Une nouvelle sexualité.

Chapitre 15 : Personne ne la touche !

Précédemment dans le chapitre 14 :
Je reprends la route puis rentre chez moi. Je pose ma bécane dans mon garage et rentre chez moi. En ouvrant la porte, la pire des scènes était juste derrière celle-ci. Ma plus grande peur était arrivée.

Mia était sur le sol pleine de sang. J'accours vers elle et la porte.

Mia : Ne m'emmène pas à l'hôpital. Dit-elle faiblement.

June : Mais il le faut Mia !

Elle avait beau répéter que non, je ne l'écoutait pas puis la met sur le siège arrière de ma voiture. En arrivant au urgence, j'hurle partout après un médecin.

****

Cela fait maintenant deux heures que Mia est partie avec les médecins pour plusieurs examen. Je stressais. Je n'avais jamais autant stressée de ma vie. C'était comme dans un cauchemars, mon cauchemars. Ma plus grande peur venait de prendre réalité. Les larmes coulent.

Docteur : Mademoiselle Cooper ?

Je lève la tête.

June : Oui ?

Docteur : Mia va bien. Elle a cependant une cheville cassé, quelques côtes fracturés et beaucoup d'hématomes mais rien de mortel. Savez-vous ce qui c'est passé ?

June : Elle s'est faite agressée. Je l'ai retrouvée comme tel chez moi.

Docteur : Vous avez bien fait de l'amener. Je vous conduit à sa chambre.

****

Arrivée dans sa chambre, je cours vers elle.

June : Bordel Mia, qu'est ce qui c'est passé ?

Mia : Il m'a trouvé et il a envoyé ses hommes. Ils m'ont frappé mais je me suis échappé.

June : Nous allons porter plainte !

Mia : Non !

June : Qu'on force la fille que j'aime à ce prostitué c'est déjà impardonnable mais la qu'on frappe la fille que j'aime, ça ne va pas s'en tirer comme ça !

***********************************

Elle me sourit faiblement puis prend ma main. Mes larmes coulaient et je ne pu les retenir. Cela faisait trop longtemps que je faisais la forte, trop longtemps que j'essayais de garder la tête haute sans jamais pleurer, alors j'ai craquée.

Mia : Ne t'en fait pas June, je suis saine et sauve et ça grâce à toi. Qui sait , à l'heure qu'il est, je serais peut-être morte si tu ne m'avais pas amené ici. Tu m'as sauvé la vie !

Je la prend délicatement dans mes bras et la serre affreusement fort. Elle était à mes côtés et j'avais peur qu'à ses habitudes, elle s'envole. Je ne voulais plus être séparé d'elle, c'est insupportable.

June : Je t'aime Mia, ne me quitte plus jamais.

Mia : Plus jamais.

****
June : Oh, docteur, est-ce que Mia va sortir ?

Docteur : Non, pas aujourd'hui du moins, on la garde quelques jours en observation. Mais vous pouvez venir la voir autant que vous voulez, on vous appèlera pour venir la rechercher.

Et voilà, ce que je ne voulais pas arriva. Je vais devoir de nouveau partir loin de Mia... mais bon, elle est dans les mains d'expert, ils vont prendre soin d'elle. Alors je rentre chez moi confiante.