Je n'ai pas pour habitude d'écrire sur les attentats qui se produisent, chez nous, en France. Mais aujourd'hui, je n'est pu m'en empêcher.
"Nous devons être un bloc que personne ne doit fissurer" (François Hollande), ton bloc François, il se fissure, et aussi bien de l'extérieur que de l'intérieur.
Tout les politiques ont le même discours, "Solidarité", "Tristesse", "Révolté après cette attaque", "Restons unis". Mais ce sont des mots que nous avons assez d'entendre. Ces attaques "une de plus" (F.H) on n'en peu plus de les subir !!
J'ai peur de ces personnes qui ont perdu la tête, de ces attaques qui se rapproches encore un peu plus de chez moi. J'ai peur pour moi, pour ma famille, pour mes amis. Lorsque j'ai appris l'attentat de Nice, j'étais en week-end avec mon copain près de la mer en Bretagne. Et pourtant cette nouvelle ma foutu un coup au moral, essayant néanmoins de profiter un maximum. Cela ne m'a pas empêcher de penser, qu'une fois de plus, malgré l'état d'urgence qui se prolonge encore et toujours, cela ne suffit pas à arrêter ces gens.
Je commence à craindre pour ma vie, pourtant, s'arrêter de vivre ce serais les laisser gagner. Continuer de vivre est la seule solution contre la peur dans laquelle ils veulent nous faire vivre.
"[...] Notre ennemi n'a pas de tabou, n'a pas de limite, n'a pas de moral, pas de frontière, nous devons être impitoyables [...]" (Nicolas Sarkozy). Ces mots sont entièrement vrai, mais ils ne restent que des mots, et non des actes. Mes mots d'aujourd'hui me servent d'exutoire, et ils sont mon seul moyen d'action pour lutter contre ces actes barbares, ne pas plonger dans l'amalgame, résister.
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