The Red Dress | Fiction avec One Direction

Ch.08

Ch.08

J'avais peur, tellement peur. Qu'est-ce qu'il allait faire. Bon sang, qu'est-ce qui ne tourne pas rond chez lui?

Il empoigna ma tête de sa main droite, tout en agrippant mes cheveux entre se doigts. Il prit mes bras et les emprisonna derrière mon dos à l'aide de son bras gauche. Il plaça son nez dans mon cou et renifla. ...

-Tu sens divinement bon. Tu t'es fait belle, pour moi c'est ça? me dit-il entre ses dents, tout en poussant sur ma tête, pour ensuite la coller à son épaule

Je n'osa pas parler, de toute manière j'en était incapable car ma bouche était collé à son t-shirt. Il commença à marcher de reculons, tout en m'entraînant.

Il me balança sur le lit violement. Je m'assis tout en m'appuyant de mes coudes. Je me redressa et avec le revers de ma main, j'essuya les larmes sur mes joues. Niall me regardait, la tête haute, tout en enlevant sa ceinture. Il s'agenouilla sur le lit et empoigna ma tête, comme il l'avait fait quelques secondes au par avant.

-Viens ma belle, dit-il en me ramenant au centre du lit, tout en me couchant

Je gémissait bruyamment et essayais de le repousser mais son emprise était trop puissante contre moi. Il prit la ceinture et y entoura mes mains, et accrocha finalement la corde de cuir aux barreaux de fer du lit. Je respirait fort. Je savais ce qui allait ce passer. Je le savais. Mais j'espérais secrètement qu'il allait arrêter avant de le regretter.

Il glissa ses mains de chaque côtés de mes bras, de mes côtes, de ma taille et s'arrêta sur mes hanches. Je levai les yeux au ciel, en retenant mes larmes de couler. Niall glissa sa main sous mon t-shirt et vint la placé autour de mon cou. Sa tête était au-dessus de la mienne, sans toutefois la toucher.

-Tu as peur? me dit-il entre deux respire

-Je suis...

-Morte de trouille?

-Dans ma période, mentis-je avec espoir qu'il s'arrêterait

-Tu sais que si tu ment, ce sera encore pire?

Mes yeux flottaient sur le plafonds. Je ne voulais surtout pas le regarder. Il plaqua son pouce sur ma joue droite et ses quatre autres doigts sur mon autre joues. Il détourna mon visage, face à lui.

-Règle numéro un, quand je parle, tu me regarde.

-Tu me dégoutes, dis-je remplie de rage

Il tourna un peu la tête et ria. Il se retourna et passa sa langue sur sa lèvre supérieur. Il me sourit.

-Tu sais que j'ai jamais vue d'aussi beaux yeux? me dit-il

-Tu sais que j'ai jamais vue de gars aussi taré que toi?

Son sourire disparu. Il retira l'emprise de sa main autour de mon cou et se redressa. Il était positionner avec une jambe chacune dans les côtés de mes hanches. Il s'assit et déposa ses mains derrière lui, sur mes genoux. Il laissa aller tout son poids sur ses mains. Et toute cette force traversa mes genoux. Je cambra le dos et cria de douleur. Il retira ses mains.

-C'est dommage. T'es une jolie fille. J'aurais préféré ne pas te faire de mal mais vois tu, ça me manquais. C'est maintenant l'heure de découvrir si tu mas mentis!

Il tira sur les shorts noirs et blanches que je portais. Le chandail d'Harry était trop grand et cacha ma culotte. Mais Niall le souleva finalement. Je suis cuite.

Il baissa ma culotte blanche et s'aperçut bien que j'avais mentis.

- T'es qu'une menteuse alors! J'aurais pas le choix d'être encore plus méchant que je ne l'avais prévu! dit-il avec un sourire qui me donnait envie de gifler

-S'il-te-plaît...s'il-te-plaît...dis-je les lèvres tremblantes.

Il se leva debout et défit le bouton de son jean. Il baissa ensuite le zipper. Il fit glisser ses jeans sombres jusqu'à ses chevilles. Il enleva un pied. Et l'autre ensuite. Il garda son caleçon et monta sur le lit. Il prit mon visage entre ses mains et colla son front au mien. Je le fixa, les yeux pleins d'eaux, et lui chuchota..

-S'il-te-plaît, ne fait pas ça. Laisse moi je t'en pris.

-Je suis désolé. Mais je n'ai aucune pitié. J'ai beaux en chercher, je n'en trouve pas, dit-il en glissa ses pouces sur mes joues

-Imagine si ça serait ta sœur...

-Oh..

Il se redressa. Il a enfin compris.

-Mais qu'est-ce que je raconte! Je n'ai même pas de sœur! Je te l'ai dit, je n'ai pas de pitié!

Il plaqua ses mains sur mes joues et m'embrassa.

Il est un monstre.