Le Bad-Boys

La decouverte d'un autre monde...

Après une nuit mouvementé, je me réveillais comme à ma position initiale, la tête sur le torse de Joyce et les mains jointes un peu plus au dessus de celle ci. Je bougeais un peu mes mains et mes bras en caressant son torse et en craquant mes doigts. Je tournais la tête et vit qu'il m'observait.

Je n'avais pas sentis la main qu'il avait posé sur ma tête. Il caressait mes cheveux doucement. Mes sens étaient mouvementés comme chaques matins. Le train passe, le soleil levé la nuit disparaît, et nous, humains, commençons notre journée par nos quotidiens. Mes membres commençaient à se détendre doucement. Je me levais, puis ensuite regardais un peu le bazarre de la veille et baille.

-J'espere que tu as bien dormi. Tu vas devoir ranger. C'est pas bien n'empêche d'avoir fais irruption dans la vie privée d'une fille, avais je dis d'un ton moqueur.

Il soupira.

-Je peu dire aussi que ta tête est vraiment lourde. Va falloir commencer à perdre un peu je vois de la brioche là sur ton ventre. Mais sinon j'ai bien dormi ouais.

Il s'étirait doucement et se levait pour ensuite me faire face.

-Bon, tu veut faire un tour dans un monde monstrueux ?

-Hmm, si tu me protège et que tu ne me vend pas au marché noir alors je veux bien.

-Très bien. Tu me vouvoiera par contre je dois faire quelques courses. Prépare toi on y va dans environ 20 min.

-20 min! Je suis ni lavé et ni habillé ! J'aurais même pas le temps de prendre un déjeuné! Tu exagère sérieux là !

Je le voyais ricaner et prendre une cigarette dans la bouche, en m'observant, moi qui ne savait pas par quoi commencer. Prenant mes habits, pour me préparer à cette journée sans cours, je me dirige vers la salle de bain assez rapidement. Je me lavais et me préparais le plus vite possible. Je ressortais les cheveux mouillés et mes habits à moitié trempé. Je couru vers la cuisine pour manger un ou deux gâteaux en le voyant les bras croisés et ricanant de me voir galèrer.

-Plus que 2 min mademoiselle, avait il dit d'un ton moqueur.

Dans mon empressement j'avais taché mon maillot et fût obligé de changer de maillot pour en mettre un avec un personnage d'happy tree friends. C'est une série un peu bizarre mais que j'affectionne. Il ouvre les bras ensuite vers moi comme pour que je m'y réfugi et n'adoptant pas la solution du câlin je le regardais incrédule.

-Viens dans mes bras. Tu avais l'idée en tête pourquoi tu ne l'as pas fais ?

-T...tu sais lire dans mes pensées !?

-Oui. Enfin pas tout le temps. Je pourrais t'aider plus tard pour savoir fermer tes pensées aux autres. Aux autres mais pas à moi. Étant donné que tu m'appartiens... T'as pas le choix.

-Je commence à m'y habituer. Enfin un peu... Quand tu me le rappel sa me donne encore plus de mal à l'accepter tu sais ? avais je dis en allant dans ses bras.

-Ah oui?

En disant cela j'avais cligné les yeux et je vis que nous n'étions non plus dans mon salon, mais dehors, avec des personnes non humaines. Je le regardais.

-Joyce, comment dois je m'y prendre pour que personne ne lise dans mes pensées ? avais je dis tout bas.

Tout le monde m'avaient regardé et mes joues commencèrent à s'empourprer machinalement. Nous étions toujours collé et il m'entrèna assez rapidement dans un coin d'une ruelle sombre. Il me poussa sur le mur et m'embrassa. Les joues rouges, les yeux écarquillés, je ne réagissais pas. Il me regarda en décollant ses lèvres des miennes.

J'en profitais ensuite pour regarder le ciel pourpre. Le soleil éclairait à peine les rues. Les habitants avaient un air lugubre et avançaient lassement d'une rue à une autre. Certains avaient des queues d'animaux particulier. Que ce soit imaginaire dans les comptes, les histoires ou encore les bibles, il y avait toute sortes d'hybrides. Les formes d'hybridités à ce que j'ai pu remarqué, ce différencie avec, sois plusieurs partis des corps de l'animal ou alors une seule. Il y a comme Joyce, les jambes et la tête ou encore le dos comme le dragon avec ses ailes. Beaucoup me regardaient comme si j'étais une bête de foire. Ce que je faisais évidement avec eux étant donné que je ne suis pas habitué à ça. Après avoir remarqué tout ça, je me reconcentrais sur Joyce et lui dit furieusement.

-Pourquoi m'as tu embrassée !?

-Comme ça, il n'y a plus que moi qui peut lire en toi. Même si tu m'appartiens, les autres peuvent lire en toi quand ils le souhaitent. Quand je ne suis pas près de toi, tout le monde, enfin tout les Scrow peuvent lire en toi.

-Ah...bon on y va? Et la prochaine fois préviens moi....

-Très bien très bien mademoiselle .

Je le suivais ensuite. Il y avait beaucoup de monde sur le marché noir Scrow. Je ne sais même pas dans qu'elle ville nous sommes et où nous nous situons. Je regardais aux alentours ce qui peuplaient les tables des marchants. Il y avait beaucoup de nourriture humaine. On pourrait presque dire qu'ils ont le même régime alimentaire que nous mais il y avait aussi de  la nourriture que je ne reconnaissais pas.

Ce qui m'a étonné, c'est que la nourriture humaine est beaucoup plus chers que la nôtre. Enfin je pense. Nous, nous avons les Yens, les Livres Sterling, L'euro et le Dollars,... Mais eux, ils ont aussi leur propre monnaie. Le Crown. Pour nous une pomme est à 30 ct environ sur les marchés, eux c'est à 500 Crown. Il y avait aussi de très beaux bijoux. Des chaussures des vêtements, des bêtes aussi. Quelques peux bizarre mais quand même. Je rejoignais Joyce à un stand où peuplaient de magnifiques bijoux. Les plus beaux du marché d'après moi. Il me regarda.

-Choisi celui que tu veux. Je te l'offre.

-Mais enfin... Vous ne devriez pas... Ça doit coûter chers.

-J'insiste. Ce n'est pas un bijoux de décoration. Il servira à ce que je puisse te retrouver. Si tu es en danger, le bijoux m'enverras un signal. Je peux aussi te faire apparaître devant moi ou à l'inverse apparaître devant toi. C'est le miens.

Il me fit voir un bracelet en cuir noir, orné d'une tête de mort bouc. Je le touchais lorsqu'il me l'autorisa et sentis quelque chose d'anormal. Je suis humaine, enfin je crois, mais je pense que n'importe quel humain pourras sentir que ce n'est pas un bracelet est différent des autres.

J'avais vu en tournant la tête du bracelet de Joyce un bracelet avec un coeur violet. Il était si beau. C'est comme les vieux bracelet du 18e siècle. Je le désignais du doigt.

-J'aimerais celui ci si vous voulez que j'en prenne un... S'il vous plaît.

-Très bien. Vieil homme, donnez moi celui ci s'il vous plaît.

-Le voici Monsieur, sa f'ras 1500000 Crown, avait dit la vieille personne qui tenait le stand.

-Tiens. Garde le reste.

Il avait arrondi à 2000000 Crown. Le vieil homme l'avait soigneusement emballé dans un beau sac en velours. Tu m'étonne, normal avec l'arondissement... J'ai l'impression qu'il est plein aux as pour arrondir une tel somme du tiers de son prix en plus du prix de base.