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Les larmes rouges tombés sur le bois pourri, et brûler du plancher. Le sang coule le long de mon bras, il ne s'arrête pas. Je mets ma main au dessus du lavabo qui a survécu à l'incendie de cette maison, qui a causé la mort de mes parents, et qui devais causer la mienne. Mais je n'était pas la. Je m'en voulais. Je n'avais pas réussis à me tailler les veines, je ne me suis que couper la peau, mais mon poignet n'arrête pas de couler. Le lavabo contient déjà au moins cinquante centilitre de sang. Je prend le dernier carré de papier toilette pour me la couvrir et pars en direction de mon lit ; Un matelas un peu cramé, une couverture, et un boudin. Mon coussin ayant littéralement pris feu. Je vais devoir aller au supermarché acheter du papier toilette. Je décide d'aller à la douche. J'ai acheter avec des économies un récupérateur d'eau de pluie, et ça m'aide beaucoup. Après, je vais dans le dessing, seule partie de la maison à ne pas avoir brûler. Je prends un jean à ma mère, et une de ses chemises. Mes vêtements ne son plus de ma taille désormais. Quand je m'habille, je mets mes sous vetement, puis, je remarque que c'est une chemise manche trois quart. .. Merde. .. je la laisse, et enfute le jean qui me vas à merveille maintenant. Quand ma mère était encore en vie, je l'harceler pour savoir si un jour je pourrais lui prendre son jean. Elle me manque... je fais un petit papier que ce qui me manque. je décide de prendre une boîte de conserve. J'ai du mal à écrire, et je me rend compte que mes yeux n'ont pas cessé de pleurer. Je me recesi, prend le papier, et les clef de la voiture de mon père. C'est le seul souvenir que j'ai de lui. Avec une photo avant qu'il ne tombe gravement malade. Quand je n'avais que quatre ans. J'ai seize ans, actuellement, et l'incendie date de cinq ans. Les pompiers mon fait pour morte, puis qu'il ne retrouver pas mon corp. Normal, J'etait partie chercher un paquet de clopes pour ma mère, elle était devenue dépressive, quand elle savait qu'il ne restait plus beaucoup de temps à mon père. Elle a abandonné son travail, et n'as plus payer ma scolarité. Je démarre l'audi, qui lui appartenait et pleure de nouveau à l'intérieur.

-Putain! Vous aviez pas le droit ! Qu'est ce que j' ai fait ? Je vous aimez, et vous, vous m'avais abandonné comme une merde ! Vous aviez pas le droit...

Les bras croiser je laisse ma tête tomber sur le claxone, et le bruit de celui ci s'éterniser, dans un endroit où personne ne pourras entendre ma détresse.

Je suis devant le magasin, et rentre à l'intérieur, allant directement au rayon des fruits et légumes. Je ne peux manger que ça de toute façon. La gaziniere est morte, et il n'y as pas d'électricité chez moi, désormais. Je prends des pommes, des bananes, des kiwi, et d'autres fruits, avant que quelqu'un me renverse. C'est le jour franchement. Et ma plaie qui avait cessé de couler se remets à saigner. ..

-Oh, excuse moi, vraiment. Je suis désoler. .. Tu... tu es blesser ?
-Non, c'est rien.

Il prend mon poignet et observe les grosse coupure que je me suis infliger... j'aurais du changer de chemise... Il me regarde, et je tourne la tête. Je n'ai pas besoin de réprimande. Je m'en veux assez comme ça, depuis la mort de mes parents. Il m'aide à me lever, et me donne son nom.

-Harry Style. Et toi ?
-Kat.
-Enchantée Kat.

Une voix de femme plus loin l'interpelle

-Harry !
-Je te rejoins plus tard !

La femme m'observe, un regard noir, et je tremble.

-je t'ai déjà vue, mais je ne me souviens plus ou... Dans un magasin de musique ?
-Sûrement. Je travaille à MusicandCo
-Ça doit être pour ça. Mais... Tu parrais jeune pour travailler !
- J'ai seize ans.
-Ah.
-Et toi ?
-Dix - neuf.
-Mois ? Rigolais - je
-Années. Me répond - ils en souriant.

Sa mère l'appelle, il dit qu'il arrive, puis, j'ai comme un pincement au coeur, une petite fille se fait soulever dans les airs avec les bras de son père, et elle rit... J'essaye de me retenir, mais je n'y arrive pas.

Red TearsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant