Chapitre 3 : Un espoir ?

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Je me fit réveillé par un coup de sonnette, je regarda sur mon radio réveil, bordel, déjà 19h30, je ne suis pas prêt à l'accueillir moi cette fille, je ne sais même pas quel est son tempérament, ni ses goûts, ni à quoi elle ressemble, sa se trouve elle seras tout le contraire de moi, vu la chance que j'ai en ce moments sa ne m'étonnerais pas, surtout que si on est totalement différents sa va être dur de cohabiter ensemble. Bref, mais je ne peux pas lui ouvrir la porte comme sa je ne suis pas bien habillé, une chemise blanche toute froissée dont le haut est mouillé à cause de mes larmes mais aussi un vieux short en jean et des tong, sans compter mes cheveux tout ébouriffé. Cependant malgré mon état je décide quand même d'ouvrir la porte, en trainant des pieds. Quand j'ouvris la porte je vis une jeune fille qui doit avoir mon âge, les cheveux long brun, comme ses yeux, elle est de petite taille et avec une silhouette assez basique, ni trop gros ni trop maigre, je commençais à ouvrir la bouche pour lui parler mais elle prit directement la parole.

- Salut, tu doit être Antoine ? Me dit t'elle en me serrant la main, cette fille à une forte poigne.

- Oui c'est moi et toi comment tu t'appelle ?

- Mon nom est Élodie, juste Élodie, depuis que mes parents m'ont abandonné il y a une semaine j'ai décider de ne plus employer mon nom de famille. Toi aussi tu à été séparer par les mecs bizarres là ?

-Euh....oui, lui dis-je en baisant les yeux et en remarquant que j'avais le barreau, je suis devenu tout rouge et me retourna. Tu veux rentrer ? Lui dis-je en rentrant dans la maison.

- Oui volontiers, j'ai une de ces faims j'espère que tu as fais a mang.... à non, bof ce n'est pas grave je suis sûre que tu ne sais pas faire la cuisine, sa se vois à ta tronche de débile, dit-elle en rigolant.

- Désoler, mais mes parents m'ont quittés aujourd'hui alors je ne suis pas d'humeur à rigoler là et ni de faire la cuisine, lui dis-je en criant.

Elle ne parlas plus et se mis a fouiller les placards de la cuisine, vu qu'elle était de petite taille elle commençais à prendre des chaises ou à se mettre sur la pointe des pieds, mes yeux ne s'empêchèrent pas de se fixer sur son derrière qui était assez jolie, aah faut que j'arrête avec les pensées, je ne la connais à peine et pourtant je regarde déjà ses parties, je suis un gros pervers. Elle sortit des œufs du frigidaire et commençais à faire à manger. Au bout de  10 minutes sans un mots, elle me fixas avec deux assiettes et un petit sourire un peu embarrasser.

- Tiens je nous ai fais une omelettes, je suis désoler pour toute à l'heure, je ne savais pas que tu avais passer une mauvaise journée, donc pour m'excuser j'ai fait cette omelette.

Sans un mots je pris ma fourchette et mon couteau et avalas une bonne bouchée de cette omelette, faut dire que je n'avais pas mangé depuis le midi alors j'avais un peu faim moi aussi, la fourchette me tombait de la main.

- C'est trop bon ! lui dis-je avec un grand sourire.

- C'est vrai ? A vrai dire j'ai eu une bonne enseignante pour la cuisine, ma mère était dans la restauration donc tout les soirs je l'aidais pour faire un peu de cuisine.

- Ah d'accord ! Tu avais de la chance, moi je suis doué à rien. Bref ta chambre seras celle de droite, je pense que tu as déjà des affaires. Lui dis-je en mangeant, faut avouer qu'elle faisait de la meilleur cuisine que ma mère, sur ce point j'étais ravie en plus l'omelette est mon plat préférer, sa faisait au moins une bonne chose pour aujourd'hui.

- Oui, merci, enfaite demain tu veux sortir un peu, je te ferais visiter notre prison, tu verras elle est pas si mauvaise que sa, après on iras au cinémas, tu va voir bientôt tu ne va plus penser à ton passé avec moi !

- OK, c'est vrai que j'ai besoin de me vider l'esprit sinon je sens que je fais exploser.

Nous terminâmes ce diner en silences, malgré ses apparences Élodie est étonnement sympathiques, je pense m'avoir déjà fais une amie, en peu de temps elle à réussis à me faire oublier mes parents pendants une poignée de secondes, elle est peux être ma lueur d'espoir, et si ce n'était pas le début d'une vie de dépression mais une nouvelle vie remplies d'aventure ?


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Merci d'avoir lu ce chapitre, le prochaine arrive très bientôt :)

L'hiver infiniOù les histoires vivent. Découvrez maintenant