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C'était un lundi de septembre, comme n'importe qu'elle enfant de 5 ans, j'ai commencer l'école cette journée là. Mes "parents" avaient beau être les plus détestables du monde, m'empêcher d'aller à l'école était pour eux inacceptable. J'allais par contre pas dans la même école que mes frères et soeurs, ceux-ci allait dans une école beaucoup mieux que la mienne. Moi, j'allais dans une école public, à 15 minutes de la maison. Je m'y était rendu en autobus, mes parents étaient bien trop occupé pour aller me porter a l'école. A mon arrêt d'autobus, il n'y avait personne. C'était normal, ma "famille" vivait dans la partie rural de la ville, la partie partiellement couverte de forêt et où les routes n'était pas asphaltée. J'ai attendu un moment avant qu'un autobus jaune s'arrête juste devant moi. J'y suis rentrer rapidement et j'ai balayé du regard l'intérieur de l'autobus. Il n'y avait qu'un seul personne. C'était une jeune fille, je me rappelle qu'elle s'appelait Naomi, elle était plutôt mignonne, même si elle ne correspondait pas du tout a mon genre de fille. Elle avait les cheveux brun, les yeux vert et un visage pâle. Je suis aller m'assoir au premier banc à l'avant. Et bien quoi? Sa me gênait d'aller m'assoir avec une fille que je ne connaissais même pas. Le chauffeur m'a regarder dans le miroir au dessus de sa tête d'un regarde persan. J'ai tout de suite compris pourquoi s'assoir derrière le chauffeur était une mauvaise idée. Je l'ai regarder aussi et lui fit un petit sourire nerveux avant de coller mon visage contre la fenêtre. Les gens qui ont des lunettes savent a quel point c'est chiant de coller son visage dans la vitre, je les enleva donc et les tenues dans mes mains. Dehors, un éventail de couleur flou représentant la forêt qui défilait a la vitesse de l'autobus. Ma mal vision rendait le paysage asser monotone. J'était plonger dans mes penser a regarder les teintes vertes défilé par la fenêtre quand soudain, sortie de nul par, du noir et du blanc. Ses couleurs était disparu aussi rapidement qu'elles étaient apparus, comme si c'était quelqu'un sur le bord de la route. J'avais sursauter et m'était empressé de remettre mes lunettes pour regarder se que c'était. Rien, c'était rendu trop loin. Mon coeur battait fort dans ma poitrine et ma respiration était saccadé. Lorsque je fus calmer, je regarda devant moi et leva la tête vers le miroir du conducteur qui me regardait a nouveau. Ce conducteur me fesait vraiment peur serieux, il me regardait comme si il avait vu comme moi.

Yussef: Les originesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant