Chapitre 1 : L'enfer

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Je ne voulais le poster que demain mais finalement je me suis dit aller ils vont être content que tu le poste maintenant alors voilà le premier chapitre de mon nouveau projet!!

Message important :

Le viol est quelque chose de grave et qui peut détruire une vie, alors même si dans cette fic le viol est vu pour certaines personnes comme un jeu ou un amusement, je tiens à rappeler que c'est une fic et que je condamne cet acte, cela ne devrait jamais arriver dans la vrai vie :'(

Voilà, je tenais à préciser tout ça avant de commencer car le viol est quelque chose de grave et je tiens aussi à préciser que les âmes sensibles sur ce sujet devrait s'abstenir de lire cette fic.

Merci d'avoir lu !

Bref, un peu plus joyeux, je vous remets ma couverture!!!!;)

Accrochez vous bien, je commence plutôt fort (enfin par rapport à d'habitude)!!!!!; )

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Accrochez vous bien, je commence plutôt fort (enfin par rapport à d'habitude)!!!!!; )

Chapitre 1 :

- AAAAAAAAHHHHHHH !!!!!!

- Ferme-la !

Un coup de rein plus puissant que les autres me broya de l'intérieur, je n'en pouvais plus, que quelqu'un vienne m'aider, je n'en peux plus.

Cela devait bien faire des heures qu'il était en train de me violer, mais contrairement à moi il n'avait pas l'air épuisé, loin de là.

Je n'en pouvais plus cela devait bien faire 6 ans que je me faisais violer par les propriétaires de cet orphelinat.

Cet endroit était un vrai enfer, mais ça, personne ne le savait, pour eux cet endroit était juste un orphelinat comme les autres.

Pourtant, c'était bel et bien le contraire, il y avait même beaucoup d'enfants qui mouraient dans cet endroit. J'étais le plus vieux de l'orphelinat, car j'étais le seul à avoir survécu jusqu'à mes 16 ans, tous les autres étaient bel et bien mort avant.

J'avais malheureusement pu rester en vie à cause de mes fesses, car apparemment, j'avais malheureusement des "fesses en or".

Cela faisait des années que je rêvais qu'ils en finissent, qu'ils me battent à mort, mais ils faisaient toujours bien attention à ne pas me tuer.

Je ne pouvais pas non plus me suicider car à mon plus grand malheur ils faisaient en sorte de ne rien laisser qui pourrait nous permettre de partir.

Qu'est ce que j'avais fait pour mériter ça, je n'avais pourtant jamais rien fait, à croire que je n'aurais peut être jamais du naitre, en tout cas, j'aurais voulu ne jamais naitre.

Après que cet homme en eu marre, il me ramena dans ma cellule.

Je n'aimais pas cet endroit, de toute façon je n'aimais aucun des endroits de cet orphelinat.

Espoir ou désillusion ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant