Chapitre 8: Gabriel Agreste.

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Point de vue Marinette.



La magie.. Présente dans les contes de fées elle rend n'importe quel récit fabuleux. Une princesse.. Un prince.. Une sorcière.. Un amour impossible au départ. Des péripéties. Encore et encore. Pourtant.. Dans chaque conte se trouve un destin tragique. Du sang. Des cris. Mais pour les enfants les adultes changent tout. Malheureusement dans le monde dans lequel nous sommes rien ne peux être modifier. Les adultes deviennent indifférents. Chacun pour soit. Si seulement les enfants avaient compris ça dés le début il n'y aurait aucun malentendu. Qu'y a t-il de mal à leur dire la vérité? Ce monde est cruel. Je l'admet. Les rires ont disparus pour laisser place aux cris. Les sourires se sont effacer pour être remplacer par les larmes. Et après? Qu'est ce qui va encore changer? 



Amour Chassé croisé. Ce conte de fée dans lequel je vis va me tuer.



Je soupirais, en regardant par l'immense fenêtre. Il était déjà tard, et Adrien s'était éclipsé depuis plusieurs minutes déjà. Il commençait à être tard et je devais donc rentrer chez moi. Mais le blondinet n'avait pas voulu me laisser partir seule dans une telle obscurité. Même sous la forme de LadyBug.. Je devais donc attendre son retour. Je me laissais tomber sur le canapé en levant les yeux au ciel. Je laissais ma tête basculé en arrière, afin de voir derrière moi. Je regardais les écrans d'ordinateur avec un léger sourire. Je me relevais en allant vers ceux-ci. Je m'asseyais sur la chaise en fixant le fond d'écran avec un doux rire. C'étais une photo de moi et de sa mère. C'étais mignon de sa part. Je souriais bêtement sans tourner la tête. La porte s'ouvrit, sans pour autant me troubler. Je sentis tout à coup deux mains se poser sur mes épaules pour me faire sursauter.



-C'est bon on te ramène! 


Je me relevais et l'embrassais en signe de remerciement. Avant de sortir de la chambre je le fixais avec un rire taquin.



-Il est mignon ton fond d'écran!



Je le vis rougir avant de disparaître dans les couloirs. Je descendais ensuite les escaliers avant de saluer Nathalie.



-Mademoiselle Dupain-Cheng..



Je me retournais vers l'homme posté derrière moi. Mon sang ne fit qu'un tour. Gabriel Agreste..


-B.. Bonsoir!



Il s'approcha de moi avant de poser une main sur mon cou. Il la fit glisser jusqu'à soulever mon lobe pour regarder mes boucles d'oreilles.




-Elles sont magnifiques.. Vous êtes fan de LadyBug?
-O.. Oui..


Je rougissais en détournant le regard. Il laissa sa main glisser sur ma joue avant de reculer. Je détournais le regard pour croiser celui d'Adrien qui observait la scène en serrant ses poings. 


-Il se fait tard. Je vais vous laisser. 
-A..Au revoir..


Il disparut derrière la porte alors que Nathalie m'entraînait dehors. Je me retrouvais seule dans la voiture avec le "gorille" comme j'aimais bien l'appeler. Sur la route j'entendis un bruit sourd, une explosion. J'ouvrais la fenêtre afin de regarder dehors. je sortais ma tête et ce que je vis me glaça le sang. Un camion fonçait droit sur nous. Mais il venait.. Du ciel.. L'akumatisé l'avait jeter sur nous.. 


"Tuez Marinette Dupain-Cheng. C'est un ordre!"


Cette voix résonnait dans ma tête. Elle me semblait si familière.. Je voyais le véhicule se rapprocher. Encore et encore.. Je hurlais en sentant mes os se briser.. Le sang.. Mon cerveau avait cesser de fonctionner. Je poussais un dernier cri. Puis ce fut le vide.


LadyBugOù les histoires vivent. Découvrez maintenant