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Bip bip bip bip bip!

J'ouvre mes yeux mais je les referment. Je reprends conscience et les rouvrent.. Ou suis-je? Je suis dans un lit qui n'est pas le mien! Une chambre blanche... Oh non. Un hôpital.. Enfait j'ai l'habitude.. Je me redresse mais je hurla de douleur, je me rallonge...

Ellipse de deux jours.

Je suis entrain de signer des papiers pour sortir de l'hôpital, enfin. 

Une fois sortie, j'appelle un taxi pour rentrer chez moi. Une fois devant chez moi, j'entends quelqu'un qui fait les cents dans mon appartement. J'ouvre la porte et je vois Jack, mort d'inquiétude. Il me voit et s'approche de moi, les larmes aux yeux.

-Qui t'a fait ça? Demanda-t-il, fou de rage, la voix cassante.

-Je t'ai dis quoi Jack! Je t'ai dis de dégager de ma vie! PARS! VAS-T-EN! NE REVIENS PLUS! Ce qui m'est arrivée est entièrement de ta faute! Je te déteste de tout mon être Jack Gilinsky, hurlais-je.

Je ne sais où j'ai eu ce courage, mais pour une fois, j'ai réussi à m'exprimer devant le grand Jack. Une larme perla le long de sa joue, ce qui me calme net. Jack, le dur, le chef de gang, l'arrogant, le bad boy, pleure... J'eu un pincement au cœur malgré que je le déteste, un garçon qui pleure pour une fille c'est tellement... touchant!

-Ça va, j'ai compris, je vais recommencer ce que je faisais avant, puisque je n'ai plus de raison de vivre, je n'ai plus rien à  perdre donc je peux revenir dans mon gang et repartir au lycée foute la merde et baiser tout ce qui bouge comme avant, tu te rappel quand j'ai arrêté pour toi? Dit-il en pleurant.

Non mais! 

-Qui s'est qui me battait? Qui me traitait comme une moins que rien? Qui m'envoyer faire des choses dont... Jamais j'aurais fais si je ne t'aimais pas? Qui m'envoyer MOURIR!? Criai-je en m'approchant de lui.

Il ne répond pas mais il pleure.

-Je t'aime, Madison... Je t'aime, dit-il en se calmant.

Je ne répond pas et je lui tourne le dos.

-Vas-t-en, Jack, suggérai-je.

Il souffle, puis il partit en trombe, claquant la porte derrière lui. Une larme coule de mon œil... Je n'en peux plus, je suis à bout de force, moi, la petite nerf du lycée, j'ai replacée le GRAND JACK.. Comment ai-je pu? Comme m'est venu ce courage? 

Je ferme ma porte à clef puis je pars dans ma salle de bain. Je me déshabille puis je me regarde dans le miroir. De nombreux bleus et hématomes sont marqués.. J'ai l'impression de me revoir il y a un an.. Je pars sous la douche puis je me lave, me fais tout les soins, me rince puis je ressors. Je me sèche les cheveux avec un sèche-cheveux, le corps puis je pars dans mon dressing. Je mets des sous-vêtements puis une robe de nuit, il est donc 23h46. Je mets mon téléphone à recharger puis je me jette sous mes draps, où je ne tarda pas à m'endormir.

Ellipse de la nuit douloureuse. 

Je me réveille, je me lève puis je pars dans la cuisine. Je me serre un café, je pense que pour le starbucks je peux oublier.. Je prends mon café puis je me cale dans le fauteuil. J'allume la télé puis je tombe sur une chaîne info où ils disent qu'il a eu un meurtre hier soir.

-TÉLÉ- 

-Un certain John Karmen a était retrouvé mort, ce matin dans une ruelle sombre. Nous avons fait des testes adéenne et nous avons pensés que se sont ceux de Jack Gilinsky. Ce jeune homme n'a pas été retrouvé depuis hier soir quand il est parti du docile de mademoiselle Madison Beer, dit un informateur.

-FIN TÉLÉ-

Oh mon dieu... Quelqu'un frappa à la porte, je me dirige vers celle-ci et j'ouvre. Des officiers de police y sont.

-Bonjour mademoiselle Beer, nous venons fouiller votre appartement, dit une femme.

Elle entre sans que je puisse répliquer. Ils commencent à fouiller puis quand il finissent, ils n'ont rien trouvé et s'en vont. 

Je finis mon café puis je pars dans ma chambre. J'attache mes cheveux puis je pars dans ma salle de bain. Je me brosse les dents, me nettoie le visage, me maquille. Je relâche mes cheveux, les coiffes et les lisses. Je pars dans mon dressing. En photo.

J'enfile le tout sans le bonnet

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J'enfile le tout sans le bonnet. Je me parfume. Puisque je reste chez moi, je ne couvre pas mes blessures. Je repars au salon puis j'ouvre le grand rideau. Je mets la chaîne de musique. Je décide d'appeler mon père, il me manque.

-Appelle -> Mon amour de père.♥-

Papa: Allo, mon bébé?

Moi: Ça va papa?

Papa: Bien, tu me manque ma chérie, je t'aime très fort tu le sais ça hein?

Moi: Moi aussi je t'aime papa, quand est-ce que tu viens me rendre visite?

Papa: Dans pas longtemps ma chérie, je vais devoir te laisser, je dois faire quelque chose, je t'aime.

-Fin d'appelle -> Mon amour de père.♥-

Il raccrocha. Demain c'est son anniversaire.. Il me manque vraiment.. 

Tu es parti puis tu es revenu. » J.G-M.BOù les histoires vivent. Découvrez maintenant