maladif

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ça faisaient un mois que j'était en couple avec ma rose.

je l'aimais, elle aussi.

on rêvaient, enfin elle rêvait d'un palais et d'une dizaine d'enfants. moi j'avais les pieds sur terre, j'voulais les billets, mettre bien ma famille. rien de plus rien de moin.

on était là, allonger au sol, dans un endroit naturelle, magnifique. on scruter le ciel bleue.

elle était sur mon épaule, je sentait ses beaux et longs cheveux, ils senter la fraise.

je la veux pour moi tout seul, pour toujours.

quotidien maladif, j'ai mal a la vie.

il commencer a pleuvoir, donc je la raccompagne chez elle, avant qu'elle entre je dépose mes lèvres glacer sur son front chaud.

elle me regarde, souriant.

paõla : te amo, mi amor.

et elle entre dans sa maison.

je mêt mes mains dans mes poches et marches de ruelle en ruelle, quand un homme sort de nul part, s'approche dangereusement de moi.

je court, escalade, saute, bondit.

on aurait dit un yamakasi, la misère nous a forger.

__
après avoir fuit, j'entre chez moi.

file a la douche, ma soeur me gueulais dessus vu que j'suis rentrer tard,
je l'écoute pas, entre dans ma chambre, la referme en claquant la porte, saisit mon téléphone et envoie un message groupé sur facebook a mes frères.

moi : vous êtes là ?

5 minutes après on discutait.
j'avais toujours ce sac, la moitié dépenser en bonbons et conneries, et l'autre en guise d'économie pour notre futur, notre avenir.

__

j'avais soif, donc je me lève et va a la cuisine, pour boire de l'eau, sur la table, je trouva un paquet de cigarette, après quelque minutes de réflexion a fixer celui-ci, je prit une cigarette et un briquet, pour ensuite m'en aller vers ma chambre.

une fois dedans, j'allume le briquet, les flammes me conquirent les yeux.

j'alluma la cigarette et fuma une fois, puis 2, puis 3. j'était bien.

j'apprécie, j'était sur une autre planète.

j'éteind ma clope, mêt du déo dans la chambre et m'endort.

une chose est sûr,
J'était accro.

drogue
famille
biff
.....
paõla