'enlaca de ses minces bras blancs comme la neige et, en se reculant de son accolade, le regarda dans les yeux avec toujours le même sourire.

-Bon matin Tom!

-Comment me suis-je retourver ici? Je ne me rappelle pas de ma soirée hier.

-Hihi, je sais, lorsque nous avons quitter la grande salle, nous avons parler un peu puis dès que nous sommes arriver devant la porte, tu es tomber dans la lune jusqu'a se que je t'assois sur un des canapé, puis tu t'es endormis!

Un rire crystallin jaillit de sa gorge.

-Je t'ai réveiller avant d'aller me coucher, et je t'ai reconduit dans ton lit. Ç'a été long, tout tes livres et ton matériel étaient disposés sur ton lit!

-Merci Marcie.

Il lui sourit et la jeune beauté l'entraina à travers la pièce en la lui présentant et en nommant quelque noms qu'il oublia tout de suite. Il fit plusieurs sourir, quelque serrage de main et quelque baiser sur les joues. Lorsque les présentation fut faite, Will remonta dans son dortoir pour retrouver un jeune garçon qui lisait paisiblement sur son lit. Quand Tom entra, l'élève releva les yeux et sourit à son bouquin en les rabaissant. William se rendit à son lit et ouvrit la malle qui siégait au pied de celui-ci. Il creusa à travers les livres, les plumes et les parchemins. Il toucha enfin au tissu qu'il recherchait. Il tira et sa robe de sorcier jaillit de la malle. Il la tendit devant ses yeux et ne put se retenir de faire un sourire. Il grimpa ensuite sur son lit, tira les rideaux de tout les côtés et entreprit d'enfiler sa robe qui était d'un bleu très foncé, presque noire, orné de l'armoirie de Serdaigle. Il ouvrit ensuite les rideaux bien grand et descendit du lit en repassant les plis de sa robe avec ses mains. Il releva les yeux et vit que le garçon couché sur son lit avait les yeux tourné vers lui. Ses joues s'empourpra et le serdaigle lui dit: