The Red Dress | Fiction avec One Direction

Ch.11

Ch. 11

Et puis je baissa la tête, voyant le sang couler au travers mon chandail.

Niall retira vivement la lame de mon estomac. Il ne l'avait pas enfoncer bien profondément, mais le coup était horrible malgré tout. Je criais de douleur, au contraire de Niall qui souriait de fierté. Je plaça ma main sur l'épaule de Niall instinctivement, et plaça ma main gauche sur la coupure, laissant un peu de ...sang couler au travers de mes doigts. Niall agrippa fortement mes cheveux, les tenant en queu de cheval. Il tira d'un coup sec dessus et ma tête se vue étirer par l'arrière. Niall approcha son visage du mien. Si près, que ses lèvres chatouillaient mes joues à chaque paroles prononcés par celui-ci.

-J'espère que tu as bien compris. Tu dis un mot ne serait-ce, et tu pourrais facilement te retrouver sans vie, dit Niall entre ses dents.

Mes yeux clos, je restais concentrée sur ma respiration saccadée, et les mots tranchants de cet inconnu pourtant devenu si familier, auprès de moi.

-Tu le sais très bien. Je n'ai, aucune pitié, me dit Niall en prononçant lentement ces deux derniers mots.

Je tourna ma tête vers la droite, un peu et lentement, pour pouvoir admirer Niall. Admirer ses iris bleus qui décrivent le portrait du âme pitoyable. J'étais remplie de haine. Je me demandais même ce qui me retenais de ne pas lui démontrer toute ma colère. Je retourna la tête vers Zayn. Son épaule était adossée contre le cadre de porte du salon. Il avait croisé ses bras contre sa poitrine, et sa tête était virée vers la gauche. Il ne nous regardais pas.

C'est un putain de trouillard ce mec. Il a même pas les couilles de regarder et encore moins celles d'agir.

Niall avait sûrement remarqué le fait que je regardais Zayn, car il tourna son visage vers celui-ci.

-Zayn, trouve moi de somnifères, dit Niall

Je me retourne vite fait dans la direction de Niall. Mes yeux sont probablement plus rond qu'une boule de billard et ma respiration s'accélère encore plus. C'est comme si je suffoquais.

Niall se retourne vers moi, son visage à quelques centimètres du mien. Il place son pouce sur ma joue droite et ses quatre autres doigts sur mon autre joue. Il presse un peu et fait ressortir mes lèvres en mou. Il s'approche encore et donne un baiser sec sur ceux-ci.

Ça m'a tout pris pour ne pas empoigné le couteau et le lui placé dans le cœur. Mais je sais que je le regretterai...

Niall plaça ses deux mains sur mes épaules er pressa dessus pour me faire assoir sur le fauteuil. Zayn arriva après trois minutes, avec un verre d'eau à la main, et des somnifères. Il plaça le verre sur la petite table devant moi et donna les trois pilules à Niall.

-Ouvres la bouche, dit Niall

Ma bouche restait clause. Niall mit son pouce sur mon menton et les quatre autres doigts en-dessous. Il prit son autre main, celle qui était fermer en un poing pour tenir les somnifères, et étira mon visage, pour faire ouvrir ma bouche. Il lança presque les médicament dans ma gorge et me fit avaler le verre d'eau.

Jamais je n'avais vue quelqu'un faire boire de l'eau aussi brutalement à quelqu'un d'autre.

-Ça suffira pas Zayn, il en faut plus. Va en chercher trois autres, dit Niall

-Mais t'es fou! À croire que tu veux pas m'endormir mais me tuer, dis-je

-T'inquiètes, ça viendras, dit-il avec un sourire sournois

-Non mais pourquoi tu fais ça? dis-je

Niall baissa son regard vers ma blessure. Je la cacha en plaçant délicatement ma main par-dessus. Niall s'approcha et plaça ses bras autour de mon cou pour me coller à lui. Il nicha sa tête dans mon cou et me chuchota "Je suis désolé".

Il est bipolaire ce gars. Une minute il me poignarde, l'autre il m'embrasse. Il va pas bien du tout.

Je répondit tout de même à son petit message par un soupire. Il se décala un peu et me regarda droit dans les yeux, un sourire accroché à ses lèvres.

Ses beaux yeux bleus et son magnifique sourire me font craquer. Pourquoi la personnalité ne vient pas avec?

Au moins, il s'est excusé, ce qui veut dire qu'il regrette un peu.

-Non. C'est pas vrai, dit-il

Je n'eu même pas le temps de comprendre qu'il pressa fortement sur la coupure qu'il venait de me faire. En criant, il me jeta les trois autres somnifères dans la bouche. Il versa le reste du verre d'eau et plaça sa main sur ma bouche pour m'empêcher de les recracher, et du même coup crier.

Je n'eu d'autre choix que d'avaler ses pilules.

Et en quelques minutes, je m'évada pour un long sommeil un peu trop profond à mon goût.