Le Bad-Boys

The Start

Je me réveille doucement. Mes yeuxs'ouvrent sur une chambre que je ne connais pas, je panique quelquessecondes puis me rassure en me rappelant les événements d'hier.Alors que je voulais me redresser, je sentis un poids. Joyce avaitentouré ses bras autour de moi. Je soupire et m'enlève doucementpour éviter de le réveiller.

La soirée d'hier a été trèsmouvementée. Je m'étire et sors de la chambre pour visiter un peu.

Je sors et me retrouve devant un grandcouloir, j'ouvre les portes et y trouve soit une chambre bien rangé,soit une salle de bain. Enfin pour l'instant il n'y a que 4 piècessans la chambre (si je peux l'appeler chambre) à l'étage où jesuis.

Je me retrouve devant un escalier, quiva soit en haut ou en bas. Je me doute que le bas doit être lacuisine, la salle à manger ou le salon puisqu'il y a la lumière dusoleil qui perce. J'ai bien envie d'aller en haut, je monte deuxmarches, mais très vite un bruit de porte puis des bruits de pasprécipités commencèrent à atteindre ma hauteur. Un Joyce sauvagepas réveillé apparaît soudainement. Je rigole en voyant la têted'enfant qu'il a.

-Je suis pas d'humeur à rigoler,t'allais aller où ? Fit il en me fixant un peu méchamment.

-A-Ah euh je.. Je voulais justeregarder ?

-Tu n'as pas à aller fouiller chezmoi. De toutes manières je te ramène maintenant chez toi.

Il parlait assez irrité. Je necomprend pas son comportement, mais surtout qu'y a t il en haut pourqu'il soit autant fâché ?

-Pourquoi tu te fâches dès le matin ?Je ne faisais rien de mal, tu me caches quelque chose ?

Alors que j'avais finis ma phrase, ilavait mit sa main sur mon poignet et m'avait téléporté chez moi,dans ma chambre. Je me retourne en fronçant les sourcils mais ilavait déjà disparu. Je soupire assez fortement et secoue la tête.Je n'ai pas à m'occuper de lui et si il veut jouer à ça, on va yjouer. Je me dirige dans la salle de bain et me lave, il me restaitun peu de maquillage sur les yeux, je l'enlevais pour le remplacerpar quelque chose de plus soft. Je jette le t-shirt par terre, detoutes manières je sais qu'il va venir le récupérer et le laver.Je prend mes affaires et m'en vais. Je regarde autour de moi, jeverrouille la porte et fourre mes clés dans mes poches.

Après 20 minutes de marche, jem'installe dans un parc, sur un banc en dessous d'un chêne. Je prendune cigarette de mon paquet et commence à fumer. J'ai besoin de medétendre et de surtout ne plus penser à rien. Mon ame se faufiledans mes cheveux et me lèche la joue. Je rigole.

-Ah bah te voilà toi ! Arrête deme lécher, dis je en riant et en la prenant par les aisselles.

Elle me regarda avec une couleur rose,violette en faisant un petit bruit. Je la lâche, et commença àflotter d'elle même. Je souris et vit qu'elle tenait un petit bâton.Je le prend et le jette. Heureusement qu'il n'y a jamais personneici, sinon j'aurais été mal d'expliquer le fait que je lance unbâton et que deux minutes après, il flottait. J'avais passé majournée à jouer.

J'avais un peu d'argent sur moi,pas beaucoup mais assez pour aller dans un café. A 5 minutes du parcse trouvait un bistrot, je m'y installa et commanda un café latte.Je fourre mes mains dans mes poches et regarde le paysage. Pus d'uncoup, je sens une chevelure blonde se poser devant moi.

-Salut toi, comment tu vas ? Je tesens moins bien que d'habitude ses derniers temps et ta mère m'aun peu parler de ce qu'il c'était passé.

J'en peu plus de me mère, pourquoiraconte t'elle nos problèmes aux autres ? Ok c'est mameilleure amie mais même. Je la regarde et ouvre la bouche pourparler, mais me fit très vite coupé dans mon élan.

-Tu sais quoi ? C'est pas graveje m'en fiche que tu ne me dises rien.

Elle regarda le serveur en souriant etcommanda un sirop. Je soupire, je ne donne pas chère de la peau duserveur.

-Demain je vais aller à une soirée enville, Flavien m'amène, tu veux venir ou pas ?

Je l'observe et plisse les yeux, jesais que je vais finir la soirée sans elle. Mais soit, je dois mechanger les idées et comme demain nous sommes samedi. Flavien ?C'est un pote à nous deux. Il est gay, c'est la seule relationque a meilleure amie à avec un garçon, puisqu'elle finit parsortir avec tout le monde. Il est un peu plus âgé que nous.

-Ouais ok je viendrai, mais je veux paste ramasse a la petite cuillère pour te ramener chez toi.

Elle ricane et pose sa main sur le côtédroit de sa poitrine et lève une main solennellement, dans unmouvement de cheveux blonds

-Je le jure sur mon honneur madame.

On éclate de rire toutes les deux,notre commande ne tarde pas à arriver. On discuta de tout et derien, sans trop se prendre la tête. J'évite de parler des Scrows,et de la race de Vladimir.

-Attend, ma meilleure amie à faillitse faire trouer dans une boite, sans moi ?

-Eh ouais, désolée je suis pas toutle temps collé à toi.

-Mais tu aurais pu me demander tout demême ! Je suis sur que le « faillit » se seraitchanger en « fait ». Attend, pourquoi t'as pasréussis ?

-Compliqué à expliquer, et j'ai laflemme donc oublie pour que je te le dise.

-Mais enfin pourquoi !? J'ai ledroit de savoir !

-Je préfère attendre un peu tu vois ?

Elle bougonna et dit des chosesincompréhensibles entre ses dents, je me lève et prend mesaffaires.

-Je vais rentrer chez moi, rentre biensurtout, fais attention à toi.

-A toi aussi, me dit elle en souriant.

Après quoi je décida de rentrer chezmoi.

Mais très vite, j'ai bien compris quequelque chose n'allait pas. Je me dirige vers la ruelle où se trouvema maison. Je me met dans l'encadrement de la porte qui était déjàouvert. Mon corps refusait de bouger, mais que s'est il passé ?

AU MÊME MOMENT

????-Je t'ai enfin retrouvé... Je n'aimalheureusement pas pu te trouver, dommage, mais je n'abandonneraispas les recherches. Je sais où tu habites maintenant, chère Andréa,prépare toi, jamais je ne céderai ce que je veux.

La personne ria aux éclats, en un rirenon pas diabolique, mais un rire méchant sincère, faisant froiddans le dos. Il regarda à travers le miroir, où se trouvait Andréadevant sa maison l'air choquée.