1. La vie d'Amiko Del'Awrt

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1. La vie d'Amiko Del' Awrt

-Mademoiselle, il est l'heure de vous levez.

5h30. L'heure à laquelle je me réveille tout les matins, meme durant les vacances, par une ribembelle de servantes portant des robes noires avec des tabliers blancs de l' epoque victorienne. Elles sont toutes là pour m'aider à m'habiller de vêtements luxueux qui sont impossible à mettre seul (et je suis sûr que cela à été fait exprès). Ceci fait partie de l'étiquette aristocratique: vetements hors de prix, dans lesquels vous n'êtes pas à l'aise, avec une centaines de servantes sous vos ordres.

Tout ce que vous avez a faire est de vous laissez mener et de donner, de temps à autre, des ordres par-ci par-la.

Après plus d'une heure d'habillage, de coiffure et de maquillage, j'étais fin prête à sortir de ma chambre spacieuse où mon lit à baldaquin avait été refait et que l'air avait été renouvelés.

-Mademoiselle, votre petit-dejeuné est prêt.

-Je souhaiterai le prendre sur la terrasse, je voudrais voir le levé du soleil aujourd'hui. Repondis-je d'une voix neutre.

-Bien Mademoiselle, fit une servante en s'inclinant légèrement et elle partie en direction de la salle à manger.

Toutes les servantes étant partient, je decidais en attendant d'aller voir Léanobia, ma jument noire de  6 ans, qui est la seule à réellement m'apprecier. Je l'ai eu quand elle était encore une pouliche pour mes 12 ans. Elle m'a été offerte par mes parents pour célébrer mon passage au rites de la fecondité. C'est a dire de mes premiers sangs.

C'est normalement un moment très important chez une jeune fille où les parents le célébre avec joie; mais pour ma famille cela n'est pas une chose que l'on doit fêter car il est un devoir chez les Del'Awrt de parfaire son education et sa sitution féminine pour devenir une femme parfaite sans reproche.

Une fois arrivée dans les écuries, je vis ma jument mangée son foin mis dans un coin de la stalle. Dés qu'elle me vit, elle leva la tête et hennit, me souhaitant ainsi le bonjour. Je souris et vins vers elle pour la caresser.

-Alors Léonobia? As-tu passées une bonne nuit? lui demandai-je tout en la caressant.

Elle me répondit en hennissant encore. Il y a des fois où j'ai l'impression qu'elle comprend ce que je lui dis; quand je lui parle, elle me regarde d'une manière à laquelle on croirait qu'elle écoute ce que je dis et hennit de temps en temps comme pour me donner une réponse.

Voyant l'heure tournée, je lui dis au revoir et me dépecha, d'une demarche de jeune fille de bonne famille, d'aller sur la terrasse où m'attendait mon petit-déjeuné et le lever de soleil qui lui ne fairait pas de même.

Awarta, l'HistoireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant