L'amour Aveugle

Sixième acte

Je lui ai enlevé son chandail et c'est avec joie que j'observe son corps musclé mais pas trop. C'est à mon tour de m'amuser.

Mes mains parcourent son corps en partant de la tête. Je passe mes doigts dans ses cheveux soyeux. Puis je descend dans son cou, ses épaules, ses bras, son ventre, ses hanches et juste au moment où j'arrivais pour déboutonner ses jeans il m'arrêta.

- Pas si vite, on ne fait que commencer.

- Haha comme tu veux.

Je me mets sur lui et me frotte contre son bas-ventre. Il semble apprécier car il met ses mains sur mes fesses et me pousse plus fort. Je prend son visage entre mes mains comme il me la fait. Mais cette fois-ci je l'embrasse. Ce fut doux au début mais très rapidement nous nous sommes laissés aller. Nos langues se taquinaient et nos lèvres se soudaient ensemble.

Il me repoussa pour reprendre son souffle. Je me sentais serrée dans mes shorts alors je les ai déboutonné. Sans m'avertir, Fred me coucha sous lui et me plaqua avec ses hanches et m'embrassait le cou et la mâchoire. Il mordait et léchait un peu partout sur son passage. Il me maintenait les mains au-dessus de ma tête.

Il prit le dessous de mon chandail et le leva d'un coup. Je n'avais pas mis de soutien-gorge alors j'étais complètement ouverte mais il ne pouvait pas me voir. Il ne dit rien mais se morda la lèvre et prit mes seins entre ses mains. Il les suça avec sa bouche et les mordaient légèrement. Je me cambrais sous ses caresses. C'était tellement agréable.

Quand je le vis arrêter et descendre au niveau inférieur en semant des baisers sur mon ventre je serra les jambes. C'était trop intense.

- Ta peau est tellement douce Samantha.

C'était la première fois qu'il m'appelait par mon vrai nom. Il continua et juste au moment où il voulu me retirer mes shorts, quelqu'un cogna à ma porte.

- Sam? Tu es là? Il faut que je te parle.

C'était ma mère, seigneur! Je repoussa Fred sur le lit, replaça mon chandail. Je le prit par le bras et le fit sortir par la fenêtre.

- Attends-moi là! lui dis-je en chuchotant.

Je vis la porte s'ouvrir et le visage de ma mère perplexe.

- À qui tu parles comme ça?

- Personne.

Ma mère balaya ma chambre du regard. Je vis le chandail de Fred par terre et la poussa sous mon lit discrètement.

- Tu veux bien t'asseoir une minute.

- Oui.

- Eh bien, moi et ton père nous avons discuté et nous avons conclu qu'il faudrait que tu te trouves un appartement. Je sais que c'est soudain mais tu es une adulte maintenant et tu dois quitter le nid familial.

- Je vais y réfléchir, laisses-moi juste le temps d'y penser.

- D'accord. Mais, tu n'étais pas en train de te masturber?

Je suis bouche-bée.

- MAMAN! Voyons, pourquoi tu penses ça?

- Eh bien quand je suis entrée tu respirais fort et tes shorts sont détachés. Mais c'est tout à fait normal de se faire du plaisir ma chérie il n'y a pas de honte.

- Mais c'est pas ce que j'étais en train de faire! dis-je mal à l'aise.

- Bon alors, je vais aller faire le souper.

Elle se lève et sort de ma chambre comme il ne c'était rien passé. Je ferme la porte, enfile mes chaussures et sort par la fenêtre. Je lance le t-shirt à Fred qui se lève.

- Alors comme ça tu te masturbait? dit-il en blaguant.

- Ha, ha, ha, très drôle. Je te raccompagne chez toi, tu as fait asser de dégâts pour aujourd'hui!

Nous nous tenons par la main en direction de sa maison. Le soleil se couche au bout de la rue, le ciel est rose, c'est magnifique. J'aimerais qu'il voit ça!