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Harry

J ’ observe ses blessure  parfaitement droite, avant de savoir pertinent, qu'elle se les es infliger. Pourquoi ? Je voudrais en savoir plus sur elle, je sais juste qu'elle s'appelle Kat, qu'elle à 17 ans, qu'elle habite à Sonin, et que ses parents son mort... J ’ observe sa veste, et remarque une  autre indice, Katarina Winsley. Elle se lève d,un coup, et me dit que c’est l’heure qu'elle ferme boutique. Je me demande beaucoup de choses sur elle. Après avoir fermer à clef la boutique, elle regarde si personne se l’observe. Moi  je monte dans ma voiture, et fais semblant d'être sur mon téléphone. Je sais que je dois avoir l'air d’un obsédé,  mais je la prend en photo. Elle a de magnifiques cheveux châtains  clair  et quelques mèches blonde. Elle a des magnifique yeux bleu... elle ne se maquille pas, mais elle est magnifique. Sa chemise à carreaux rouge bordeaux lui vas à ravir. Elle monte dans une voiture, dans une audi, et prend la route à gauche. Soudain, une idée me vient. Je démarre ma voiture, et le pot d'échappement fait un bruit d’enfer. Je roule, et prend la route à gauche. Je ne vois plus son véhicule. Je décide de reprendre la route de chez moi. Une fois arriver chez moi, je prend mon ordinateur, et active directement Google. Mais mon ordinateur rame...

-Oh, putain, c’est pas vrai!

Je décide de cuisiner des pâtes, et vois la page Google... je me rue dessus, et tape sur mon clavier les deux mots suivants : Katarina Winsley. Je trouve quelques résultats, mais principalement la même chose. La maison de ses parents a brûler, et ils seraient mort. Comme il non pas trouver le corp de la fille, elle a été dites morte. Pas de grandes informations. Demain, je la suivrais chez elle, pour savoir où elle habite. Je sais que j’ai l'air d’un obsédé, mais, elle est étrange...

Et puis, une autre page attire mon attention. "Katarina n’est pas morte" accompagné d’une photo d'elle,  plus jeune, devant la maison brûler, un  paquet de cigarettes par terre, et des larmes.
Une autre page, avec une photo d’un l'établissement, et comme titre : " La petite Katarina n’est plus scolarisé depuis ses cinq ans" et un autre " Katarina vis dans la maison incendié depuis six ans" et cette article a deux ans.

Le lendemain, je me reveille vers les neuf heure. Je prend mon petit déjeuner et décide de me préparer pour tout à l’heure. Je me demande comment elle seras habillé. Pour l'instant, je ne l'ai vue qu'en chemise, et Jean. Une fois lavé et habillé,  je me brosse les dents, en appuyant de toute mes force pour que le reste de ce tubes de dentifrice vienne sur cette fichue brosse à dents. Ça m'agace ! Il est onze heure. Je décide de ranger un peu ma maison, avant de prendre la route.

Kat

Je me lève à dix heure. Dix heure ?

-Oh, putain !

Je cours dans la salle de bain me laver. L’eau froide me réveille immédiatement... Je prend une serviette et l’enroule autour de moi, une fois lavé. Je cours vers le dessing de ma mère,  et ne sais quoi me mettre. Une robe ? Sa ferais bizarre,  non ? Je choisis de mettre un top, mais il est encore trop grand pour moi, alors je prend une robe, qui m'arrive à mis cuisse, crème,  avec une grosse ceinture marron en cuire. Je l'aimer beaucoup quand je voyais ma mère dedans. Ça mettais ses formes en valeur, mais moi... je suis maigre, et cette robe ne me vas pas aussi bien qu'elle.  Elle me manque. Quand je la prend du dessing,  deux pochette tombe par terre,  et une lettre. Je remets la robe sur son centre,  de peur de l'abîmer,  et ouvre une des pochette. Et là, je comprend tout... dans cette grande pochette, ou plutôt boîte en plastique, il y as au moins huit liasse de cinq cent. J’en soulève une, et vois qu'en dessous, il y en as encore une, puis deux... il y as trois liasse empiler... Putain ! C’etait un incendi criminel ! Je prend l'autre pochette, qui ressemble plus à une trousse, et reconnaît la trousse à maquillage de ma mère. Je range tout, et prend la lettre,  qui n’as pas était ouverte. Je remarque que l’heure approche vite, et décide de m'habiller. Je mets des simple ballerine de la même couleur que ma ceinture. Je brosse mes cheveux, baisse mon dos pour les mettre en avant, et les secous. Il devienne legerement bouclés. Je me regarde dans la glace. Et il me reste une heure. Je prend la lettre et essaye de l'ouvrir. Je vais dans l'ancienne cuisine, et prend un couteau, don le manche blanc à fondu. Comme tout les autres. Je suis tellement douée que je me coupe en l'ouvrant. En voyant le sang couler sur l'enveloppe,  une envie de me mutiler me vient à l'esprit. Je regarde le sang sur le couteau. J’en ai envie... Faire cela me soulage d’une certaine manière. Je veux d'abord lire cette enveloppe. Je sors le papier de l'enveloppe,  et y lis.

Red TearsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant