Chapitre 4 : Désespoir

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Après avoir mangé, j'allais dans ma chambre certes sans dire un mot mais avec le sourire au lèvres, cependant dès que ma porte se ferma je me sentis plus seule que jamais, pourtant une jolie fille était dans une pièce qui est à côté de ma chambre. C'est bizarre comment la solitude et la dépression peuvent vous guettez, dire qu'il y a moins de vingt-quatre heure j'étais souriant, heureux, et maintenant je ne sais même plus quel est le son de mon rire, quand je vous dit que c'est la dépression. J'allumais mon ordinateur et alla sur un réseau sociale bleu, cependant dès que je cliquais sur le lien, une fenêtre s'ouvrit avec un message : Vous n'avez pas l'autorisation de retourner sur se site, veuillez quitter immédiatement.

 - Putain, je suis vraiment coupé du monde, je ne peux même plus voir l'actualité des jeux vidéo sa me saoule, dis-je en balançant mon oreiller.

Tout d'un coup j'entendis ma porte grincé, et je vis Élodie, enfin la moitiés d'elle, je lui fais signe de rentrer, quand je la vis franchir le seuil de ma porte, elle était habillé juste d'un soutiens-gorge et d'un petit shorts avec ses cheveux ébouriffés, je fis en même temps heureux et gênés par son manque de respect envers ma personne, en même temps cela voulait peut-être dire qu'elle avait confiance en moi et donc qu'elle savait bien que je n'allais pas la toucher. Elle se posa sur le lit et commenças à regarder mon bureau, je la regardais d'un aire ébahie en pensant : " Comment une fille comme elle pouvait rester avec un mec comme moi ? ".

- Qu'est ce que tu veux Élodie ? Je me suis pas totalement présenté, je m'appelle Antoine et j'ai...

- Je m'en fout Antoine, je suis juste la pour te réconforté quand tu ne va pas bien, le reste j'en ai rien à faire c'est d'accord ?!

Elle me jetas un regard si froid que mon omelette a faillis passer directement par la bouche de sortie, j'eus l'impression que tout ce que j'avais vu d'elle au diner n'était qu'une façade face à ce que je suis entrain d'assister, on aurais dit une deuxième Élodie. Je baissa la tête par peur de me faire frapper, et lui dit avec la voie qui tremble :

- Très bien, si tu es venue pour me taper ou me criée dessus sache que moi aussi je m'en fout et laisse moi tranquille...

Elle partit de la chambre sans dire un mot en laissant un mots sur mon lits, je le commençais a le lire sauf que mes larmes coulaient toutes seul donc je me réfugias sous ma couettes  et commenças à sécher mes larmes, je regardas donc le papier et lu : " Cours, ne cherche pas à rester, rejoins moi demain à 16h devant le cinéma "
Qu'est ce que ? Ce n'est pas Élodie sinon elle me l'aurais dit, cela fais une journée que je suis arrivé ici et les emmerdes commences déjà, vivement que tout cela s'arrête. Je m'endormis, certes avec du mal, mais avec mes deux amis qui ne partiront jamais, la solitude et le désespoir.


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Ce chapitre est un peu plus court, mais le prochain seras peut être plus long que les autres en tous cas merci d'y avoir lu :)

L'hiver infiniOù les histoires vivent. Découvrez maintenant