Aider c'est avant tout donner ~ Paul Pogba

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Valériane passait ses vacances de laToussaint à Turin, elle aimait dire qu'elle faisait du tourisme mais elle était surtout là pour manger toutes les spécialités italiennes possible et inimaginable enfin c'était sans compter surson adorable amie, Lucy qui elle venait que pour une seule chose, laJ uventus de Turin. Valériane n'avait jamais compris la passion qu'avait son amie pour le football pour elle, c'était de beaux garçons qui courraient après une balle comme le ferait un chien.Inintéressant pour elle. La jeune métisse aux yeux verts préférait clairement manger, se dorer la pilule au soleil et faire du shopping. De toute façon le sport et elle, y avait eu embrouille dès qu'elle était née. Ils étaient pas compatibles. Valériane n'avait donc pas apprécier quand son amie l'avait tiré dans la boutique de supporter des zèbres, encore moins quand celle-ci l'avait forcé à acheter un maillot d'un des joueurs et elle voulut l'étrangler quand elle appris que Lucy avait acheté des places pour le match qui se jouait le soir même. La jeune française s'était dit alors :« Adieu mes beaux et magnifiques italiens ! » Pour elle, le sort s'acharnait sur elle et elle n'avait encore rien vu. Elle avait choisi le nom au hasard, il lui semblait que le nom du joueur était Pogba. Elle n'en avait jamais entendu parler et elle aurait préféré ne jamais savoir qui il était. Lucy était toute xcitée de voir le match si bien qu'elle sautait partout. Elles'époumonait dans le stade en criant « Allez la juv' ! »à coté d'une Valériane désespérée. Au moins son amie lui avait elle promis qu'après cet enfer sans nom, elles allaient en boîte de nuit. La métisse n'était pas sur de vouloir aller quelques parts avec son amie si son club gagnait car elle serait obligé de l'entendre toute la soirée parler de foot et cela l'exaspérait au plus haut point. Elle aurait aimé partir à la plage mais elle n'avait pas le choix. Elle ne voyait pas souvent Lucy et préférait donc en profiter. Tandis qu'elle essayait de comprendre le jeu, le ballon venait d'entrer dans le filet du but adverse, Barcelone, Lucy se leva plus qu'heureuse et presque tout le monde sautait. Valériane se sentit oppressé et puis se fut le noir complet pour elle. Lucy quand elle entendit Valériane tomber hurla qu'on l'aide, qu'elle saignait mais personne ne l'entendait. Elle était prêt du terrain et elle criait sur l'agent de sécurité qu'il fallait porter la métisse mais personne ne bronchait. Sauf un joueur qui entendit le cri de détresse de la jeune femme et fit exprès de tomber et semblant d'être blessé. Lucy ne comprenait pas encore que quelqu'un avait entendu sa plainte et continuait d'élever sa voix. Le joueur des zèbres parlait avec les soigneurs et désigna le corps de la jeune femme inanimé en disant que pour lui tout allait bien mais ce n'était pas le cas de la belle brune. Les brancardiers arrivèrent et emmenèrent Valériane. Ils la firent descendre par le terrain accompagné de Lucy. Le joueur qui les avaient aidés interpella Lucy.


« Mademoiselle ! Passez demain au centre d'entraînement pour nous donner des nouvelles.Donnez-moi votre nom pour que je puisse le donner à la sécurité !

- Lucy Müller !

- Allemande, je présume. Vous feriez mieux de partir et de ne pas retarder l'ambulance mademoiselle, on ne sait jamais ce que votre amie peut avoir.

- Merci pour tout monsieur Pogba !

- C'était un plaisir. »


Valériane arriva à l'hôpital vingt minutes plus tard, elle ne s'était toujours pas réveillé. Les médecins disaient qu'elle se réveillerait sans doute dans la semaine. Pour eux, si elle était tombée, ce n'était pas à cause du coup de coude mais sans doute d'une sensation de gêne, d'oppression que la jeune femme avait ressenti. Elle pouvait aussi ne pas se rappeler de tout. C'est donc les mots même que retransmis Lucy, le lendemain au milieu de terrain de la Juventus. Le joueur français insista par la suite pour aller la voir à l'hôpital et accompagna donc l'allemande au chevet de Valériane. La première réaction du joueur en voyan tla belle métisse était un visage empli de tristesse et de compassion puis à la suite de cela, il lâcha un « Même blessée et dans un coma, elle est magnifique ! ». Cela fit rire Lucy qui ajouta que c'était une personne incroyable autant physiquement que psychologiquement. Elle raconta sa rencontre avec Valy comme elle aimait l'appeler à Paul. C'était au détour d'un des rayons d'un supermarché, elles avaient douze ans toutes les deux. Valériane était en vacances et elle était collée à son grand-frère, Evan qui avait quinze ans à cette époque et lui quémandait une glace que bien sûr celui lui refusait alors elle partit loin de lui. Elle sortit du magasin et vit une petite blonde,Lucy mangeant un paquet de cookies. Lucy releva la tête et eut un grand sourire quand elle eut sous les yeux le visage de Valériane.Elle lui tendit alors son paquet et c'était comme ça que leur amitié commença. Lucy partit plus tôt que Paul. Il observa longtemps la brune qui dormait d'un sommeil sans rêve puis il s'en alla à son tour. Quelques jours plus tard, un après-midi quand Lucy passa dans la chambre de son amie, elle y vit un bouquet de fleurs et surtout Valériane réveillée.


« C'est un homme, un grand, black qui me les a emmené ce matin, je ne sais pas qui sait.

- Paul. C'est son nom, Valy !

- Pourquoi était-il là ?

- Il m'a aidé à te sortir de la foule, des gradins pour être plus précise.

- Il est mignon. Bien, je pourrais sortir demain d'après le médecin, on ira directement à l'hôtel. Tu viendras me chercher demain très tôt. Lu' ?

- Pourquoi ?

- Il m'a laissé une petite lettre à l'intérieur de son bouquet. Je l'ai lu et je compte bien y répondre mais je ne veux pas le croiser demain.

- Tu veux l'éviter en clair mais pourquoi ?

- J'aurais l'impression de lui devoir quelques choses après tout ce qu'il a fait. Je vais être mal à l'aise, comprends-tu ?

- Je vois mais je me doute qu'il y a autre chose. Bon je vais te laisser, je dois appeler ton frère pour lui dire que tout va bien. Il s'inquiète depuis une semaine. Allez à toutes !

- Tu l'aimes encore ?

- Et à jamais mais il ne s'en rend pas compte. »


Lucy partit laissant Valériane seule dans sa chambre. Le lendemain, comme prévue elle revenue tôt et les deux amies partirent, non pas sans laisser une lettre adressé au joueur français de la Juventus.


Quand celui arriva à l'hôpital un peu plus tard, sa tête se décomposa en voyant qu'elle était partie.L'accueil lui donna la lettre. Il l'ouvrit doucement.


« Cher Paul,


Je ne connais pas ton nom de famille,Lucy à oublier de me le dire. Je suis désolée de te répondre par lettre et d'être partit comme cela. Je voulais éviter des moments de gênes, tu sais. Je ne te remercierai jamais pour tous ce que tuas fait pour moi. J'espère que l'on se recroisa un jour. Et si j edois répondre à ta carte, je crois au coup de foudre Paul. Une personne peut me plaire physiquement et me plaire davantage avec ses gestes. Je pense sérieusement qu'une flèche à traverser mon corps il n'y a pas longtemps. Je suis vraiment désolée de partir comme une voleuse mais je n'oublierai jamais crois moi. Tu es un homme bien et Lucy comme moi te souhaitons le meilleur.


Au revoir


Lucy Müller et Valériane »


Elle n'avait laissé aucune place à l'amour, peut-être était elle passée à côté de l'homme de sa vie, celui qui serait resté prêt d'elle jusqu'à la fin de ces jours pour contribuer à son bonheur.






« L'homme parfait donne de l'amour sans jamais le reprendre »

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