Yussef: Les origines

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J'ai déposer son lourd corps dans les feuilles sur le sol. Je pouvais entendre ses plaintes, il couinait et gémissait de douleurs. Son visage était vraiment dans un sale état, son nez s'était fracasser à l'intérieur et il fesait visiblement une hémorragie. J'aurais pu le laisser là pour qu'il meurt par lui même mais j'avais peur que quelqu'un le trouve, qu'il s'en remette et qu'il me dénonce. J'ai donc faite se qu'il me devait de faire. Je déposa mon sac et pris la batte de baseball. Je suis approcher de lui en lui en le regardant. Dans ma vie, je ne m'était jamais senti autant supérieur à quelqu'un. Ce sentiment de supériorité face a se garçon qui semblait plus fort que moi me fesait me sentir bien. Je me rappelle très bien se sourire tordus qui c'est dessiner sur mon visage lorsque mon coeur a commencer a se serrer. Je suis arriver près de lui et sans la moindre pitier j'ai commencer à frénétiquement frapper son crâne. Il criait et tentait de se protéger avec les bras, mais cela ne servait à rien. Je les frapper au moins une centaine de fois. L'adrénaline montait, le sang de Francis avait tacher mes pantalons ainsi que mon t-shirt et mon visage. J'ai arrêter de le frapper lorsque j'ai vu que son crâne était fendu. De toute ma vie, je n'avais jamais rien vu d'aussi dégoûtant. Qu'est ce qui m'avait pris? Comment j'avais pu faire un truc comme ça? Lorsque je suis revenu a moi, après avoir fait ce massacre, j'ai vomis. La scène m'avais complètement dégoûter... Tout se sang...

Je suis rentrer chez moi tout bonnement comme si rien était. Par chance que la route vers chez moi était peut fréquenter, je pu me déplacer librement malgré le sang qui me recouvrait. De plus, ma "famille" ne serait pas la aujourd'hui. Ma mère passait la journée chez sa mère a 3h de la ville, mon père finissait de travailler très tard dans la nuit et mes frères et sœur n'avais pas encore terminer l'école car je finissais plus tôt. Je suis rentrer chez moi, je me suis laver et J'ai enfiler des vêtements propre. J'ai ensuite pris mes vêtements et la batte de baseball et je suis aller les jeter dehors dans la poubelle. Je suis aller la porter au chemin, le camion des poubelles passait aujourd'hui. J'étais tirer d'affaire, en quelque sorte.